Macron, le président des oligarques patrons de presse et des inspecteurs des finances, essaie de surpasser son maître en enfumage, le déjà oublié Hollande.

La tactique est simple : on fait semblant de baisser une taxe, en l’occurence celle d’habitation, on ne le fait que pour une part des contribuables et en plusieurs temps tandis qu’on augmente massivement d’autres impôts en particulier la CSG et les droits sur l’énergie.

Evidemment quand Macron pointe sa carte de bonneteau, les médias regardent son doigt et font mine de ne pas remarquer l’entourloupe.

Mais qui sait les braves gens, en janvier, auront peut-être la malencontreuse idée de regarder le « net à payer » sur leur bulletin de salaire et leur retraite et constateront alors que des dizaines voire des centaines d’euros leur font défaut. La popularité de l’escamoteur de l’Élysée risque d’en prendre un coup.

Heureusement il existe une solution. Les Verts du Conseil de Paris nous la suggèrent en demandant l’organisation de journées du « matrimoine ». Une manière de lutter contre l’effroyable machisme qui opprime les femmes dans les sociétés occidentales et qui, bien sûr, n’existe que là et pas ailleurs.

Allons plus loin : créons un impôt sur le matrimoine qui viendrait s’ajouter à tous ceux qui frappent le capital affublé du nom du sexe opposé.

Cela permettrait à Macron de doubler ses rentrées et au taux d’imposition, qui flirte avec les 47 % du PIB, d’atteindre enfin un idéal socialiste de 94 %. Même Mélenchon serait enfoncé.

Ne seraient exonérés que les sans genre et autres nosexuels. À la condition qu’ils soient abstinents en bagatelle bien sûr.

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24 novembre 2017 à 16:22

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