Pour Obono : racisme. Kelly : pas de racisme. Sarkozy : raciste… L’hypocrisie des racialistes

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On vient de vérifier en un mois l'hypocrisie et la fausseté des racialistes.

Dans sa fiction d'été, le magazine Valeurs actuelles publie un dessin représentant Danièle Obono avec une chaîne au cou. Tollé général dans les chaumières, même le président de la République apportera son soutien à la députée indigéniste.

Acte II : Christine Kelly est traitée de « servante de Zemmour » par le journaliste Daniel Schneidermann. Personne ne s'en émeut dans les chaumières, même pas un mot dans les médias si prompts à dénoncer le racisme de la supposée fachosphère.

Acte III : de passage dans l'émission « Quotidien », Nicolas Sarkozy s'interroge sur l'usage des mots et les procès intentés par le tribunal bien-pensant. L'ancien Président évoque ces élites qui sont comme les singes qui n'écoutent personne et se pincent le nez. Mais a-t-on encore le droit de dire « singe », ironise-t-il. Et d'évoquer alors le livre d'Agatha Christie, Dix petits nègres, dont le titre a été changé. Nouveau tollé général dans les chaumières.

Le regard prismatique sur le racisme de ces nouveaux objecteurs de conscience est d'un ridicule pathétique.

On voit en filigrane qu'ils veulent importer en France les luttes raciales étas-uniennes, alors que les histoires de la France et des USA sont différentes, notamment dans le traitement de la question raciale.

Traiter une journaliste de servante car elle anime un débat avec Éric Zemmour est une insulte aux Noires.

Pourquoi servante ?

Le scribouillard sectaire Daniel Schneidermann ne voit-il donc la femme noire que dans ce rôle et aurait-il utilisé le même mot si l'animatrice avait été une blanche ?

Il est temps que l'opinion publique soit alertée sur cet endoctrinement imposé par la doxa indigéniste, décoloniale et racialiste. Il est temps que ces gens arrêtent d'emmerder les Français. On ne peut plus, mais surtout, on ne doit plus parler de rien au risque de lancer un débat sur la droitisation de la société.

La bien-pensance veut choisir les mots que nous pouvons utiliser : « incivilité » pour ne pas dire « violence », et ceux que nous n'avons le droit d'utiliser : sentiment d'insécurité au lieu d'ensauvagement, on en est même à un stade où, dans leur toute-puissance, les bien-pensants veulent imposer les journalistes qu'ils refusent de voir dans les rédactions : exemple récent de Louis de Raguenel.

Cette élite gauchiste a un seul objectif : imposer l'idée que la France est un pays raciste anti-noir, un pays anti-musulman, un pays anti-écolo, bref, ils veulent tout simplement diviser le pays. Il est du devoir de chacun d'entre nous de ne point tomber dans leur piège. Soyons vigilants, car il est plus facile de tout détruire que de reconstruire.

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