
Victor a passé 8 ans en licence de sociologie, puis de cinéma et maintenant de langue. Master en GAV. Presque 100.000€ d’argent public flambé pour les études prometteuses de ce militant NPA-Unef.
La France a encore les moyens https://t.co/S9fn9PziYO— Aurélien Véron (@aurelien_veron) April 17, 2023
Drôle de comparaison d’archétypes…le premier n’en étant tout de même pas vraiment un…
Excellente comparaison ! Un exemple d’un gosse élevé par l’Education Nationale et non par ses parents, n’ayant jamais reçu aucune fessée, même s’il le méritait souvent et repentant jusqu’à se morfondre d’être un mâle blanc.
Victor suit les traces de Cambadélis. Je parie qu’il va obtenir un doctorat rapidement avec un jury de complaisance comme bien d’autres gauchistes avant lui. Puis il pourra être recruté comme maitre de conférence car, souvent pour les sciences molles, ce n’est pas la compétence qui compte mais l’obédience.
« 26 ans. En licence. En moyenne, un master s’obtient (sans redoublement, pour un bac obtenu à 18 ans) à l’âge de 23 ans », écrivez-vous.
C’est là que vous vous trompez ! En théorie, oui. Mais en moyenne, entre redoublements (durant toute la scolarité), réorientations (après un ou deux échecs aux examens dans une autre discipline), année sabbatique (pour aller militer dans une ONG ou accueillir des migrants), si jamais il réussit à passer son CAPES (ne parlons même pas de l’agrégation), il ne se retrouvera pas devant des élèves avant son trentième anniversaire.
Victor Mendez a toutes les qualités pour devenir ministre ou chef de parti en Allemagne. L’exécutif du parti Les Verrs est composé d’un duo, Ricarda Lang a étudié le droit pendant 7 ans et n’a pas passé d’examen. Le co-président, Omri Nouripour, a étudié diverses matières pendant 6 ans sans diplôme. Les deux mènent une Allemagne sexuée d’un État industriel à un parc paysager avec de l’énergie éolienne et dans une guerre avec la Russie.
Dans mon village, mon voisin a 57 ans. Il est retraité de la SNCF. Son père a 79 ans et a pris sa retraite depuis longtemps. Il était cantonnier dans le village voisin. Le fils du cheminot a 34 ans (je crois). Il est instituteur comme au demeurant son épouse qui lui a donné un enfant âgé de 9 ans et qui, bien sûr, est scolarisé. Tous des gens très sympathiques. L’autre jour, le maire de mon village (agriculteur en activité) qui était venu prendre l’apéritif à la maison me disait en commentant les émeutes : « moi monsieur Brigantin, je n’y connais pas grand’chose en économie, mais regardez vos voisins : quatre générations et une seule qui travaille. Et encore on aurait pu imaginer qu’elle soit au chômage ! Comment voulez-vous qu’on y arrive ? ». Qui peut lui répondre ?