J’aurais rêvé que les gilets jaunes apportent à l’intérieur de ces partis ce qu’ils ont apporté depuis les ronds-points : le coup de pied aux fesses…
Ils ont déchiré le voile de la duplicité du pouvoir et de ses affidés.
Il appartient dès lors aux défenseurs des libertés d’amener des solutions. À défaut, le gouvernement aura beau jeu, après avoir laissé passer l’orage, de louvoyer, misant…
Une vérité explose : les syndicats sont désormais du côté du conservatisme...
Il faut se saisir du manifeste, mais aussi le clarifier et l’enrichir.
Le monolithe pourrait se fissurer, et, dans la brèche, s’engouffrer le vrai débat. Sur le fond.
Et pour anéantir les derniers espoirs de ceux qui n’auraient pas compris, il fait nommer secrétaire général l’improbable madame Louise Mushikiwabo.