republication
Un film résolument réactionnaire qui désavoue l’anti-héros sans foi ni loi.
Le Vent de la liberté, un film populaire et plaisant à suivre, original, qui nous raconte un bout d’Histoire
Un joli pied de nez à certaines idées reçues…
La véritable cible de François Ozon n’est pas le père Preynat mais son supérieur, le cardinal Barbarin.
On ne peut que saluer le travail de l’acteur qui parvient modestement à s’effacer derrière ce personnage rustaud.
Sébastien Marnier nous livre une œuvre très particulière, à l’ambiance provinciale et à la chaleur moite…
Un film résolument réactionnaire qui désavoue l’anti-héros sans foi ni loi.
Le Vent de la liberté, un film populaire et plaisant à suivre, original, qui nous raconte un bout d’Histoire
Un joli pied de nez à certaines idées reçues…
La véritable cible de François Ozon n’est pas le père Preynat mais son supérieur, le cardinal Barbarin.
On ne peut que saluer le travail de l’acteur qui parvient modestement à s’effacer derrière ce personnage rustaud.
Sébastien Marnier nous livre une œuvre très particulière, à l’ambiance provinciale et à la chaleur moite…