Chauffeur mort à Calais : l’immigration tue !

Avant le démantèlement de la jungle de Calais, en octobre 2016, les barrages artisanaux dressés par les migrants étaient quasi quotidiens. Il s’agissait, pour eux, de tenter de ralentir les camions en partance pour l’Angleterre, puis d’essayer de se cacher à l’intérieur. Cette pratique avait quelque peu disparu lorsque le ministère de l’Intérieur avait décidé de transférer plusieurs milliers de migrants de Calais à travers tout le pays. Plutôt que de prôner l’expulsion immédiate d’immigrés illégaux, la France de François Hollande avait donc préféré les disperser sur l’ensemble du territoire. Mais les migrants de Calais sont peu à peu revenus, recréant ainsi les conditions d’un chaos sans nom subi par une population locale excédée.

Installés auparavant sur la rocade portuaire, les barricades de fortune fleurissent désormais sur l’autoroute. Début juin, des migrants avaient créé un barrage enflammé sur l'autoroute A16, au niveau de Marck. Et le drame est finalement survenu dans la nuit de lundi à mardi. Le chauffeur d'une camionnette immatriculée en Pologne a ainsi perdu la vie après avoir violemment percuté un poids lourd bloqué par un barrage de troncs d'arbres sur l’autoroute A16 à hauteur de Guemps.

Lorsqu’une patrouille de la police aux frontières est arrivée sur les lieux de l'accident, ils étaient une cinquantaine de migrants présents sur place. La plupart ont réussi à prendre la fuite mais neuf individus de nationalité érythréenne ont été interpellés alors qu’ils se cachaient dans un camion immobilisé. Une enquête est ouverte pour homicide involontaire par faute caractérisée, mise en danger de la vie d'autrui et entrave à la circulation sur la voie publique. Malheureusement, il y a fort à parier que ces migrants ne seront nullement inquiétés et que la mort du chauffeur sera vite oubliée. Il ne faisait pourtant que son travail, mais l’immigration l’a tué !

Cela doit cesser. Les Français n’ont pas à devoir s’adapter à cette vague de migrants sans fin. Il est nécessaire, aujourd’hui, de mettre un terme à cette invasion migratoire en retrouvant, notamment, la maîtrise de nos frontières nationales, en multipliant les expulsions tout en restreignant, de manière considérable, le droit d’asile dans notre pays. La survie de notre identité et de notre sécurité est à ce prix.

Puisque l’État se montre incapable de défendre réellement les citoyens, 130 militants de Génération identitaire avaient décidé, le 12 mars 2016 dernier, de prendre le contrôle de trois ponts permettant l’accès des migrants à la ville de Calais. C’est avec la multiplication de ce type d’actions symboliques que nous réveillerons les consciences, ferons bouger les lignes et mettrons l’État face à ses responsabilités. Dans leur communiqué de presse, les jeunes Identitaires appelaient à un sursaut face aux politiques menées par le lobby immigrationniste :

Agressions contre les forces de l’ordre, contre des automobilistes et des chauffeurs routiers, émeutes en ville, désagrégation totale du tissu social et économique – voilà ce qu’est devenu le quotidien de la ville martyre, avec une terrible accélération ces dernières semaines. Cette situation est le fruit d’une politique irresponsable, dont sont coupables les dirigeants politiques nationaux comme européens, à Paris, Berlin et Bruxelles. Puisque ces gouvernants refusent de protéger les populations en rétablissant des frontières, à l’échelle nationale comme européenne, alors ils verront les peuples dresser des barricades ! Comme ce matin à Calais. On est chez nous ! 

Nous ne voulons pas de migrants ni à Calais ni sur l’ensemble du territoire français. Face à l’urgence, nous ne pouvons envisager qu’une seule solution : la remigration !

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 10/09/2024 à 10:08.
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Fabrice Robert
Directeur national - Les Identitaires. Fondateur de l’agence Novopress.info

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