
« Il m’est impossible de récupérer ce que j’ai perdu, mais je m’assurerai qu’aucun enfant ne sera blessé par ces menteurs et mutilateurs. » Il y a quelques semaines, Chloe Cole, une jeune Californienne de 18 ans, a décidé de poursuivre en justice les médecins et le groupe hospitalier qui ont encouragé sa transition sexuelle quand elle était encore mineure. Aujourd’hui, alors qu’elle regrette son choix, elle espère que son triste témoignage servira de leçon aux médecins qui prescrivent des traitements irréversibles à des enfants.
My teenage life has been the culmination of excruciating pain, regret, and most importantly injustice. It is impossible for me to recoup what I have lost, but I will insure no child will be harmed at the hands of these liars and mutilators. I am suing these monsters. @pnjaban pic.twitter.com/i80VHvGXJn
— Chloe Cole ⭐️ (@ChoooCole) November 11, 2022
« Je ne pourrai jamais allaiter »
Bloqueurs de puberté, testostérone, double mastectomie… Le tragique parcours de Chloe débute en 2017. À l’époque, âgée de douze ans, la petite fille exprime un mal-être et une « confusion de genre » après avoir été exposée à des contenus LGBT sur les réseaux sociaux. Ses parents, ne sachant que faire, demandent un avis médical. Si les premiers spécialistes rencontrés se montrent prudents et préfèrent différer les soins, un docteur encourage la jeune fille à débuter un traitement hormonal. Dès le début de l’année 2018, Chloe se voit alors prescrire des bloqueurs de puberté ainsi qu’une thérapie hormonale. Mais l’état psychologique de la jeune fille ne s’améliore pas, au contraire. Les médecins assurent alors aux parents que « la dysphorie de genre ne guérira pas à moins que Chloe n'entame une transition médicale et sociale pour ressembler davantage à un homme ». Selon ses avocats, ces soi-disant spécialistes seraient même allés plus loin. Ils affirment que la jeune fille court un risque élevé de suicide et menacent ses parents. « Préférez-vous avoir une fille morte ou un fils vivant ? » leur demandent-ils Confrontée à ce choix impossible, Chloe accepte de consulter un chirurgien plasticien. Et alors qu’elle n'est âgée que de 15 ans, la jeune fille se voit retirer ses deux seins.
Rapidement après l’opération, elle commence à « regretter les hormones de transition et la chirurgie ». Chloe comprend qu’elle ne peut être heureuse qu’en acceptant son sexe biologique et naturel. Malheureusement pour elle, il est trop tard… Les traitements qui lui ont été administrés laissent des effets irréversibles. Outre un retard de croissance, Chloe peine à retrouver sa féminité. Malgré des tentatives de réparation, « sa voix reste grave et moins féminine », notent ses avocats. De plus, elle présente désormais un risque élevé de développer des troubles cardiovasculaires. Mais par-dessus tout, Chloe réalise que « la beauté de la maternité » lui a été retirée à un âge où elle ne le comprenait pas. « Ma vie adolescente n’a été que l’accumulation de douleurs atroces, de regrets et surtout d’injustices », écrit-elle. Et d’ajouter : « Je ne sais même pas si, parce qu’on m’a mise sous bloqueurs de puberté et testostérone, je serai capable de concevoir un enfant naturellement. Et je ne pourrai jamais allaiter. »
Poursuites judiciaires
Chloe a donc décidé de se battre pour qu’aucun autre enfant n’ait à subir le même sort. Soutenue par le Center for American Liberty (une association américaine de défense des libertés civiles), la jeune fille poursuit en justice les médecins qui lui ont infligé ces traitements, sans l’avertir des risques encourus et des dommages irréversibles. « Ces monstres », comme elle les appelle, ne lui auraient à aucun moment précisé les effets secondaires des traitements hormonaux (baisse de la fertilité, problèmes osseux, retard dans le développement cérébral, maladies cardiovasculaires…). Selon Chloe, il n’y a pas eu de « consentement informé » mais des « décisions contraintes ». D’autre part, la plaignante accuse les médecins d’avoir obscurci la réalité pour arriver à leurs fins et de ne jamais avoir mentionné que la dysphorie de genre, dans la plupart des cas, se résolvait d’elle-même.
« Par cette action en justice, nous tiendrons les "professionnels" impliqués pour responsables de leurs choix délibérés de mutiler les enfants et d’en bénéficier financièrement », annonce le Center for American Liberty. Une lettre a d’ores et déjà été envoyée aux médecins concernés, le 9 novembre, pour demander des dommages et intérêts et faire jurisprudence. En l’absence de réponse, Chloe prévoit de saisir la Cour supérieure de Californie afin que « le sang et les larmes des détransitionneurs ne soient pas vains ».
La propagande LGBT, la cupidité du système médical, cela fait partie de la vie américaine,
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Hélas, pas seulement de la vie américaine…….Ca vient chez nous….
Ces prétendus médecins devraient être radiés
La propagande LGBT, la cupidité du système médical, cela fait partie de la vie américaine, et c’est tout de même le rôle des parents de protéger leurs enfants des dangers de la vie, ce qui comprend la protection contre les influences néfastes.
Or, l’article indique que l’enfant a été perturbée sur les réseaux sociaux à l’âge de 12 ans. Sauf erreur de ma part, l’accès à ces réseaux n’est autorisée qu’à partir de 13 ans. Une réaction normale des parents aurait donc été d’empêcher matériellement leur fille d’accéder à des réseaux sociaux interdits, de s’informer des informations biaisées qui ont perturbé leur fille et de lui procurer des informations exactes provenant de sources neutres, non liées à une idéologie ou un intérêt quelconque.
Ces parents ont commis l’erreur de consulter quelques médecins, mais cette erreur initiale n’était pas très grave puisque les premiers les spécialistes conseillaient de ne rien faire, donc d’attendre, médicalement parlant. Le problème est qu’à ce moment, ils avaient déjà abandonné leur rôle de parents, par conséquent, pour eux la solution ne pouvait être que médicale. Il se sont donc acharnés jusqu’à trouver un médecin qui agisse selon leurs vœux.
Même si ses parents sont les premiers responsables du parcours de cette jeune fille, je pense qu’elle a tout à fait raison de poursuivre en justice les médecins qui ont fourni, à elle et ses parents, des informations biaisées et incomplètes par cupidité.
si tous les ados qui se trouvent mal dans leur peau passaient par les mains de ces « médecins », les exemples de ce genre se multiplieraient ; je trouve un rapport troublant avec l’affaire des soi-disant vaccins covid ; dans tous les cas, l’argent avant tout
Bienvenue dans le monde merveilleux du progressisme, du transhumanisme et de l’Homme maître de son destin. Et bravo pour les victimes, dont l’âge aurait dû éliminer d’emblée toute ébauche de consentement.
A mon sens, il n’y a pas que les médecins qui soient coupables! Il y a en premier lieu toutes ces organisations qui prônent la liberté de changer de sexe dès le plus jeune âge et bien sûr tous les hommes politiques « bien pensants » qui encouragent cette folie !!
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Je retiens mes larmes… Mais quid de la carence de ses parents, de leur porosité à tous les délires d’une époque, de leur faiblesse coupable à n’avoir pas protégé bec et ongles leur fille face à des charlatans cupides ! Voilà le modèle anglo-saxon qu’on nous perfuse en Europe avec cette glorieuse Ukraine comme tête de pont de la location d’utérus, depuis des haras mercantiles de poulinières, au bénéfice d’homosexuels en mal de procréation. Certes, Poutine n’avait rien à faire dans ce pays, mais ni plus ni moins que la culture anglo-saxonne n’a à détruire la nôtre.
Chloé a été exposée à la propagande LGBTQI+, une propagande scandaleusement prosélyte, qui est l’explication première de la multiplication des « dysphories de genre » qui ne sont en réalité que des interrogations propres à l’adolescence, qui se résolvent d’elles-mêmes en 2 ou 3 ans. Il faut mettre un terme à la tyrannie des minorités, dont la mouvance LGBTQI+ est le fleuron. Ça ne sera possible que si les électeurs le décident majoritairement, c’est à dire s’ils renoncent à leur frilosité et comprennent qu’il est temps de renoncer à l’eau tiède.
Ma petite-fille qui vient d’avoir 18 ans et qui habite à Miami, a une copine qui a vécu la même histoire. C’est effarant de voir le business de ces cliniques spécialisées dans la Transgender-Transition aux USA. Avant les
cliniques étaient spécialisées en chirurgie esthétique et proposaient aux parents de faire une opération des seins ou dusexe a leur enfant comme cadeau d’anniversaire. Aujourd’hui, le cadeau est un changement de sexe et c’est … plus cher!
Et en France, je ne sais pas comment se passe les traitements médicaux, mais les établissements scolaires sont TENUS d’utiliser le pronom choisi par l’enfant SANS EN INFORMER LES PARENTS.
De quoi entretenir l’enfant dans sa psychose.
Il faudrait pour cela que, les psychologues les services de pédiatrie donnent des chiffres sur les demandes, ce serait déjà un commencement…
Comme beaucoup ( je l’espère…) de pères de famille, je n’aurais jamais accepté que l’un de mes enfants soit victime de la lubie de ces cinglés! Ce drame est loin d’être unique, et les parents de ces gosses sont lamentables!
Il suffit de savoir les bénéfices pharaoniques que ces cliniques spécialisées dans ces interventions se font pour comprendre !
Cette affaire est importante. Il faut espérer qu’elle va faire du bruit, et que d’autres enfants abusés de la même manière vont se révolter à leur tour. Seul un bruit médiatique intense pourrait venir à bout de cette folie occidentale mondiale, et il faut vraiment qu’elle s’arrête.
Pour ma part, je diffuse à toutes mes relations. Ce témoignage doit servir d’exemple et être brandi à la face de tous ceux qui encouragent cette manipulation.
Deux types de médecine ont toujours existé.
L’une à comme principe ; PRIMUM NON NOCERE.
Pour l’autre l’important est : PRIMUM PASSEZ-LA-MONNAIE ……
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ça devraient être interdit de changer de sexe on doit rester comme on est né .
Ces d’interventions devraient être interdites. Les parents sont responsables autant que les médecins. Le « mal-être » des enfants ne se résout pas à coup de bistouris.
Bien d’accord avec vous. Il est évident que les parents portent une part de responsabilité, peut-être la plus grande puisqu’ils ont autorisé traitements médicaux et mutilations sur l’enfant qu’ils avaient le devoir de protéger.