En réalité le progressisme est une méthode et le nationalisme un constat et/ou une conviction.
Le nouveau Parlement européen sera-t-il plus sensé que celui qui s’en va en ayant échoué sur tout ?
Les partis des sept présidents de la Ve République viennent, lors du dernier vote aux élections européennes, de cumuler à eux deux un total de… 17,84 %.
Dès que l’on critiquait le système de Bruxelles, on subissait la chasse aux sorcières et l’Inquisition, la litanie populiste, xénophobe, rétrograde.
Une première raison, indestructible, en tant que patient satisfait.
Chômage à 2,9 %, croissance à 3,2 %, relocalisations, investissements massifs.
Le devoir des intellectuels est d’explorer les autres pistes possibles pour passer à une deuxième Union européenne comme la France est passée de la Première à la Cinquième République.
Qui a conseillé aux gilets jaunes de réclamer un RIC ? Qui a lancé ces mots d’ordre conduisant nécessairement à l’échec ?
Matteo Salvini a salué la nouvelle de ces aveux, espérant « que les pseudo-intellectuels de gauche qui ont couvert et défendu ce personnage sordide présenteront bientôt leurs excuses »…
Ce pouvoir peut-il changer ? Tout porte à croire qu’il en est génétiquement incapable…
Avant les élections européennes de mai prochain il est édifiant de revenir sur des déclarations…
Si l’amendement amendé est voté vendredi, le gouvernement et Bruxelles auront gagné.
La chirurgie judiciaire, souvent brutale, surinfecte un mal familial latent.
En vérité, les Français veulent des principes de vivre ensemble totalement différents de ceux que vous leur avez imposés insidieusement, qui vous ont enrichis alors qu’ils les appauvrissaient.
Désormais, la crise historique majeure des gilets jaunes, en France, pourrait bien inciter Bruxelles à plus de « compréhension ». Et à faire semblant de croire aux assurances de Rome.
L’idéologue Barnier et la grisâtre May ont, certes, fini par élucubrer un « accord » pour gérer les conséquences du vote souverain du peuple britannique…
Les ignorants sont au pouvoir et ceux qui comprennent la vérité économique aux ronds-points.
Un floutage du sens des mots et une logorrhée qui remplace peu à peu tout discours dialectique construit…
Loin du cirque parisien, dans mon village des hauts plateaux, on a lu, dimanche, l’appel aux morts et la foule de la France vraie a murmuré, émue, à chaque nom : « Mort pour la France ».
Avec l’élection de Bolsonaro au Brésil, la questions se posera tôt ou tard car ce nouveau président, encore plus atypique que Donald Trump, a eu des mots durs et vrais contre la Chine.
La prétendue « agence » Moody’s est, en réalité, une société à but lucratif d’estimation des risques économiques qui travaille pour les banques.
Face à l’imposture politique, économique, sécuritaire ou migratoire, il ne faut pas tenter de « sauver la droite » car elle n’existe plus et n’existera plus jamais depuis, il y a 26 ans, la signature du traité de Maastricht…
Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.
La France doit proposer à la Russie une alliance historique préférentielle.
Ou bien le gouvernement italien fait ce qu’il a dit et la zone euro explose, puis l’Union européenne ; ou bien il ne le fait pas, et c’est l’Italie qui explose, dans la rue.
Prétendre donner des leçons aux peuples, outre la sotte vanité et la maladresse insigne, est, au minimum, une lamentable erreur diplomatique.
En réalité le progressisme est une méthode et le nationalisme un constat et/ou une conviction.
Le nouveau Parlement européen sera-t-il plus sensé que celui qui s’en va en ayant échoué sur tout ?
Les partis des sept présidents de la Ve République viennent, lors du dernier vote aux élections européennes, de cumuler à eux deux un total de… 17,84 %.
Dès que l’on critiquait le système de Bruxelles, on subissait la chasse aux sorcières et l’Inquisition, la litanie populiste, xénophobe, rétrograde.
Une première raison, indestructible, en tant que patient satisfait.
Chômage à 2,9 %, croissance à 3,2 %, relocalisations, investissements massifs.
Le devoir des intellectuels est d’explorer les autres pistes possibles pour passer à une deuxième Union européenne comme la France est passée de la Première à la Cinquième République.
Qui a conseillé aux gilets jaunes de réclamer un RIC ? Qui a lancé ces mots d’ordre conduisant nécessairement à l’échec ?
Matteo Salvini a salué la nouvelle de ces aveux, espérant « que les pseudo-intellectuels de gauche qui ont couvert et défendu ce personnage sordide présenteront bientôt leurs excuses »…
Ce pouvoir peut-il changer ? Tout porte à croire qu’il en est génétiquement incapable…
Avant les élections européennes de mai prochain il est édifiant de revenir sur des déclarations…
Si l’amendement amendé est voté vendredi, le gouvernement et Bruxelles auront gagné.
La chirurgie judiciaire, souvent brutale, surinfecte un mal familial latent.
En vérité, les Français veulent des principes de vivre ensemble totalement différents de ceux que vous leur avez imposés insidieusement, qui vous ont enrichis alors qu’ils les appauvrissaient.
Désormais, la crise historique majeure des gilets jaunes, en France, pourrait bien inciter Bruxelles à plus de « compréhension ». Et à faire semblant de croire aux assurances de Rome.
L’idéologue Barnier et la grisâtre May ont, certes, fini par élucubrer un « accord » pour gérer les conséquences du vote souverain du peuple britannique…
Les ignorants sont au pouvoir et ceux qui comprennent la vérité économique aux ronds-points.
Un floutage du sens des mots et une logorrhée qui remplace peu à peu tout discours dialectique construit…
Loin du cirque parisien, dans mon village des hauts plateaux, on a lu, dimanche, l’appel aux morts et la foule de la France vraie a murmuré, émue, à chaque nom : « Mort pour la France ».
Avec l’élection de Bolsonaro au Brésil, la questions se posera tôt ou tard car ce nouveau président, encore plus atypique que Donald Trump, a eu des mots durs et vrais contre la Chine.
La prétendue « agence » Moody’s est, en réalité, une société à but lucratif d’estimation des risques économiques qui travaille pour les banques.
Face à l’imposture politique, économique, sécuritaire ou migratoire, il ne faut pas tenter de « sauver la droite » car elle n’existe plus et n’existera plus jamais depuis, il y a 26 ans, la signature du traité de Maastricht…
Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.
La France doit proposer à la Russie une alliance historique préférentielle.
Ou bien le gouvernement italien fait ce qu’il a dit et la zone euro explose, puis l’Union européenne ; ou bien il ne le fait pas, et c’est l’Italie qui explose, dans la rue.
Prétendre donner des leçons aux peuples, outre la sotte vanité et la maladresse insigne, est, au minimum, une lamentable erreur diplomatique.