L’affaire Huawei déstabilise les marchés financiers, fait piquer du nez en Bourse le secteur des semi-conducteurs et contribue à créer un climat malsain dans un monde dont les fondamentaux économiques sont catastrophiques.
La réalité, c’est que la guerre commerciale et technologique, avec comme enjeu la domination du monde, a été déclarée par Trump et que rien ne pourra plus l’arrêter.
Les hirondelles médiatiques ne feront jamais le printemps.
Le prix de l’immobilier va bientôt dépasser les 10.000 euros du mètre carré à Paris, soit une hausse de plus de 50 % en dix ans ; cela n’est jamais que la finalisation d’une bulle immobilière…
On va tout droit vers la récession avec un krach à la clé.
On va donc tout droit vers l’explosion, mais les boursiers regardent le doigt lorsqu’on leur montre la lune des réalités.
La dette française frôlera les 100 % du PIB en 2022 et non pas 90 %, comme dans de précédentes estimations.
On peut illusionner en créant de la monnaie à volonté, mais on ne peut pas créer de la richesse économique à volonté sans capital, sans technologie et sans travail compétitif.
Le Belge Georges Ugeux, ancien numéro deux de la bourse de New York, prédit un tsunami financier d’ici fin 2020…
Aux USA, les inquiétudes liées à l’économie mondiale sont de retour. Ce vendredi 22 mars, le Dow Jones a lâché 1,77 %…
Le Système, avec ses taux d’intérêt ridicules, cocufie les épargnants européens, menace le système bancaire et nourrit les bulles boursières et immobilières.
le cygne noir déclencheur peut apparaître n’importe où.
Macron et LREM dissertent à longueur de journée sur les impôts, mais sont muets sur les dépenses de l’État et des collectivités locales.
Et cet éclair, ce ne sera pas le Brexit, ni le ralentissement de la croissance mondiale…
C’est d’Allemagne que vient la surprise avec une chute de la croissance de 1,8 à 1,1 % en raison de la faiblesse des exportations, de la consommation ainsi que du ralentissement de la production de voitures.
La dette est en réalité une maladie mondiale…
Quant aux États-Unis, c’est un village Potemkine de la prospérité économique hyper-endetté.
Draghi quittera ses fonctions le 31 octobre 2019…
L’or est la seule valeur refuge qui se moque de la folie humaine, ce que vient de reconnaître Russ Koesterich…
La hausse des taux d’intérêt et le ralentissement de la croissance mènent l’Italie à la banqueroute.
Le libre-échange mondialiste, avec sa course incessante aux bas salaires et aux délocalisations, doit être mis à bas dans une Europe-puissance protectionniste.
La dette publique de la France dépasse les 2.320 milliards d’euros et va bientôt franchir le seuil symbolique catastrophique des 100 % du PIB.
Il importe donc de ne pas détruire l’Union européenne, mais de prendre le pouvoir de l’intérieur pour la mettre au service des nations.
Les investisseurs broient à nouveau du noir et anticipent un scénario très négatif de ralentissement de la croissance mondiale.
Il importe donc de procéder, en France, à une révolution conservatrice conduisant à une baisse globale des impôts pour tous, qu’ils soient pauvres ou riches.
Un krach, c’est comme la mort ou une bombe à retardement. L’événement est certain, mais personne ne connaît l’heure fatidique.
Le piège, pour les gilets jaunes, serait d’être récupérés par les revendications sociales tous azimuts et de vouloir faire de la France une deuxième Italie.
Comme a pu le dire un gilet jaune : « Ce qui me préoccupe, ce sont mes fins de mois, pas la fin du monde. »
L’affaire Huawei déstabilise les marchés financiers, fait piquer du nez en Bourse le secteur des semi-conducteurs et contribue à créer un climat malsain dans un monde dont les fondamentaux économiques sont catastrophiques.
La réalité, c’est que la guerre commerciale et technologique, avec comme enjeu la domination du monde, a été déclarée par Trump et que rien ne pourra plus l’arrêter.
Les hirondelles médiatiques ne feront jamais le printemps.
Le prix de l’immobilier va bientôt dépasser les 10.000 euros du mètre carré à Paris, soit une hausse de plus de 50 % en dix ans ; cela n’est jamais que la finalisation d’une bulle immobilière…
On va tout droit vers la récession avec un krach à la clé.
On va donc tout droit vers l’explosion, mais les boursiers regardent le doigt lorsqu’on leur montre la lune des réalités.
La dette française frôlera les 100 % du PIB en 2022 et non pas 90 %, comme dans de précédentes estimations.
On peut illusionner en créant de la monnaie à volonté, mais on ne peut pas créer de la richesse économique à volonté sans capital, sans technologie et sans travail compétitif.
Le Belge Georges Ugeux, ancien numéro deux de la bourse de New York, prédit un tsunami financier d’ici fin 2020…
Aux USA, les inquiétudes liées à l’économie mondiale sont de retour. Ce vendredi 22 mars, le Dow Jones a lâché 1,77 %…
Le Système, avec ses taux d’intérêt ridicules, cocufie les épargnants européens, menace le système bancaire et nourrit les bulles boursières et immobilières.
le cygne noir déclencheur peut apparaître n’importe où.
Macron et LREM dissertent à longueur de journée sur les impôts, mais sont muets sur les dépenses de l’État et des collectivités locales.
Et cet éclair, ce ne sera pas le Brexit, ni le ralentissement de la croissance mondiale…
C’est d’Allemagne que vient la surprise avec une chute de la croissance de 1,8 à 1,1 % en raison de la faiblesse des exportations, de la consommation ainsi que du ralentissement de la production de voitures.
La dette est en réalité une maladie mondiale…
Quant aux États-Unis, c’est un village Potemkine de la prospérité économique hyper-endetté.
Draghi quittera ses fonctions le 31 octobre 2019…
L’or est la seule valeur refuge qui se moque de la folie humaine, ce que vient de reconnaître Russ Koesterich…
La hausse des taux d’intérêt et le ralentissement de la croissance mènent l’Italie à la banqueroute.
Le libre-échange mondialiste, avec sa course incessante aux bas salaires et aux délocalisations, doit être mis à bas dans une Europe-puissance protectionniste.
La dette publique de la France dépasse les 2.320 milliards d’euros et va bientôt franchir le seuil symbolique catastrophique des 100 % du PIB.
Il importe donc de ne pas détruire l’Union européenne, mais de prendre le pouvoir de l’intérieur pour la mettre au service des nations.
Les investisseurs broient à nouveau du noir et anticipent un scénario très négatif de ralentissement de la croissance mondiale.
Il importe donc de procéder, en France, à une révolution conservatrice conduisant à une baisse globale des impôts pour tous, qu’ils soient pauvres ou riches.
Un krach, c’est comme la mort ou une bombe à retardement. L’événement est certain, mais personne ne connaît l’heure fatidique.
Le piège, pour les gilets jaunes, serait d’être récupérés par les revendications sociales tous azimuts et de vouloir faire de la France une deuxième Italie.
Comme a pu le dire un gilet jaune : « Ce qui me préoccupe, ce sont mes fins de mois, pas la fin du monde. »