Meurtre
Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.
Le suspect aurait attaqué sa professeure principale âgée de 55 ans et l’aurait tuée avec un couteau
Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures.
Ces drames témoignent de notre incapacité à responsabiliser cette génération, à l’aider à maitriser ses pulsions et à trouver l’attitude ajustée dans ses relations aux autres.
L’indignation et l’incompréhension de l’épouse de Philippe Monguillot face à la requalification des charges contre les accusés.
Contacté par nos soins, le tribunal judiciaire de Montauban relève que l’ancien parachutiste « a reçu un coup de poing et un coup de pied par un seul individu qui l’ont fait lourdement chuter au sol ».
De son côté, la gendarmerie nationale de Montauban, dont le poste est situé à deux minutes en voiture de la terrible agression, se refuse à tout commentaire : « Ce n’est pas notre secteur », évacue le fonctionnaire.
Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.
Le suspect aurait attaqué sa professeure principale âgée de 55 ans et l’aurait tuée avec un couteau
Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures.
Ces drames témoignent de notre incapacité à responsabiliser cette génération, à l’aider à maitriser ses pulsions et à trouver l’attitude ajustée dans ses relations aux autres.
L’indignation et l’incompréhension de l’épouse de Philippe Monguillot face à la requalification des charges contre les accusés.
Contacté par nos soins, le tribunal judiciaire de Montauban relève que l’ancien parachutiste « a reçu un coup de poing et un coup de pied par un seul individu qui l’ont fait lourdement chuter au sol ».
De son côté, la gendarmerie nationale de Montauban, dont le poste est situé à deux minutes en voiture de la terrible agression, se refuse à tout commentaire : « Ce n’est pas notre secteur », évacue le fonctionnaire.