Certains expatriés de retour en France pour une année se disent qu'ils auront au moins les mêmes droits, les mêmes aides, qu'un demandeur d'asile ou un ancien détenu, eh bien non. La préférence étrangère et celle que l'on octoie aux faillis place ces deux catégories chéries des Socialistes devant les ressortissants français qui ont un casier vierge.
19 décembre 2017 à 19:58