François Molins
Le seul espoir, aujourd’hui, permis à ces familles est celui de demander aujourd’hui la restitution des organes de leurs proches disparus. Théoriquement, ceux-ci ont été placés sous scellés. Reste, maintenant, à la Justice de déterminer quelles responsabilités ont été engagées et à réparer l’innommable.
Elles émanent aussi bien de particuliers que de collectifs de victimes, d’associations ou de syndicats et visent à peu près tous les ministères, depuis le Premier ministre jusqu’au ministre de l’Education en passant évidemment par la Santé.
Le seul espoir, aujourd’hui, permis à ces familles est celui de demander aujourd’hui la restitution des organes de leurs proches disparus. Théoriquement, ceux-ci ont été placés sous scellés. Reste, maintenant, à la Justice de déterminer quelles responsabilités ont été engagées et à réparer l’innommable.
Elles émanent aussi bien de particuliers que de collectifs de victimes, d’associations ou de syndicats et visent à peu près tous les ministères, depuis le Premier ministre jusqu’au ministre de l’Education en passant évidemment par la Santé.