Cinéma
Cette scène témoignerait d’une intolérable vision machiste dans laquelle l’homme, tout à son narcissisme phallique, jouirait de son pouvoir sur la pauvre femme sans défense.
Shakespeare n’a pas écrit pour l’armée américaine mais son texte dépasse le temps, le lieu… et les hommes, quelle que soit la couleur de leur peau.
Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.
Enthousiaste mais réservé, d’une culture encyclopédique, Bertrand Tavernier avait découvert le cinéma dans les années 50 avec Dernier Atout, de Jacques Becker, sorti en 1942.
Un spectacle navrant qui attend donc son rebondissement judiciaire.
Que reste-t-il du cinéma français ? Si on enlève les quotas diversitaires, le militantisme sociétal et l’entre-soi, rien.
Le cinéma français, suivant de la sorte le cinéma hollywoodien, d’une usine à rêves est devenu une fabrique d’idéologie.
Le dragueur lourdingue à l’accent français, perpétuel éconduit par la gent féminine à cause de son odeur insoutenable, a été coupé au montage de la prochaine superproduction Space Jam 2.
« Un cauchemar pour ceux qui aiment le cinéma et qui repensent à tous les grands chefs-d’œuvre classiques du cinéma français. » Philippe de Villiers
Je propose un défi aux producteurs et réalisateurs français : celui de réaliser un film épique et héroïque à travers le personnage emblématique du colonel Arnaud Beltrame.
Entre prises de position politiques virulentes et maladroites, des blagues ratées, des hésitations et bafouillements, l’événement s’est révélé être gênant pour les téléspectateurs.
Opération Re Mida est à voir, telle une jouissive incongruité, totalement foldingue, parfaitement échevelée, quelque part entre Harold Lloyd et Buster Keaton.
Pour défendre le consensus imposé de toutes parts, le cinéaste se pare des habits du rebelle.
Quitte à nous raconter des histoires, que ce soit dans une salle de cinéma rouge et or avec de belles fictions signées par de véritables créateurs ! Que ce soit sur grand écran avec de superbes mensonges qui disent la vérité !
À l’âge vénérable de 89 ans, Jean-Claude Carrière s’en est allé, durant son sommeil.
Maintenant que tout cela est couvert par la prescription, voici ce qu’il m’avoua…
On s’étonne que personne, depuis des siècles, n’ait jamais songé à demander la mise à l’index de Peau d’âne, qui met en scène une tentation incestueuse, du Petit Poucet, qui montre un abandon d’enfants…
Je n’aurais pas été l’ami de Jean-Pierre Bacri à la sortie de l’isoloir, mais c’était un grand acteur, et surtout un de ces acteurs avec lesquels on se serait bien vu refaire le monde au zinc (quand il y avait des zincs).
La mobilisation s’organise sur Internet pour réclamer une version du film « Maman j’ai raté l’avion » expurgée de la courte scène où apparaît l’ancien magnat de l’immobilier.
La question d’une éventuelle ascendance africaine de la reine Charlotte agite les spécialistes depuis deux siècles.
À Hollywood, une nouvelle obsession woke a vu le jour : l’addiction à l’héroïne.
Il y a, décidément, une exception cinématographique italienne, confirmée par les artisans d’Artus Films qui parviennent, encore et toujours, à exhumer de petits joyaux transalpins.
S’il y en avait bien un qui incarnait le jazz à la française, si ce n’est le jazz français tout court, c’était lui : Claude Bolling, parti à quatre-vingt-dix ans, ce 30 décembre dernier.
Résumer une si longue et si éclectique réussite tient de la gageure.
Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.
Il était le dernier survivant de la joyeuse bande de copains d’Un éléphant ça trompe énormément (1976) d’Yves Robert…
Le journal Madmoizelle, tout en finesse, tire à bout portant : « L’annonce d’une femme noire dans le rôle de James Bond déplaît aux cons. »
Caroline Cellier est morte ? On refuse de le croire.
Cette scène témoignerait d’une intolérable vision machiste dans laquelle l’homme, tout à son narcissisme phallique, jouirait de son pouvoir sur la pauvre femme sans défense.
Shakespeare n’a pas écrit pour l’armée américaine mais son texte dépasse le temps, le lieu… et les hommes, quelle que soit la couleur de leur peau.
Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.
Enthousiaste mais réservé, d’une culture encyclopédique, Bertrand Tavernier avait découvert le cinéma dans les années 50 avec Dernier Atout, de Jacques Becker, sorti en 1942.
Un spectacle navrant qui attend donc son rebondissement judiciaire.
Que reste-t-il du cinéma français ? Si on enlève les quotas diversitaires, le militantisme sociétal et l’entre-soi, rien.
Le cinéma français, suivant de la sorte le cinéma hollywoodien, d’une usine à rêves est devenu une fabrique d’idéologie.
Le dragueur lourdingue à l’accent français, perpétuel éconduit par la gent féminine à cause de son odeur insoutenable, a été coupé au montage de la prochaine superproduction Space Jam 2.
« Un cauchemar pour ceux qui aiment le cinéma et qui repensent à tous les grands chefs-d’œuvre classiques du cinéma français. » Philippe de Villiers
Je propose un défi aux producteurs et réalisateurs français : celui de réaliser un film épique et héroïque à travers le personnage emblématique du colonel Arnaud Beltrame.
Entre prises de position politiques virulentes et maladroites, des blagues ratées, des hésitations et bafouillements, l’événement s’est révélé être gênant pour les téléspectateurs.
Opération Re Mida est à voir, telle une jouissive incongruité, totalement foldingue, parfaitement échevelée, quelque part entre Harold Lloyd et Buster Keaton.
Pour défendre le consensus imposé de toutes parts, le cinéaste se pare des habits du rebelle.
Quitte à nous raconter des histoires, que ce soit dans une salle de cinéma rouge et or avec de belles fictions signées par de véritables créateurs ! Que ce soit sur grand écran avec de superbes mensonges qui disent la vérité !
À l’âge vénérable de 89 ans, Jean-Claude Carrière s’en est allé, durant son sommeil.
Maintenant que tout cela est couvert par la prescription, voici ce qu’il m’avoua…
On s’étonne que personne, depuis des siècles, n’ait jamais songé à demander la mise à l’index de Peau d’âne, qui met en scène une tentation incestueuse, du Petit Poucet, qui montre un abandon d’enfants…
Je n’aurais pas été l’ami de Jean-Pierre Bacri à la sortie de l’isoloir, mais c’était un grand acteur, et surtout un de ces acteurs avec lesquels on se serait bien vu refaire le monde au zinc (quand il y avait des zincs).
La mobilisation s’organise sur Internet pour réclamer une version du film « Maman j’ai raté l’avion » expurgée de la courte scène où apparaît l’ancien magnat de l’immobilier.
La question d’une éventuelle ascendance africaine de la reine Charlotte agite les spécialistes depuis deux siècles.
À Hollywood, une nouvelle obsession woke a vu le jour : l’addiction à l’héroïne.
Il y a, décidément, une exception cinématographique italienne, confirmée par les artisans d’Artus Films qui parviennent, encore et toujours, à exhumer de petits joyaux transalpins.
S’il y en avait bien un qui incarnait le jazz à la française, si ce n’est le jazz français tout court, c’était lui : Claude Bolling, parti à quatre-vingt-dix ans, ce 30 décembre dernier.
Résumer une si longue et si éclectique réussite tient de la gageure.
Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.
Il était le dernier survivant de la joyeuse bande de copains d’Un éléphant ça trompe énormément (1976) d’Yves Robert…
Le journal Madmoizelle, tout en finesse, tire à bout portant : « L’annonce d’une femme noire dans le rôle de James Bond déplaît aux cons. »
Caroline Cellier est morte ? On refuse de le croire.