Union Européenne
Emmanuel Macron a déclaré qu’il ne voulait pas être « dans le commentaire », mais en fait, il l’est.
Mais l’Inde, qui est une nation tout aussi libre, ne serait-elle pas la plus grande démocratie au monde ?
Les fameux « budgets genrés » sont d’ailleurs déjà mis en place par certaines municipalités de gauche.
« Je souhaite une enquête sur ce sujet considérable, car plus on creuse et plus on trouve d’éléments ».
Quand ces gens-là nous rassurent, ce n’est jamais très… rassurant !
Décidément, l’UE rappelle la grenouille de la fable de La Fontaine. À force d’enflure, elle finira par éclater
L’accueil des migrants sera organisé et permanent avec la relocalisation migratoire au sein des pays membres.
Vers un alignement de la Slovaquie sur les positions d’Orbán ?
La lutte contre l’islamophobie est devenue une spécialité de la Commission européenne.
L’Union européenne serait-elle « la prison des peuples » ?
On ne sera guère surpris d’apprendre que c’est une députée française EELV qui préside cette commission.
Le Parlement européen veut museler les États tentés de contrôler à nouveau leurs frontières.
Elle se félicite de l’émergence d’une « Union géopolitique », en réalité de l’alignement sur les États-Unis et l’OTAN.
Que le social-démocrate allemand se mette à parler comme l’extrême droite italienne est un signe encourageant.
La présidente de la commission européenne a tenu un discours de chef d’Etat devant les eurodéputés.
Une fois encore, l’oligarchie mondialisée veut imposer ses vues à des peuples qui ne les partagent pas.
Il est grand temps d’éclairer les yeux des électeurs et de proposer les moyens de reprendre le contrôle du système.
L’année 2023 est en passe d’égaler les niveaux record atteints en 2015.
Dans un rapport du 27 juillet, la Cour des comptes se penche sur « l’impact du budget européen sur le budget de l’État »
Rebondissement dans le Qatargate : Le Soir révèle le contenu d’un fichier accablant sur la corruption en Europe.
Ce sera finalement « non ». Un « non » contrit. Un « non » contraint.
L’objectif est évident : faire de l’Europe le laboratoire planétaire d’intégration des migrants.
On comprend mieux, alors, l’idéologie qui guide, au fond, la politique d’immigration de l’Union européenne.
Ce qui frappe, en écoutant Charles Michel, c’est que l’immigration, au fond, semble être une fatalité.
On ne touche pas aux règles européennes. Jamais. Sauf quand cela dérange le camp du bien.
Avec ce règlement, l’administration européenne se positionne clairement en faveur de la GPA.
Ce 9 mai à Strasbourg, il a interpellé Olaf Scholz sur ses contradictions sur l’économie, le nucléaire, l’immigration.
Giorgia Meloni fait sans doute face à un échec, mais son échec est celui de toute l’Europe.
Emmanuel Macron a déclaré qu’il ne voulait pas être « dans le commentaire », mais en fait, il l’est.
Mais l’Inde, qui est une nation tout aussi libre, ne serait-elle pas la plus grande démocratie au monde ?
Les fameux « budgets genrés » sont d’ailleurs déjà mis en place par certaines municipalités de gauche.
« Je souhaite une enquête sur ce sujet considérable, car plus on creuse et plus on trouve d’éléments ».
Quand ces gens-là nous rassurent, ce n’est jamais très… rassurant !
Décidément, l’UE rappelle la grenouille de la fable de La Fontaine. À force d’enflure, elle finira par éclater
L’accueil des migrants sera organisé et permanent avec la relocalisation migratoire au sein des pays membres.
Vers un alignement de la Slovaquie sur les positions d’Orbán ?
La lutte contre l’islamophobie est devenue une spécialité de la Commission européenne.
L’Union européenne serait-elle « la prison des peuples » ?
On ne sera guère surpris d’apprendre que c’est une députée française EELV qui préside cette commission.
Le Parlement européen veut museler les États tentés de contrôler à nouveau leurs frontières.
Elle se félicite de l’émergence d’une « Union géopolitique », en réalité de l’alignement sur les États-Unis et l’OTAN.
Que le social-démocrate allemand se mette à parler comme l’extrême droite italienne est un signe encourageant.
La présidente de la commission européenne a tenu un discours de chef d’Etat devant les eurodéputés.
Une fois encore, l’oligarchie mondialisée veut imposer ses vues à des peuples qui ne les partagent pas.
Il est grand temps d’éclairer les yeux des électeurs et de proposer les moyens de reprendre le contrôle du système.
L’année 2023 est en passe d’égaler les niveaux record atteints en 2015.
Dans un rapport du 27 juillet, la Cour des comptes se penche sur « l’impact du budget européen sur le budget de l’État »
Rebondissement dans le Qatargate : Le Soir révèle le contenu d’un fichier accablant sur la corruption en Europe.
Ce sera finalement « non ». Un « non » contrit. Un « non » contraint.
L’objectif est évident : faire de l’Europe le laboratoire planétaire d’intégration des migrants.
On comprend mieux, alors, l’idéologie qui guide, au fond, la politique d’immigration de l’Union européenne.
Ce qui frappe, en écoutant Charles Michel, c’est que l’immigration, au fond, semble être une fatalité.
On ne touche pas aux règles européennes. Jamais. Sauf quand cela dérange le camp du bien.
Avec ce règlement, l’administration européenne se positionne clairement en faveur de la GPA.
Ce 9 mai à Strasbourg, il a interpellé Olaf Scholz sur ses contradictions sur l’économie, le nucléaire, l’immigration.
Giorgia Meloni fait sans doute face à un échec, mais son échec est celui de toute l’Europe.