Décidément, la présidente de la Commission européenne a des difficultés avec les nouvelles technologies.
Nous ne saurons peut-être jamais si des preuves matérielles de l’implication de Washington existent. En revanche, ce qui est certain, c’est qu’il y avait bien un mobile.
Hersh n’est pas le premier venu. Aux États-Unis, c’est une légende du journalisme. En 1970, il avait reçu le prix Pulitzer…
Nikki Haley, qui devrait annoncer officiellement sa candidature le 15 février prochain, a le sens du marketing politique et cherche à jouer de ses différences auprès des électeurs et des médias.
Il aura suffi d’un mystérieux ballon chinois survolant l’espace aérien américain pour que revienne au galop le langage de la confrontation et de l’invective.
Après les propos tenus par Ursula von der Leyen, on ne peut donc que s’interroger : où sont passés les fact-checkers ?
De la petite fiole de Colin Powell allait alors sortir un bien mauvais génie qui se préparait à déchaîner l’apocalypse sur la Mésopotamie…
Les chars ne sont qu’une étape qui conduit à une autre et qui conduit ainsi progressivement les Occidentaux à accepter l’idée qu’ils n’ont pas d’autre solution qu’une confrontation directe avec la Russie.
Si, bien entendu, sa candidature reste fragile en raison de ses multiples affaires, on notera malgré tout l’étonnante résistance de celui qui reste, à ce stade, le seul candidat républicain déclaré.
Les professionnels du droit interrogés pour en témoigner l’affirment avec certitude : un « tribunal médiatique » s’est instauré qui met en danger la présomption d’innocence et le droit à un procès équitable.
Depuis des années, Joe Biden ne cesse de le répéter, il y a une tache qui salit l’âme de la nation américaine : « la haine et le suprémacisme blanc ».
La guerre, donc, une guerre mondiale qui part du principe que les intérêts américains se confondent avec ceux de l’Europe et de la France.
Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.
Le conflit ukrainien aura constitué pour Bruxelles comme pour Washington une formidable occasion d’accélérer, vis-à-vis des États nations européens, une double captation de souveraineté.
Son incessante danse à contre-pied, dans un contexte de confrontation avec une puissance nucléaire, n’a cependant rien de risible. Bien au contraire, elle rend la politique de la France illisible et imprévisible.
Benoît XVI avait foi en un Dieu de paix mais sans naïveté. La suite a confirmé qu’il avait bien raison.
La crise, oui, les épreuves, oui, mais à l’horizon, les lendemains qui chantent.
En réalité, la grande mosquée de Paris n’avait à aucun moment été animée par la volonté « d’interdire l’irrévérence, de condamner le blasphème ou de censurer des caricaturistes ». Pas du tout, la vraie raison était tout autre.
Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.
À l’approche d’une nouvelle année, souhaitons alors à l’Europe en guerre de pouvoir un jour respirer avec ses deux poumons.
On se souvient de Montesquieu pour qui les juges devaient être la « bouche de la loi ». Il est à craindre qu’ils soient aussi, parfois, la « bouche de l’idéologie ».
Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.
Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.
Il semble bien, en effet, que l’état-major russe, sous la conduite du général Sourovikine, ait appris de ses erreurs et fait le choix, cette fois-ci, de reprendre les choses dans l’ordre en commençant par des bombardements massifs, comme les Occidentaux l’avaient fait en Serbie ou en Irak.
Trump comme Biden ont multiplié les promesses puis les prétextes pour se dérober.
La tentation ne serait-elle pas grande d’entrer en Ukraine afin de sécuriser sa partie occidentale ?
La meilleure façon d’intégrer les nouveaux venus, c’est de désintégrer la France.
En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.
Décidément, la présidente de la Commission européenne a des difficultés avec les nouvelles technologies.
Nous ne saurons peut-être jamais si des preuves matérielles de l’implication de Washington existent. En revanche, ce qui est certain, c’est qu’il y avait bien un mobile.
Hersh n’est pas le premier venu. Aux États-Unis, c’est une légende du journalisme. En 1970, il avait reçu le prix Pulitzer…
Nikki Haley, qui devrait annoncer officiellement sa candidature le 15 février prochain, a le sens du marketing politique et cherche à jouer de ses différences auprès des électeurs et des médias.
Il aura suffi d’un mystérieux ballon chinois survolant l’espace aérien américain pour que revienne au galop le langage de la confrontation et de l’invective.
Après les propos tenus par Ursula von der Leyen, on ne peut donc que s’interroger : où sont passés les fact-checkers ?
De la petite fiole de Colin Powell allait alors sortir un bien mauvais génie qui se préparait à déchaîner l’apocalypse sur la Mésopotamie…
Les chars ne sont qu’une étape qui conduit à une autre et qui conduit ainsi progressivement les Occidentaux à accepter l’idée qu’ils n’ont pas d’autre solution qu’une confrontation directe avec la Russie.
Si, bien entendu, sa candidature reste fragile en raison de ses multiples affaires, on notera malgré tout l’étonnante résistance de celui qui reste, à ce stade, le seul candidat républicain déclaré.
Les professionnels du droit interrogés pour en témoigner l’affirment avec certitude : un « tribunal médiatique » s’est instauré qui met en danger la présomption d’innocence et le droit à un procès équitable.
Depuis des années, Joe Biden ne cesse de le répéter, il y a une tache qui salit l’âme de la nation américaine : « la haine et le suprémacisme blanc ».
La guerre, donc, une guerre mondiale qui part du principe que les intérêts américains se confondent avec ceux de l’Europe et de la France.
Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.
Le conflit ukrainien aura constitué pour Bruxelles comme pour Washington une formidable occasion d’accélérer, vis-à-vis des États nations européens, une double captation de souveraineté.
Son incessante danse à contre-pied, dans un contexte de confrontation avec une puissance nucléaire, n’a cependant rien de risible. Bien au contraire, elle rend la politique de la France illisible et imprévisible.
Benoît XVI avait foi en un Dieu de paix mais sans naïveté. La suite a confirmé qu’il avait bien raison.
La crise, oui, les épreuves, oui, mais à l’horizon, les lendemains qui chantent.
En réalité, la grande mosquée de Paris n’avait à aucun moment été animée par la volonté « d’interdire l’irrévérence, de condamner le blasphème ou de censurer des caricaturistes ». Pas du tout, la vraie raison était tout autre.
Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.
À l’approche d’une nouvelle année, souhaitons alors à l’Europe en guerre de pouvoir un jour respirer avec ses deux poumons.
On se souvient de Montesquieu pour qui les juges devaient être la « bouche de la loi ». Il est à craindre qu’ils soient aussi, parfois, la « bouche de l’idéologie ».
Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.
Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.
Il semble bien, en effet, que l’état-major russe, sous la conduite du général Sourovikine, ait appris de ses erreurs et fait le choix, cette fois-ci, de reprendre les choses dans l’ordre en commençant par des bombardements massifs, comme les Occidentaux l’avaient fait en Serbie ou en Irak.
Trump comme Biden ont multiplié les promesses puis les prétextes pour se dérober.
La tentation ne serait-elle pas grande d’entrer en Ukraine afin de sécuriser sa partie occidentale ?
La meilleure façon d’intégrer les nouveaux venus, c’est de désintégrer la France.
En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.