Avec l’élection de Joseph (« Joe ») Robinette Biden, le parti de la guerre est de retour.
On peut assimiler des individus, mais on ne peut pas assimiler des communautés…
On se méfie des héros vainqueurs. Trop guerriers dans une époque qui rêve de paix universelle, trop virils à l’époque de la « masculinité toxique »…
Dans la société des individus, l’économique remplace le politique, le bien-être remplace le bonheur, la « vie en couple » remplace le mariage, le sociétal remplace le social, le consommateur festif remplace le citoyen.
La majorité des Français ont depuis mars dernier accepté de bouleverser leur vie quotidienne avec une docilité confondante.e politique se double d’une crise sociale et financière, pour ne rien dire de la crise culturelle induite par l’immigration.
Il confond la morale publique et la morale privée, qui ne se situent nullement sur le même plan : accorder mon hospitalité personnelle à un étranger est une chose, en faire venir des millions dans un pays au point d’en altérer l’identité en est une autre.
Le tueur islamiste n’a pas voulu tuer un républicain mais un Français « infidèle et blasphémateur ». Les islamistes se foutent complètement de la « République ».
Les États-Unis se retrouvent coupés en deux comme ils ne l’avaient jamais été depuis la guerre de Sécession.
Les islamistes ne veulent nullement se séparer territorialement de la France. Ce qu’ils veulent, c’est y instaurer une contre-société conforme à leurs croyances à leurs mœurs…
Pour barrer la route à Joe Biden, et à sa coéquipière Kamala Harris (qui aurait de bonnes chances de lui succéder en cours de mandat), je serais même prêt à voter Mickey !
L’immigration a encore aggravé tout cela, et s’y sont ajoutés également le laxisme judiciaire, les atermoiements des pouvoirs publics et l’omniprésence de la « culture de l’excuse ».
Il y a, heureusement, de belles exceptions, mais les familles royales n’ont plus aujourd’hui de « royales » que le nom.
Pour le dire plus crûment, la chasse aux Blancs est désormais ouverte.
S’il n’y a pas de souveraineté politique, la souveraineté n’existe pas.
L’arrivée de la Castafiore à la Culture n’a satisfait que les amateurs d’opéra.
Les libéraux croient généralement que l’adoption du système du marché entraîne immanquablement l’avènement d’une démocratie libérale. Les Chinois démentent tous les jours cette prédiction.
Si les femmes sont sous-représentées dans certains secteurs, elles sont au contraire surreprésentées dans certains autres, ce qui ne paraît pas gêner outre mesure les partisans de la « parité partout ».
Certains chrétiens se félicitent que leur religion ne se confonde plus avec le pouvoir. Je pense, au contraire, que la privatisation de la foi lui est fatale.
De Pompidou à Macron, tous ses successeurs, à la possible exception de Mitterrand, ont à des degrés divers renié l’héritage du Général.
Le succès de Michel Onfray, succédant à bien d’autres signes avant-coureurs, commence à inquiéter ceux qui voient de plus en plus le sol se dérober sous eux.
Sans tomber dans le conspirationnisme, il est clair que le confinement a aussi constitué un test de docilité grandeur nature.
Le Proche-Orient étant ce qu’il est, Trump, avec sa brutalité et son mépris du droit international habituels, a pris des risques considérables car, dans cette région du monde, le moindre accident peut facilement dégénérer.
Deux nouvelles questions se posent : Macron sera-t-il à nouveau candidat en 2022 ? Et s’il se représente, sera-t-il présent au second tour ?
Ce sont les mêmes, aussi, qui déclarent qu’une adolescente n’est pas capable de consentir librement à une relation sexuelle avec un adulte et qui proclament qu’elle est, en revanche, parfaitement capable de décider de son sexe !
À quoi bon vouloir limiter les émissions de gaz à effet de serre si on ne limite pas aussi la population ?
Ce qui me choque le plus, c’est l’attitude de ces petits-bourgeois droitards qui ne manquent pas une occasion d’entonner la ritournelle des méchants grévistes qui « prennent les usagers en otages »…
La violence est un caméléon.
À terme, entre Macron et Le Pen, il n’y aura plus rien.
Avec l’élection de Joseph (« Joe ») Robinette Biden, le parti de la guerre est de retour.
On peut assimiler des individus, mais on ne peut pas assimiler des communautés…
On se méfie des héros vainqueurs. Trop guerriers dans une époque qui rêve de paix universelle, trop virils à l’époque de la « masculinité toxique »…
Dans la société des individus, l’économique remplace le politique, le bien-être remplace le bonheur, la « vie en couple » remplace le mariage, le sociétal remplace le social, le consommateur festif remplace le citoyen.
La majorité des Français ont depuis mars dernier accepté de bouleverser leur vie quotidienne avec une docilité confondante.e politique se double d’une crise sociale et financière, pour ne rien dire de la crise culturelle induite par l’immigration.
Il confond la morale publique et la morale privée, qui ne se situent nullement sur le même plan : accorder mon hospitalité personnelle à un étranger est une chose, en faire venir des millions dans un pays au point d’en altérer l’identité en est une autre.
Le tueur islamiste n’a pas voulu tuer un républicain mais un Français « infidèle et blasphémateur ». Les islamistes se foutent complètement de la « République ».
Les États-Unis se retrouvent coupés en deux comme ils ne l’avaient jamais été depuis la guerre de Sécession.
Les islamistes ne veulent nullement se séparer territorialement de la France. Ce qu’ils veulent, c’est y instaurer une contre-société conforme à leurs croyances à leurs mœurs…
Pour barrer la route à Joe Biden, et à sa coéquipière Kamala Harris (qui aurait de bonnes chances de lui succéder en cours de mandat), je serais même prêt à voter Mickey !
L’immigration a encore aggravé tout cela, et s’y sont ajoutés également le laxisme judiciaire, les atermoiements des pouvoirs publics et l’omniprésence de la « culture de l’excuse ».
Il y a, heureusement, de belles exceptions, mais les familles royales n’ont plus aujourd’hui de « royales » que le nom.
Pour le dire plus crûment, la chasse aux Blancs est désormais ouverte.
S’il n’y a pas de souveraineté politique, la souveraineté n’existe pas.
L’arrivée de la Castafiore à la Culture n’a satisfait que les amateurs d’opéra.
Les libéraux croient généralement que l’adoption du système du marché entraîne immanquablement l’avènement d’une démocratie libérale. Les Chinois démentent tous les jours cette prédiction.
Si les femmes sont sous-représentées dans certains secteurs, elles sont au contraire surreprésentées dans certains autres, ce qui ne paraît pas gêner outre mesure les partisans de la « parité partout ».
Certains chrétiens se félicitent que leur religion ne se confonde plus avec le pouvoir. Je pense, au contraire, que la privatisation de la foi lui est fatale.
De Pompidou à Macron, tous ses successeurs, à la possible exception de Mitterrand, ont à des degrés divers renié l’héritage du Général.
Le succès de Michel Onfray, succédant à bien d’autres signes avant-coureurs, commence à inquiéter ceux qui voient de plus en plus le sol se dérober sous eux.
Sans tomber dans le conspirationnisme, il est clair que le confinement a aussi constitué un test de docilité grandeur nature.
Le Proche-Orient étant ce qu’il est, Trump, avec sa brutalité et son mépris du droit international habituels, a pris des risques considérables car, dans cette région du monde, le moindre accident peut facilement dégénérer.
Deux nouvelles questions se posent : Macron sera-t-il à nouveau candidat en 2022 ? Et s’il se représente, sera-t-il présent au second tour ?
Ce sont les mêmes, aussi, qui déclarent qu’une adolescente n’est pas capable de consentir librement à une relation sexuelle avec un adulte et qui proclament qu’elle est, en revanche, parfaitement capable de décider de son sexe !
À quoi bon vouloir limiter les émissions de gaz à effet de serre si on ne limite pas aussi la population ?
Ce qui me choque le plus, c’est l’attitude de ces petits-bourgeois droitards qui ne manquent pas une occasion d’entonner la ritournelle des méchants grévistes qui « prennent les usagers en otages »…
La violence est un caméléon.
À terme, entre Macron et Le Pen, il n’y aura plus rien.
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