présidentielle
Bref, pour résumer : les soutiens d’Emmanuel Macron se recrutent dans le ventre mou de la nation.
Soit un catalogue de mesures, ou de mesurettes, diront les mauvais esprits, mais dans lequel on note l’absence de trois grands sujets : l’islamisme politique, l’immigration et l’insécurité.
Peut-être que la démocratie, c’est faire confiance au peuple, au lieu d’utiliser l’appareil d’État pour prolonger artificiellement un système à bout de souffle.
À l’heure où Éric Zemmour et Marine Le Pen peinent à obtenir les leurs, alors qu’ils sont crédités de 15 à 17 % d’intentions de vote selon les sondages, cela a de quoi surprendre.
Du côté de nos voisins européens, la situation est plus réjouissante. Après le Danemark, le Royaume-Uni et l’Allemagne, ce sont l’Autriche et la Suisse qui lèvent les restrictions.
La déconnexion entre les hommes d’Église et leurs fidèles semble, au regard de ce sondage, irrémédiablement consommée.
Cinq candidats vont jouer un rôle important dans l’élection présidentielle prochaine, mais seulement deux s’affronteront au second tour. Il faudra absolument éliminer, dès le premier tour, les antidémocrates, « moins-disant souverainistes »…
Bref, pour résumer : les soutiens d’Emmanuel Macron se recrutent dans le ventre mou de la nation.
Soit un catalogue de mesures, ou de mesurettes, diront les mauvais esprits, mais dans lequel on note l’absence de trois grands sujets : l’islamisme politique, l’immigration et l’insécurité.
Peut-être que la démocratie, c’est faire confiance au peuple, au lieu d’utiliser l’appareil d’État pour prolonger artificiellement un système à bout de souffle.
À l’heure où Éric Zemmour et Marine Le Pen peinent à obtenir les leurs, alors qu’ils sont crédités de 15 à 17 % d’intentions de vote selon les sondages, cela a de quoi surprendre.
Du côté de nos voisins européens, la situation est plus réjouissante. Après le Danemark, le Royaume-Uni et l’Allemagne, ce sont l’Autriche et la Suisse qui lèvent les restrictions.
La déconnexion entre les hommes d’Église et leurs fidèles semble, au regard de ce sondage, irrémédiablement consommée.
Cinq candidats vont jouer un rôle important dans l’élection présidentielle prochaine, mais seulement deux s’affronteront au second tour. Il faudra absolument éliminer, dès le premier tour, les antidémocrates, « moins-disant souverainistes »…