Soyons objectif, c’est une excellente initiative. De telles unités auraient même dû être mises en place depuis longtemps.
Tout est fait pour que le fossé entre les Français et leur police se creuse chaque jour davantage.
La raison évoquée pour ce déni de justice : la fameuse trêve hivernale, laquelle aurait été accordée aux squatteurs par une autre décision de justice ! Un comble.
Une fois de plus, l’exemple est donné d’un système qui non seulement méprise les victimes mais, en plus, s’assoit sur des mois de travail des services de police.
Aujourd’hui, plusieurs questions de fond empêchent les policiers de sortir des centres de formation parfaitement préparés à leur futur métier.
Revaloriser le métier de gardien de la paix est donc devenu une nécessité absolue.
Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que six associations, dont Amnesty International, décident d’une action de groupe contre l’État français…
À la fois racoleur et fortement médiatique, le spectacle aura au moins l’intérêt de distraire un peu le peuple et de le sortir de sa torpeur « covidesque ».
Malheureusement, passées les déclarations ministérielles toutes plus grandiloquentes les unes que les autres, que se passera-t-il ? Rien.
La reconquête sécuritaire de notre territoire national nécessite, par conséquent, aujourd’hui, un traitement de choc.
La France a donc la police qu’elle mérite.
La faute du président de la République est incommensurable et historique.
Les marges de manœuvres présidentielles à l’occasion de son « Beauvau de la sécurité » seront étroites.
Il est vrai que pour qui veut déstabiliser la police nationale, et donc le pouvoir en place, l’IGPN, à qui il est fait le reproche de protéger les policiers sur lesquels elle est amenée à enquêter, constitue une cible de choix.
Nos gouvernants sont, aujourd’hui, complètement dépassés par les événements et ,donc, à la merci du premier « couac » sécuritaire qui surgit.
Chaque fonctionnaire, policier ou militaire doit prendre désormais conscience que le danger islamiste n’est plus exclusivement extérieur.
Que s’est-il donc passé, au cours de ces dernières années, pour que le droit de manifester se transforme peu à peu en droit de détruire et de casser ?
Jamais un ministre de l’Intérieur n’aura tiré vers le bas, de façon aussi manifeste et rapide, l’image de l’institution dont il a la charge.
La « nouvelle » police de sécurité du quotidien voulue par Macron est un échec retentissant. Elle était morte avant même d’avoir été mise en place, car complètement déconnectée de la réalité du terrain.
Avec les nouveaux suicides de deux policiers, ce sont désormais pas moins de 41 fonctionnaires de police qui ont mis fin à leurs jours depuis le 1er janvier.
Alors que la fête nationale du 14 Juillet vient à peine de s’achever, il convenait que la grande communauté de la Défense, à laquelle tout citoyen français se doit de s’identifier, rende un dernier hommage à ces soldats de l’ombre qui œuvrent au quotidien pour notre sécurité.
Quelques heures avant que les émeutes consécutives au match de football ne se produisent, le commissariat de Saint-Denis (93) faisait l’objet d’une attaque par plusieurs dizaines de jeunes…
Alexandre Langlois est donc bien victime d’une chasse aux sorcières.
L’écologie, sous la pression des événements climatiques, ne fera que se radicaliser.
Force est de constater que les violences à l’encontre des forces de l’ordre n’ont plus besoin, aujourd’hui, d’être précédées d’un quelconque prétexte ou motif.
Le bras de fer entre le président du MEDEF et le parti présidentiel n’aura donc duré que ce que durent les roses.
Cette affaire Benalla, qui aurait pu être une affaire d’État à condition que l’on se trouve au cœur d’une République exemplaire, ne débouchera en réalité sur rien.
Les islamistes les plus radicalisés gagnent peu à peu du terrain sans que les pouvoirs publics n’aient su, voulu ou pu se donner les moyens de réagir.
Soyons objectif, c’est une excellente initiative. De telles unités auraient même dû être mises en place depuis longtemps.
Tout est fait pour que le fossé entre les Français et leur police se creuse chaque jour davantage.
La raison évoquée pour ce déni de justice : la fameuse trêve hivernale, laquelle aurait été accordée aux squatteurs par une autre décision de justice ! Un comble.
Une fois de plus, l’exemple est donné d’un système qui non seulement méprise les victimes mais, en plus, s’assoit sur des mois de travail des services de police.
Aujourd’hui, plusieurs questions de fond empêchent les policiers de sortir des centres de formation parfaitement préparés à leur futur métier.
Revaloriser le métier de gardien de la paix est donc devenu une nécessité absolue.
Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que six associations, dont Amnesty International, décident d’une action de groupe contre l’État français…
À la fois racoleur et fortement médiatique, le spectacle aura au moins l’intérêt de distraire un peu le peuple et de le sortir de sa torpeur « covidesque ».
Malheureusement, passées les déclarations ministérielles toutes plus grandiloquentes les unes que les autres, que se passera-t-il ? Rien.
La reconquête sécuritaire de notre territoire national nécessite, par conséquent, aujourd’hui, un traitement de choc.
La France a donc la police qu’elle mérite.
La faute du président de la République est incommensurable et historique.
Les marges de manœuvres présidentielles à l’occasion de son « Beauvau de la sécurité » seront étroites.
Il est vrai que pour qui veut déstabiliser la police nationale, et donc le pouvoir en place, l’IGPN, à qui il est fait le reproche de protéger les policiers sur lesquels elle est amenée à enquêter, constitue une cible de choix.
Nos gouvernants sont, aujourd’hui, complètement dépassés par les événements et ,donc, à la merci du premier « couac » sécuritaire qui surgit.
Chaque fonctionnaire, policier ou militaire doit prendre désormais conscience que le danger islamiste n’est plus exclusivement extérieur.
Que s’est-il donc passé, au cours de ces dernières années, pour que le droit de manifester se transforme peu à peu en droit de détruire et de casser ?
Jamais un ministre de l’Intérieur n’aura tiré vers le bas, de façon aussi manifeste et rapide, l’image de l’institution dont il a la charge.
La « nouvelle » police de sécurité du quotidien voulue par Macron est un échec retentissant. Elle était morte avant même d’avoir été mise en place, car complètement déconnectée de la réalité du terrain.
Avec les nouveaux suicides de deux policiers, ce sont désormais pas moins de 41 fonctionnaires de police qui ont mis fin à leurs jours depuis le 1er janvier.
Alors que la fête nationale du 14 Juillet vient à peine de s’achever, il convenait que la grande communauté de la Défense, à laquelle tout citoyen français se doit de s’identifier, rende un dernier hommage à ces soldats de l’ombre qui œuvrent au quotidien pour notre sécurité.
Quelques heures avant que les émeutes consécutives au match de football ne se produisent, le commissariat de Saint-Denis (93) faisait l’objet d’une attaque par plusieurs dizaines de jeunes…
Alexandre Langlois est donc bien victime d’une chasse aux sorcières.
L’écologie, sous la pression des événements climatiques, ne fera que se radicaliser.
Force est de constater que les violences à l’encontre des forces de l’ordre n’ont plus besoin, aujourd’hui, d’être précédées d’un quelconque prétexte ou motif.
Le bras de fer entre le président du MEDEF et le parti présidentiel n’aura donc duré que ce que durent les roses.
Cette affaire Benalla, qui aurait pu être une affaire d’État à condition que l’on se trouve au cœur d’une République exemplaire, ne débouchera en réalité sur rien.
Les islamistes les plus radicalisés gagnent peu à peu du terrain sans que les pouvoirs publics n’aient su, voulu ou pu se donner les moyens de réagir.