Au delà des intentions, il y a les faits, qu’on lira peut-être un jour à l’aune de l’Histoire.
Aujourd’hui, on peut affirmer posément sur une chaîne grand public que l’islamisme n’est « pas grave », sans que le CSA ne s’en émeuve.
Pour la première édition de « Rencontre », Gabrielle Cluzel a donné rendez-vous à un religieux. Un dialogue teinté d’Espérance.
La reductio ad hilterum – au sens propre – règne en maître sur Politiquementcorrectland.
Macron commémorera-t-il, oui, ou non, Mai 68 ?
La religion catholique n’a probablement jamais laissé Houellebecq indifférent. C’est ce que tendent à montrer ses références à Joris-Karl Huysmans.
Plus besoin de réfléchir, de justifier, de traquer in petto ses propres incohérences avant de s’exprimer, puisqu’on ne démontre plus : on assène.
Certains appelleront son livre pamphlet ou brûlot, quand il n’est, en réalité, qu’un constat, un témoignage sans fard.
Qui donc, depuis plusieurs années, a fait de la femme « un objet » ? Qui a voulu éradiquer la galanterie ?
Ohlala, terrain miné, danger, allons-y sur la pointe des pieds. son embarras est… croquignolesque.
C’est tout un mode de vie qui a été banni, une fois encore, par détestation de soi.
S’il est une question emblématique et forte de la droite de conviction c’est le Mariage pour tous. Or…
C’est moi, ou ce pays devient doucettement un asile de fous ?
Ce que l’on ne veut pas dire, c’est le nom des responsables.
À ma gauche, l’islamisation croissante. À ma droite, la dérive d’une société libertaire. Au centre, la femme, qui n’y peut mais, prise en étau.
Il y a cent ans, le 11 septembre 1917, mourait Georges Guynemer. Qu’en reste-t-il au-delà de quelques rues portant son nom ?
Il faut reconnaître à François Ruffin, en la circonstance, une courageuse honnêteté.
Offrir à mes petits les fables de La Fontaine dans du papier de soie ne suffira pas, ils les ont déjà.
Comme La Vieille Fille de Balzac, la vraie droite est riche d’espérances pour qui saura la conquérir.
C’est un livre audacieux que vient de publier Philippe Bilger.
Si les procès se transforment en tribune contre les victimes, ça ouvre de chouettes perspectives !
S’il est un homme décrié et méconnu, c’est bien celui-là.
Napoléon mâtiné de Kouchner, Emmanuel Macron n’y est pas allé avec le dos de la cuillère.
Pas de quoi pousser des « oh » et des « ah », car comme le rappelle Marlène Schiappa, c’était « un engagement de campagne d’Emmanuel Macron ».
Ce que l’on reproche à Jean-Pierre Pernaut n’est pas d’avoir menti mais d’avoir dit une vérité anxiogène.
Celui qui saisira l’épée de l’Excalibur sera celui qui aura le courage de vaincre les vieilles peurs fantasmagoriques par lesquelles la gauche règne en maître.
Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.
Telle une nuée de sauterelles, les bobos se sont abattus sur la presqu’île.
Au delà des intentions, il y a les faits, qu’on lira peut-être un jour à l’aune de l’Histoire.
Aujourd’hui, on peut affirmer posément sur une chaîne grand public que l’islamisme n’est « pas grave », sans que le CSA ne s’en émeuve.
Pour la première édition de « Rencontre », Gabrielle Cluzel a donné rendez-vous à un religieux. Un dialogue teinté d’Espérance.
La reductio ad hilterum – au sens propre – règne en maître sur Politiquementcorrectland.
Macron commémorera-t-il, oui, ou non, Mai 68 ?
La religion catholique n’a probablement jamais laissé Houellebecq indifférent. C’est ce que tendent à montrer ses références à Joris-Karl Huysmans.
Plus besoin de réfléchir, de justifier, de traquer in petto ses propres incohérences avant de s’exprimer, puisqu’on ne démontre plus : on assène.
Certains appelleront son livre pamphlet ou brûlot, quand il n’est, en réalité, qu’un constat, un témoignage sans fard.
Qui donc, depuis plusieurs années, a fait de la femme « un objet » ? Qui a voulu éradiquer la galanterie ?
Ohlala, terrain miné, danger, allons-y sur la pointe des pieds. son embarras est… croquignolesque.
C’est tout un mode de vie qui a été banni, une fois encore, par détestation de soi.
S’il est une question emblématique et forte de la droite de conviction c’est le Mariage pour tous. Or…
C’est moi, ou ce pays devient doucettement un asile de fous ?
Ce que l’on ne veut pas dire, c’est le nom des responsables.
À ma gauche, l’islamisation croissante. À ma droite, la dérive d’une société libertaire. Au centre, la femme, qui n’y peut mais, prise en étau.
Il y a cent ans, le 11 septembre 1917, mourait Georges Guynemer. Qu’en reste-t-il au-delà de quelques rues portant son nom ?
Il faut reconnaître à François Ruffin, en la circonstance, une courageuse honnêteté.
Offrir à mes petits les fables de La Fontaine dans du papier de soie ne suffira pas, ils les ont déjà.
Comme La Vieille Fille de Balzac, la vraie droite est riche d’espérances pour qui saura la conquérir.
C’est un livre audacieux que vient de publier Philippe Bilger.
Si les procès se transforment en tribune contre les victimes, ça ouvre de chouettes perspectives !
S’il est un homme décrié et méconnu, c’est bien celui-là.
Napoléon mâtiné de Kouchner, Emmanuel Macron n’y est pas allé avec le dos de la cuillère.
Pas de quoi pousser des « oh » et des « ah », car comme le rappelle Marlène Schiappa, c’était « un engagement de campagne d’Emmanuel Macron ».
Ce que l’on reproche à Jean-Pierre Pernaut n’est pas d’avoir menti mais d’avoir dit une vérité anxiogène.
Celui qui saisira l’épée de l’Excalibur sera celui qui aura le courage de vaincre les vieilles peurs fantasmagoriques par lesquelles la gauche règne en maître.
Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.
Telle une nuée de sauterelles, les bobos se sont abattus sur la presqu’île.