Jean Cau, qui couvre l’affaire, retourne voir le sénateur. Il trouve l’homme terré rue Guynemer, « dans un petit bureau aux fenêtres fermées ». « Voulez-vous que je vous explique ? », demande Mitterrand.
Pourquoi diable Mitterrand n’a-t-il rien dit ? Pourquoi n’a-t-il pas prévenu la police des risques d’attentat qui pesaient sur lui ?
« Vous avez devant vous, Messieurs, un homme las des attaques dont il fait une fois de plus l’objet »
Ce 22 octobre, jour de la parution de Rivarol, les journalistes sont prévenus dès le matin par un mystérieux correspondant anonyme : Robert Pesquet s’adressera à la presse le jour même, dans les locaux de son avocat.
Bravo, je vous félicite, s’enthousiasme Mitterrand dans le récit de Pesquet. Maintenant, il va falloir organiser un attentat contre Mendès France !
« Vous êtes un homme d’audace, Pesquet. Si je vous proposais quelque chose de dangereux, accepteriez-vous ? »
L’extrême droite va bien faire exploser une bombe, mais pas celle qu’on attendait.
Le vendredi 16 octobre 1959, François Mitterrand, calme, distant, presque badin, donne une conférence de presse. Son air dégagé, son calme, sa maîtrise des événements saisissent les journalistes assis face à lui.
Le rodéo urbain procure des émotions plus fortes qu’un vulgaire tir au mortier d’artifice contre une gendarmerie. Evidemment, c’est un peu plus coûteux.
La France et l’Italie ne se contentent pas de se coucher devant les institutions de Bruxelles, il faut aussi qu’elles organisent leur propre impuissance.
Non seulement LR doit clarifier son logiciel idéologique, mais il doit accepter de travailler avec d’autres formations en vue de constituer des alliances pour revenir au pouvoir.
C’est un nouveau Gérald Darmanin qui surgit dans le paysage politique français depuis quelques semaines. Un Darmanin tout neuf qui ressemble beaucoup à un certain… Nicolas Sarkozy.
À cet instant, le garde des Sceaux redevient ce qu’il est, un bloc. Un bloc de haine de la nation, de ses représentants et de ceux qui y sont attachés.
Aux manettes, le professeur d’histoire et député LFI Alexis Corbière a trouvé là, pour rehausser l’image de la NUPES, un personnage plus consensuel que Robespierre, l’homme de la Terreur.
Michel Onfray signe dans Le Journal du dimanche un texte sans détours sur l’origine du nouvel antisémitisme français. Il jette ainsi un sacré pavé dans la mare aux canards de l’extrême gauche.
C’est qu’ils sont malins, au RN. Ils vous font disparaître un « grand gaillard » député en un clin d’œil plus vite qu’un cadavre de journaliste dans une ambassade saoudienne !
C’est un symbole des menaces qui pèsent sur nos libertés ballotées entre la toute-puissance bruxelloise, les lobbies verts politiquement corrects et un pouvoir français fantoche.
Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures.
Ce que les libraires n’ont pas le droit de faire (augmenter le prix de leurs produits, les livres), Jeff Bezos l’a fait d’un claquement de doigt.
Les résultats d’une étude menée dans 46 pays ont de quoi dessiller les yeux de ces grands médias que les Français ne croient plus.
Il y a là plus qu’une provocation, plus qu’une dispute sur le fond : une entreprise profondément antidémocratique, une volonté de tuer, d’exclure, de disqualifier, de marquer au fer rouge, coûte que coûte, une partie de la représentation nationale.
La gauche, en diabolisant certaines idées, donne un blanc-seing à des personnalités agressives – qui n’ont pas ces freins sociaux intériorisés par les gens éduqués : contre le diable, tous les coups sont permis, n’est-ce pas ?
C’est donc une attaque en règle contre la souveraineté des États que l’Union européenne déploie en pleine touffeur estivale, avec la bénédiction d’Emmanuel Macron.
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Il faut donc rappeler à Sandrine Rousseau et aux NUPES qui l’applaudissent à tout rompre sur les bancs de l’Assemblée nationale que la France taxe déjà les riches.
Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.
Jean Cau, qui couvre l’affaire, retourne voir le sénateur. Il trouve l’homme terré rue Guynemer, « dans un petit bureau aux fenêtres fermées ». « Voulez-vous que je vous explique ? », demande Mitterrand.
Pourquoi diable Mitterrand n’a-t-il rien dit ? Pourquoi n’a-t-il pas prévenu la police des risques d’attentat qui pesaient sur lui ?
« Vous avez devant vous, Messieurs, un homme las des attaques dont il fait une fois de plus l’objet »
Ce 22 octobre, jour de la parution de Rivarol, les journalistes sont prévenus dès le matin par un mystérieux correspondant anonyme : Robert Pesquet s’adressera à la presse le jour même, dans les locaux de son avocat.
Bravo, je vous félicite, s’enthousiasme Mitterrand dans le récit de Pesquet. Maintenant, il va falloir organiser un attentat contre Mendès France !
« Vous êtes un homme d’audace, Pesquet. Si je vous proposais quelque chose de dangereux, accepteriez-vous ? »
L’extrême droite va bien faire exploser une bombe, mais pas celle qu’on attendait.
Le vendredi 16 octobre 1959, François Mitterrand, calme, distant, presque badin, donne une conférence de presse. Son air dégagé, son calme, sa maîtrise des événements saisissent les journalistes assis face à lui.
Le rodéo urbain procure des émotions plus fortes qu’un vulgaire tir au mortier d’artifice contre une gendarmerie. Evidemment, c’est un peu plus coûteux.
La France et l’Italie ne se contentent pas de se coucher devant les institutions de Bruxelles, il faut aussi qu’elles organisent leur propre impuissance.
Non seulement LR doit clarifier son logiciel idéologique, mais il doit accepter de travailler avec d’autres formations en vue de constituer des alliances pour revenir au pouvoir.
C’est un nouveau Gérald Darmanin qui surgit dans le paysage politique français depuis quelques semaines. Un Darmanin tout neuf qui ressemble beaucoup à un certain… Nicolas Sarkozy.
À cet instant, le garde des Sceaux redevient ce qu’il est, un bloc. Un bloc de haine de la nation, de ses représentants et de ceux qui y sont attachés.
Aux manettes, le professeur d’histoire et député LFI Alexis Corbière a trouvé là, pour rehausser l’image de la NUPES, un personnage plus consensuel que Robespierre, l’homme de la Terreur.
Michel Onfray signe dans Le Journal du dimanche un texte sans détours sur l’origine du nouvel antisémitisme français. Il jette ainsi un sacré pavé dans la mare aux canards de l’extrême gauche.
C’est qu’ils sont malins, au RN. Ils vous font disparaître un « grand gaillard » député en un clin d’œil plus vite qu’un cadavre de journaliste dans une ambassade saoudienne !
C’est un symbole des menaces qui pèsent sur nos libertés ballotées entre la toute-puissance bruxelloise, les lobbies verts politiquement corrects et un pouvoir français fantoche.
Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures.
Ce que les libraires n’ont pas le droit de faire (augmenter le prix de leurs produits, les livres), Jeff Bezos l’a fait d’un claquement de doigt.
Les résultats d’une étude menée dans 46 pays ont de quoi dessiller les yeux de ces grands médias que les Français ne croient plus.
Il y a là plus qu’une provocation, plus qu’une dispute sur le fond : une entreprise profondément antidémocratique, une volonté de tuer, d’exclure, de disqualifier, de marquer au fer rouge, coûte que coûte, une partie de la représentation nationale.
La gauche, en diabolisant certaines idées, donne un blanc-seing à des personnalités agressives – qui n’ont pas ces freins sociaux intériorisés par les gens éduqués : contre le diable, tous les coups sont permis, n’est-ce pas ?
C’est donc une attaque en règle contre la souveraineté des États que l’Union européenne déploie en pleine touffeur estivale, avec la bénédiction d’Emmanuel Macron.
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Il faut donc rappeler à Sandrine Rousseau et aux NUPES qui l’applaudissent à tout rompre sur les bancs de l’Assemblée nationale que la France taxe déjà les riches.
Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.