AfD
L’attentat de Magdebourg accentue une prise de conscience croissante des insuffisances structurelles face aux migrants.
Sur X, l’AfD salue ce soutien, saluant des « mots clairs » de la part du milliardaire américain.
La chute du mur n’a pas converti les Allemands de l’Est en consommateurs du discours immigrationniste.
Battue sur le fil par le SPD, dans le Land de Brandebourg en Allemagne, l’AfD poursuit son ascension, aux côtés du BSW.
En Allemagne, comme partout en Europe, les citoyens ne sont pas étrangers à l’angoisse sécuritaire et identitaire.
Un an avant les élections fédérales allemandes, les élections régionales de septembre vont être analysées à la loupe.
Le moment est historique. La droite européenne peut rêver d’un grand parti, et même de la première place. Explications.
La déferlante de l’AfD semble difficile à contenir.
Une telle percée inquiète les partis dits de gouvernement.
« Faut-il interdire l’extrême droite qui gagne du terrain aux élections ? » La question – faussement innocente – a été lâchée, vendredi dernier, pendant
Lors de cette conférence de presse, Alice Weidel entendait répondre à la campagne de dénigrement dont est victime l’AfD
Rien de bien extraordinaire : les discussions ont tourné sur la faisabilité juridique de la remigration.
Au niveau national, l’AfD est crédité de 20 % des intentions de vote.
Sous haute pression migratoire en France, on oublierait presque que nos voisins allemands la subissent eux aussi.
Ces deux victoires d’affilée confirment l’implantation de la droite patriote dans l’est du pays
L’attentat de Magdebourg accentue une prise de conscience croissante des insuffisances structurelles face aux migrants.
Sur X, l’AfD salue ce soutien, saluant des « mots clairs » de la part du milliardaire américain.
La chute du mur n’a pas converti les Allemands de l’Est en consommateurs du discours immigrationniste.
Battue sur le fil par le SPD, dans le Land de Brandebourg en Allemagne, l’AfD poursuit son ascension, aux côtés du BSW.
En Allemagne, comme partout en Europe, les citoyens ne sont pas étrangers à l’angoisse sécuritaire et identitaire.
Un an avant les élections fédérales allemandes, les élections régionales de septembre vont être analysées à la loupe.
Le moment est historique. La droite européenne peut rêver d’un grand parti, et même de la première place. Explications.
La déferlante de l’AfD semble difficile à contenir.
Une telle percée inquiète les partis dits de gouvernement.
« Faut-il interdire l’extrême droite qui gagne du terrain aux élections ? » La question – faussement innocente – a été lâchée, vendredi dernier, pendant
Lors de cette conférence de presse, Alice Weidel entendait répondre à la campagne de dénigrement dont est victime l’AfD
Rien de bien extraordinaire : les discussions ont tourné sur la faisabilité juridique de la remigration.
Au niveau national, l’AfD est crédité de 20 % des intentions de vote.
Sous haute pression migratoire en France, on oublierait presque que nos voisins allemands la subissent eux aussi.
Ces deux victoires d’affilée confirment l’implantation de la droite patriote dans l’est du pays
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées