Dans vos commentaires cette semaine : Le gouvernement en pleine inaction !

L’actualité est loin de prêter à rire. L’assassinat de la professeur d’espagnol de Saint-Jean-de-Luz est dans toutes les consciences. Si la dignité et le respect sont de rigueur, Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale, à trop chercher la consensualité, tombe dans le déni et frôle l’irrévérence. Vous avez d’ailleurs été nombreux à partager l’analyse développée dans l'éditorial de Marc Baudriller.

Garibaldi n’hésite pas à fustiger « ces adeptes du politiquement correct [qui] sont de grands hypocrites. Ce n’est pas un décès mais un meurtre, il ne faut pas avoir peur des mots. » Et Cervin de s’indigner à son tour : « De la poigne, de la poigne, de la poigne sans faiblir. Plein le dos, de ces attitudes lénifiantes, de mots choisis pour éviter de choquer. C’est un assassinat dans une classe, en avez-vous conscience, Monsieur le ministre de l’Éducation ? Une enseignante est assassinée froidement d’un coup de couteau… Deux familles dévastées, celle du professeur et celle de ce malade dont il faudra bien connaître son passé pour en être arrivé là. Le laxisme dans tous les domaines depuis des décennies est le résultat des nombreux drames quotidiens que nous vivons de nos jours. Il est grand temps de remettre les pendules à l’heure après avoir éjecté ces bandes de bras cassés qui nous gouvernement. Gouverner, c’est prévoir, nous en sommes aux antipodes hélas. » Décidément, comme le dit Pgaf8, « il n’en rate pas une, notre Ndiaye ».

Toujours en France, cette fois, mais toujours rien pour nous réjouir. L’actrice Adèle Haenel, remarquée pour ses rôles dans les films Les Combattants ou Portrait de la jeune fille en feu , s’est illustrée dans un tout autre numéro. Dans une vidéo relayée en exclusivité par Boulevard Voltaire, la jeune femme a déclaré que le gouvernement actuel est « composé de violeurs » et est favorable à l’avènement d’un « monde communiste », et tout cela au sein de l’université Paris 8 ! Des propos qui n’ont pas manqué de faire réagir Joel Bernard : « Parfois, on en est à regretter que la France n’ait pas été communiste quelques années, beaucoup auraient été guéris de cette idéologie mortifère. Pour avoir circulé en tant que routier dans ces paradis socialistes, le retour en terres libres était toujours une joie. » De son côté, Josée Perlaut se dit : « Je suis sidérée par la bêtise, le manque de bon sens, l’obscurantisme de ces intervenantes au cerveau délavé par la haine de la société et dont le raisonnement se situe à peine au niveau de la maternelle. En appelant au retour du communisme, elles semblent oublier les millions de morts dus à ce régime et les goulags pour ceux et celles qui défiaient cette dictature. Je crois utile de leur rappeler qu’elles peuvent aller vivre en Corée du Nord afin de trouver leur bonheur. » Et d’ajouter : « Quant au lieu de ces rencontres, c’est déplorable, nos universités, autrefois écoles du savoir, sont devenues des dépotoirs d’incultes qui n’apprennent plus rien mais s’imaginent être des "élites". »

Pour l’heure, aucune réaction ni réponse du gouvernement. Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, n’était pas assez invisible jusqu’ici, il faut qu’elle se fasse encore plus petite ! Au tour de Domipa de se poser des questions : « Qui a autorisé cela, le recteur ? Si oui, le ministre devrait le rappeler à l’ordre en lui octroyant un blâme. » Bien sûr...