Omar el-Béchir fait toujours l’objet de deux mandats d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) du 4 mars 2009 et du 12 juillet 2010 pour génocide et crime contre l’humanité commis au Darfour
Pour aggraver la situation, la loi française n° 2012-1560 du 31 décembre 2012 poussa le raisonnement jusqu’au bout en supprimant le délit de séjour irrégulier sur notre territoire…
Emmanuel Macron serait-il donc un piètre visionnaire de l’évolution du risque terroriste et de la politique internationale…
Desserrer l’étau de l’islam radical dans notre pays nécessite des décisions courageuses telles que l’interdiction de l’organisation frériste des « Musulmans de France », ainsi que la fin de l’expansion de l’influence des pays du Golfe.
Décidément, tout ce qui ne plaît pas à Emmanuel Macron doit être censuré !
Mes sept ans d’expérience de commandement d’escadrons de gendarmerie mobile m’autorisent à donner un éclairage technique sur ce qui s’est passé à la vue d’images très claires et parlantes diffusées sur les médias d’information.
C’est la fragilisation des unités spécialisées de maintien de l’ordre (EGM et CRS) que l’on connaît depuis une dizaine d’années et que l’on paie aujourd’hui.
Je me risque à prédire que la grogne va reprendre de plus belle.
Une fuite en avant à rebours de l’Histoire au moment où les peuples européens veulent, au contraire, recouvrer leur souveraineté confisquée…
Est-ce bien sérieux ! Castaner le libertaire islamo-compatible au ministère de l’Intérieur, on ne pouvait pas imaginer pire scénario.
Certaines des propositions confirment les craintes et les interrogations que l’on peut avoir du désengagement amorcé de l’État dans la sécurité de l’espace public.
La seule véritable réponse à apporter serait de mettre en place un plan d’éradication de cet islam radical qui nous ronge, mais elle n’est pas abordée dans ce rapport.
La proximité c’est la reconquête et la présence sur le terrain.
Cette réorganisation ne va pas, non plus, jusqu’au bout du raisonnement en accordant à la gendarmerie les moyens nécessaires à son action de renseignement territorial.
Aucune des nouvelles mesures annoncées ne s’attaque aux causes et à la racine du mal…
La force militaire du G5 Sahel n’est pas une solution mais peut devenir un problème, et il ne faut pas se bercer d’illusions en pensant qu’elle pourra un jour prendre la suite de l’opération Barkhane.
L’apparition d’un islam de France, volonté encore affirmée par Emmanuel Macron, apparaît de plus en plus comme un vœu pieux.
L’élection d’Emmanuel Macron ne signifie pas le début d’un nouveau monde, mais la fin d’un cycle commencé en mai 1968.
Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout et ne propose aucune mesure afin de faire dégonfler le nombre d’individus à surveiller, déchéance de la nationalité pour les binationaux, expulsions des étrangers fichés S, etc.
Je suis en colère de plaider dans le désert devant les failles évidentes de notre dispositif de lutte contre le terrorisme islamiste.
Nul doute qu’il s’agisse d’un pare-feux face à l’attente des annonces d’Emmanuel Macron concernant un coup de pouce donné à l’islam « de » France pour le structurer.
Quelle que soit la décision au sujet de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, l’évacuation de la ZAD est programmée et il y a un risque sérieux de morts et de nombreux blessés de part et d’autre.
L’islam est politique par nature et envahit la sphère publique comme la sphère privée. Chacun le voit bien dans sa vie de tous les jours.
Avec 100 millions d’euros, l’Arabie saoudite est de loin le principal contributeur financier.
Les principaux chefs djihadistes ont déjà décidé d’unir leurs efforts contre la force militaire du G5 Sahel.
Les tribulations de notre Président Macron au Sahel s’apparentent à celles de Don Quichotte de la Manche.
Notre Président prend aussi les pays africains pour des start-up.
Les arguments évoqués afin de justifier la création d’un tel commandement unique ne sont pas pertinents et souffrent à l’analyse.
Omar el-Béchir fait toujours l’objet de deux mandats d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) du 4 mars 2009 et du 12 juillet 2010 pour génocide et crime contre l’humanité commis au Darfour
Pour aggraver la situation, la loi française n° 2012-1560 du 31 décembre 2012 poussa le raisonnement jusqu’au bout en supprimant le délit de séjour irrégulier sur notre territoire…
Emmanuel Macron serait-il donc un piètre visionnaire de l’évolution du risque terroriste et de la politique internationale…
Desserrer l’étau de l’islam radical dans notre pays nécessite des décisions courageuses telles que l’interdiction de l’organisation frériste des « Musulmans de France », ainsi que la fin de l’expansion de l’influence des pays du Golfe.
Décidément, tout ce qui ne plaît pas à Emmanuel Macron doit être censuré !
Mes sept ans d’expérience de commandement d’escadrons de gendarmerie mobile m’autorisent à donner un éclairage technique sur ce qui s’est passé à la vue d’images très claires et parlantes diffusées sur les médias d’information.
C’est la fragilisation des unités spécialisées de maintien de l’ordre (EGM et CRS) que l’on connaît depuis une dizaine d’années et que l’on paie aujourd’hui.
Je me risque à prédire que la grogne va reprendre de plus belle.
Une fuite en avant à rebours de l’Histoire au moment où les peuples européens veulent, au contraire, recouvrer leur souveraineté confisquée…
Est-ce bien sérieux ! Castaner le libertaire islamo-compatible au ministère de l’Intérieur, on ne pouvait pas imaginer pire scénario.
Certaines des propositions confirment les craintes et les interrogations que l’on peut avoir du désengagement amorcé de l’État dans la sécurité de l’espace public.
La seule véritable réponse à apporter serait de mettre en place un plan d’éradication de cet islam radical qui nous ronge, mais elle n’est pas abordée dans ce rapport.
La proximité c’est la reconquête et la présence sur le terrain.
Cette réorganisation ne va pas, non plus, jusqu’au bout du raisonnement en accordant à la gendarmerie les moyens nécessaires à son action de renseignement territorial.
Aucune des nouvelles mesures annoncées ne s’attaque aux causes et à la racine du mal…
La force militaire du G5 Sahel n’est pas une solution mais peut devenir un problème, et il ne faut pas se bercer d’illusions en pensant qu’elle pourra un jour prendre la suite de l’opération Barkhane.
L’apparition d’un islam de France, volonté encore affirmée par Emmanuel Macron, apparaît de plus en plus comme un vœu pieux.
L’élection d’Emmanuel Macron ne signifie pas le début d’un nouveau monde, mais la fin d’un cycle commencé en mai 1968.
Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout et ne propose aucune mesure afin de faire dégonfler le nombre d’individus à surveiller, déchéance de la nationalité pour les binationaux, expulsions des étrangers fichés S, etc.
Je suis en colère de plaider dans le désert devant les failles évidentes de notre dispositif de lutte contre le terrorisme islamiste.
Nul doute qu’il s’agisse d’un pare-feux face à l’attente des annonces d’Emmanuel Macron concernant un coup de pouce donné à l’islam « de » France pour le structurer.
Quelle que soit la décision au sujet de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, l’évacuation de la ZAD est programmée et il y a un risque sérieux de morts et de nombreux blessés de part et d’autre.
L’islam est politique par nature et envahit la sphère publique comme la sphère privée. Chacun le voit bien dans sa vie de tous les jours.
Avec 100 millions d’euros, l’Arabie saoudite est de loin le principal contributeur financier.
Les principaux chefs djihadistes ont déjà décidé d’unir leurs efforts contre la force militaire du G5 Sahel.
Les tribulations de notre Président Macron au Sahel s’apparentent à celles de Don Quichotte de la Manche.
Notre Président prend aussi les pays africains pour des start-up.
Les arguments évoqués afin de justifier la création d’un tel commandement unique ne sont pas pertinents et souffrent à l’analyse.