Harkis
La CEDH dénonce des conditions de vie « pas compatibles avec le respect de la dignité humaine ».

Ils sont de moins en moins nombreux, ceux qui peuvent témoigner de cette période qui risque fort, malgré ces journées nationales, de tomber dans l’oubli.

Leurs parents se sont battus pour la France, et pourtant, après les accords d’Évian, ils ont été parqués dans des camps privés de tout confort, de

Emballez, c’est pesé ! Le tour est dans le sac et vient s’inscrire astucieusement, ni vu, ni connu, dans la grille de lecture antiraciste de la gauche.

Faut-il rappeler que le Président semble prendre un plaisir pervers à dénigrer l’action de la France et de l’armée en Algérie, ménageant, au contraire, les autorités algériennes devant lesquelles il se couche volontiers ?

33 députés LR, dont Julien Aubert, viennent de signer une lettre ouverte à Emmanuel Macron, publiée dans le JDD, dans laquelle ils affirment que «

Il ne faut pas oublier, non plus, l’exode forcé de centaines de milliers de pieds-noirs, qui n’avaient le choix qu’entre la valise et le cercueil.

Il ne s’agit pas de cultiver la nostalgie, ni d’exiger une revanche mémorielle ou d’imposer une nouvelle repentance. Mais il est temps de faire toute la lumière.

On peut comprendre leur situation tragique et imaginer facilement la double-peine qui fut la leur : rejetés là-bas et regardés de travers par certains ici.
L’Organisation nationale des moudjahidine (ONM) a affirmé que les menaces de faire sortir le dossier de restitution des biens des pieds-noirs en Algérie et le retour des harkis au pays « ne serviront pas de moyens de pression et de chantage » contre l’État algérien.
La CEDH dénonce des conditions de vie « pas compatibles avec le respect de la dignité humaine ».

Ils sont de moins en moins nombreux, ceux qui peuvent témoigner de cette période qui risque fort, malgré ces journées nationales, de tomber dans l’oubli.

Leurs parents se sont battus pour la France, et pourtant, après les accords d’Évian, ils ont été parqués dans des camps privés de tout confort, de

Emballez, c’est pesé ! Le tour est dans le sac et vient s’inscrire astucieusement, ni vu, ni connu, dans la grille de lecture antiraciste de la gauche.

Faut-il rappeler que le Président semble prendre un plaisir pervers à dénigrer l’action de la France et de l’armée en Algérie, ménageant, au contraire, les autorités algériennes devant lesquelles il se couche volontiers ?

33 députés LR, dont Julien Aubert, viennent de signer une lettre ouverte à Emmanuel Macron, publiée dans le JDD, dans laquelle ils affirment que «

Il ne faut pas oublier, non plus, l’exode forcé de centaines de milliers de pieds-noirs, qui n’avaient le choix qu’entre la valise et le cercueil.

Il ne s’agit pas de cultiver la nostalgie, ni d’exiger une revanche mémorielle ou d’imposer une nouvelle repentance. Mais il est temps de faire toute la lumière.

On peut comprendre leur situation tragique et imaginer facilement la double-peine qui fut la leur : rejetés là-bas et regardés de travers par certains ici.
L’Organisation nationale des moudjahidine (ONM) a affirmé que les menaces de faire sortir le dossier de restitution des biens des pieds-noirs en Algérie et le retour des harkis au pays « ne serviront pas de moyens de pression et de chantage » contre l’État algérien.
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