En 1801, l’astronome qui a découvert Uranus, William Herschel, a fait rire ses collègues en constatant que le prix du blé en Angleterre variait comme varie le nombre de taches sur le Soleil. Comment des taches solaires pourraient-elles influencer le climat ? Les astronomes du XXIe siècle ont répondu à cette question et sont même parvenus à préciser ce que l’avenir nous promet…

Quand le Soleil a beaucoup de taches, cela signifie qu’il est très actif sur le plan magnétique et le « vent solaire » est alors puissant vers la Terre. Par ailleurs, notre galaxie nous envoie beaucoup de rayons cosmiques, particules et rayonnements qui interfèrent avec notre couche nuageuse en la renforçant… tant que le vent solaire ne les chasse pas. Si le vent solaire chasse au loin les rayons cosmiques, notre atmosphère devient plus transparente, le soleil nous réchauffe, le blé pousse mieux et son prix baisse !

Le XXe siècle a bénéficié globalement de beaucoup de taches solaires... a connu peu de périodes froides. Le XXIe siècle en aura peu, comme le XIXe. Valentina Zharkova et James A. Maruschi ont pu s’en assurer par leurs observations et calculs et nous connaissons, ainsi, une des principales causes des changements climatiques sur une centaine d’années.

Une autre cause de changement climatique : les puissantes éruptions volcaniques qui obscurcissent le ciel et refroidissent le climat. Reconnaissons que, lorsque le GIEC a, en 1986, désigné le gaz carbonique (CO2) comme coupable des changements climatiques, le rôle des rayons cosmiques était flou.

Et une question mérite d’être posée : d’où vient ce choix du GIEC ? Il vient de la bouteille de Mme Eunice Newton Foote en 1848. Remplie de CO2, elle chauffait plus qu’une bouteille remplie d’air. On a beaucoup « brodé » sur cette bouteille, mais allons droit au fait[ref]Thomas Allmendinger, The Refutation of the Climate Greenhouse Theory and a Proposal for a Hopeful Alternative, Environment Pollution and Climate Change[/ref] : tous les gaz de forte masse moléculaire chauffent de la même façon et le CO2 n’a rien de spécial. L’argon, par exemple, dont notre atmosphère a une quantité 25 fois plus grande, a les mêmes propriétés que le CO2… sans effet, non plus, sur la température terrestre. Alors, pourquoi ce choix par Al Gore et le GIEC en 1986 ? Il fallait faire peur aux Occidentaux après la terreur nucléaire liée à la guerre froide. Il fallait calmer une nouvelle peur à grands frais… faire payer de nouvelles « indulgences », cette fois en faveur de quelques promoteurs d’« énergies vertes », dont la moins justifiable : les éoliennes.

Robert Ian Holmes[ref]Molar Mass Version of the Ideal Gas Law Points to a Very Low Climate Sensitivity[/ref] a calculé, à l’aide de la loi des gaz parfaits, le gain de température à l’intérieur des atmosphères de toutes les planètes du système solaire. Des calculs qui n’étaient pas encore possibles il y a quelques années ont pu être faits, même pour Titan, le grand satellite de Saturne. Le CO2 ne joue aucun rôle, la théorie du GIEC est bel et bien caduque… Wikipédia ignore toujours le rôle des rayons cosmiques dans son texte sur le « réchauffement climatique » et l’argument choc d’Al Gore – quand le CO2 croît, la température terrestre croît -, le public y croit toujours. Une analyse fine des échantillons de glace extraits de l’Antarctique révèle que la croissance du CO2 suit la montée de température de la Terre. Le GIEC avait inversé la cause et l’effet. Quand la température terrestre augmente, les océans chauffent et crachent leur CO2.

Espérons que la vérité finira par être connue et que nous échapperons à ces « indulgences » ruineuses, polluantes, quasi inutiles, que sont les éoliennes et autres énergies « vertes » !

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04 mars 2018 à 20:34

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