Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.
La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
Que lire de 0 à 16 ans ?
Un jour, l’Histoire vous rendra justice, ainsi qu’à tous ceux qui se sont sacrifiés et pour lesquels la vision de « l’ange de Dien-Bien-Phu » a été peut-être comme un avant-goût du ciel.
C’est ainsi que Clovis devint le père d’un Occident que l’on aurait pu croire, déjà alors, définitivement condamné.
Dans ce name-dropping manquent quelques mots-clés, comme Éric Zemmour ou prêtre pédophile, mais il faut en garder pour la suite, la série ne fait que commencer, olé !
Une journaliste livre, chez Laurent Delahousse, les résultats de son enquête et le titre pourrait en être celui d’une comédie de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien.
Dire que l’on raille la goujaterie machiste de leur propre président…
Le visage tuméfié, sans argent, passeport ni billet d’avion, le vieux curé a passé sa première nuit lyonnaise à l’hôpital.
Il en va, visiblement, de cela comme du reste dans notre pays à deux vitesses : il y a loi et loi.
Pourquoi faut-il lire Les Bâtards de Sartre, de Benoît Rayski ? D’abord parce que ce petit livre appartient à un genre en voie de disparition
Le seul journal où la GPA n’est pas, c’est… le Journal officiel. C’est un détail qui n’a semble-t-il pas effleuré les rédactions qui en font, de facto, la promotion.
Albert Londres recommandait au journaliste de porter la plume dans la plaie. Pas de la couvrir discrètement d’une grande couche de Tipp-Ex®…
Son fonds de commerce politique, c’est en principe celui de l’identité heureuse qui pense printemps. Celui du vivre ensemble qui s’enrichit de la diversité.
Jusqu’à quand les Français honnêtes, de quelque bord qu’ils soient, vont-ils accepter ce criant deux poids deux mesures ambiant sans moufter ?
Certains disent que la GPA suivra la PMA. Ils ont tort, elle est déjà là.
Emmanuel Hirsch a une solution : « Il faut éduquer et informer les personnes qui sont défavorables. »
Que se serait-il donc passé si Éric Zemmour avait susurré les mêmes gentillesses sur Hapsatou Sy que Rokhaya Diallo sur Charlotte d’Ornellas ?
Le livre est lourd mais la plume légère.
À son université d’été du féminisme, Marlène Schiappa avait osé inviter… Élisabeth Lévy.
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
Le journaliste allemand évoque « une transformation étonnante ». Ou pas. Tout cela, au contraire, ne coule-t-il pas de source ?
L’union, la porosité, les alliances, les discussions, les fraternisations dont les barbons ne veulent pas dans les urnes se font déjà dans les bars.
Pourquoi pas Bardot, qui sonne comme Hulot, et n’aime rien tant que les animaux…
Patricia Perez n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure.
L’affaire Benalla est loin d’être terminée, mais l’on sait déjà qu’il y aura un avant et un après.
D’après lui, pas de quoi fouetter un chat. Sûrement « pas une affaire d’État » !
Nombre de jeunes femmes qui avaient souhaité se joindre à la foule, dimanche soir, dans les bars ou sur les Champs-Élysées ont vite déchanté et rebroussé chemin.
Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.
La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
Que lire de 0 à 16 ans ?
Un jour, l’Histoire vous rendra justice, ainsi qu’à tous ceux qui se sont sacrifiés et pour lesquels la vision de « l’ange de Dien-Bien-Phu » a été peut-être comme un avant-goût du ciel.
C’est ainsi que Clovis devint le père d’un Occident que l’on aurait pu croire, déjà alors, définitivement condamné.
Dans ce name-dropping manquent quelques mots-clés, comme Éric Zemmour ou prêtre pédophile, mais il faut en garder pour la suite, la série ne fait que commencer, olé !
Une journaliste livre, chez Laurent Delahousse, les résultats de son enquête et le titre pourrait en être celui d’une comédie de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien.
Dire que l’on raille la goujaterie machiste de leur propre président…
Le visage tuméfié, sans argent, passeport ni billet d’avion, le vieux curé a passé sa première nuit lyonnaise à l’hôpital.
Il en va, visiblement, de cela comme du reste dans notre pays à deux vitesses : il y a loi et loi.
Pourquoi faut-il lire Les Bâtards de Sartre, de Benoît Rayski ? D’abord parce que ce petit livre appartient à un genre en voie de disparition
Le seul journal où la GPA n’est pas, c’est… le Journal officiel. C’est un détail qui n’a semble-t-il pas effleuré les rédactions qui en font, de facto, la promotion.
Albert Londres recommandait au journaliste de porter la plume dans la plaie. Pas de la couvrir discrètement d’une grande couche de Tipp-Ex®…
Son fonds de commerce politique, c’est en principe celui de l’identité heureuse qui pense printemps. Celui du vivre ensemble qui s’enrichit de la diversité.
Jusqu’à quand les Français honnêtes, de quelque bord qu’ils soient, vont-ils accepter ce criant deux poids deux mesures ambiant sans moufter ?
Certains disent que la GPA suivra la PMA. Ils ont tort, elle est déjà là.
Emmanuel Hirsch a une solution : « Il faut éduquer et informer les personnes qui sont défavorables. »
Que se serait-il donc passé si Éric Zemmour avait susurré les mêmes gentillesses sur Hapsatou Sy que Rokhaya Diallo sur Charlotte d’Ornellas ?
Le livre est lourd mais la plume légère.
À son université d’été du féminisme, Marlène Schiappa avait osé inviter… Élisabeth Lévy.
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
Le journaliste allemand évoque « une transformation étonnante ». Ou pas. Tout cela, au contraire, ne coule-t-il pas de source ?
L’union, la porosité, les alliances, les discussions, les fraternisations dont les barbons ne veulent pas dans les urnes se font déjà dans les bars.
Pourquoi pas Bardot, qui sonne comme Hulot, et n’aime rien tant que les animaux…
Patricia Perez n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure.
L’affaire Benalla est loin d’être terminée, mais l’on sait déjà qu’il y aura un avant et un après.
D’après lui, pas de quoi fouetter un chat. Sûrement « pas une affaire d’État » !
Nombre de jeunes femmes qui avaient souhaité se joindre à la foule, dimanche soir, dans les bars ou sur les Champs-Élysées ont vite déchanté et rebroussé chemin.
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