imam Ismail
Depuis quatre ans, Stéphane Ravier se bat pour la fermeture de cette mosquée radicale. Un objectif à portée de main.
La mosquée est fermée. Le responsable de l’établissement dispose de dix jours pour répondre au ministère de l’Intérieur.
L’État craint « l’émergence de troubles graves à l’ordre public » en raison de l’opposition de « l’extrême droite ».
Si les conférences de cet imam sont annulées les unes après les autres et que son nom est connu des services de renseignement, qu’attend le ministre de l’Intérieur pour se pencher sur le cas des Bleuets ?
Depuis quatre ans, Stéphane Ravier se bat pour la fermeture de cette mosquée radicale. Un objectif à portée de main.
La mosquée est fermée. Le responsable de l’établissement dispose de dix jours pour répondre au ministère de l’Intérieur.
L’État craint « l’émergence de troubles graves à l’ordre public » en raison de l’opposition de « l’extrême droite ».
Si les conférences de cet imam sont annulées les unes après les autres et que son nom est connu des services de renseignement, qu’attend le ministre de l’Intérieur pour se pencher sur le cas des Bleuets ?