Au total, rappelons-le encore, l’agression allemande causera la mort de 27 millions de citoyens soviétiques.
Oui, les circonstances imposent au FN une autocritique exigeante et impartiale. Mais pas le FN bashing auquel se livre Robert Ménard.
La période qui succède à la défaite est au moins aussi délicate pour les perdants que la bataille elle-même.