Bachar el-Assad
Le film n’échappe pas aux lieux communs sur Bachar el-Assad et ce que fut la guerre en Syrie.
L’intervention russe de 2015 sauva la Syrie et permit la reconquête progressive du pays. Mais, bien évidemment, les Occidentaux s’en étaient mêlés.
Poutine écoutera, impassible, et prendra sa décision. Plus que jamais, c’est lui le maître du jeu en Syrie.
C’est la première fois que Poutine va à Damas depuis le début de la guerre en 2011.
Qu’on cesse cette mascarade qui consiste à couvrir nos turpitudes d’un voile de morale et d’humanisme !
Le président syrien Bachar el-Hassad sort de son silence…
Tout ce qui se passe en Syrie en ce moment n’est, certes, pas du cinéma, mais ressemble diablement à un spectacle conçu et réalisé par les acteurs principaux.
Cette mention d’« intégrité territoriale de la Syrie » est une concession nouvelle et fondamentale de la part d’Erdoğan.
« Je souhaite la victoire de l’armée syrienne ! » (Thierry Mariani)
La majeure partie des islamistes combattants sont affiliés au groupe Hayat Tahrir al-Cham, successeur du Front al-Nosra, qui s’est imposé au détriment d’autres milices islamistes soutenues par Ankara.
Après huit ans de guerre, les islamistes n’ont plus aucune chance de remporter la victoire militaire qu’ils convoitaient en Syrie.
Alors, comme toujours dans la région, le dernier mot reviendra à la Russie…
Si le peuple syrien avait été unanime contre le « régime », celui-ci n’aurait pas tenu.
S’en remettra-t-il un jour ? Nul ne le sait.
Les Occidentaux sont prisonniers de leur rhétorique manichéenne. À force de répéter que Bachar est un monstre « qui massacre son propre peuple », aucun recul, aucune analyse objective ne sont possibles.
Le gouvernement et la plupart des médias ont choisi d’imposer, sans nuances, une vision manichéenne de la situation syrienne.
Voilà une information qui ne va pas plaire à tout le monde.
Le film n’échappe pas aux lieux communs sur Bachar el-Assad et ce que fut la guerre en Syrie.
L’intervention russe de 2015 sauva la Syrie et permit la reconquête progressive du pays. Mais, bien évidemment, les Occidentaux s’en étaient mêlés.
Poutine écoutera, impassible, et prendra sa décision. Plus que jamais, c’est lui le maître du jeu en Syrie.
C’est la première fois que Poutine va à Damas depuis le début de la guerre en 2011.
Qu’on cesse cette mascarade qui consiste à couvrir nos turpitudes d’un voile de morale et d’humanisme !
Le président syrien Bachar el-Hassad sort de son silence…
Tout ce qui se passe en Syrie en ce moment n’est, certes, pas du cinéma, mais ressemble diablement à un spectacle conçu et réalisé par les acteurs principaux.
Cette mention d’« intégrité territoriale de la Syrie » est une concession nouvelle et fondamentale de la part d’Erdoğan.
« Je souhaite la victoire de l’armée syrienne ! » (Thierry Mariani)
La majeure partie des islamistes combattants sont affiliés au groupe Hayat Tahrir al-Cham, successeur du Front al-Nosra, qui s’est imposé au détriment d’autres milices islamistes soutenues par Ankara.
Après huit ans de guerre, les islamistes n’ont plus aucune chance de remporter la victoire militaire qu’ils convoitaient en Syrie.
Alors, comme toujours dans la région, le dernier mot reviendra à la Russie…
Si le peuple syrien avait été unanime contre le « régime », celui-ci n’aurait pas tenu.
S’en remettra-t-il un jour ? Nul ne le sait.
Les Occidentaux sont prisonniers de leur rhétorique manichéenne. À force de répéter que Bachar est un monstre « qui massacre son propre peuple », aucun recul, aucune analyse objective ne sont possibles.
Le gouvernement et la plupart des médias ont choisi d’imposer, sans nuances, une vision manichéenne de la situation syrienne.
Voilà une information qui ne va pas plaire à tout le monde.