Jean-Louis Borloo
Ce François Bayrou , parti de rien pour n’arriver nulle part, mais ne devant son absence de destin qu’à lui-même, est décidément un enchantement de tous les instants.
La banlieue serait donc devenue si sensible qu’elle devrait être considérée comme domaine des seuls « racisés », interdite aux Gaulois ?
L’immigration et l’insécurité sont les questions prioritaires pour de nombreux Français mais les cabinets dont notre Président est issu refusent de les voir.
À défaut de vivre ensemble, est-il encore possible de vivre côte à côte, pour éviter de le faire face-à-face ?
Si l’État veut sauver la France d’une future « partition », selon le mot qu’aurait prononcé François Hollande, elle doit d’abord rassembler tous ceux qui, quelle que soit leur origine, sont fiers d’être français.
Il ne reste plus à M. Macron qu’à passer aux actes.
Il a raison, Xavier Bertrand, 15 millions, ce n’est pas seulement les banlieues, c’est également tous les centres-villes, de Marseille à Lille et de Brest à Lyon.
En fait, on ne comprend toujours pas pourquoi M. Macron a fait appel à M. Borloo, ce rescapé de l’ancien monde, pour traiter le problème des banlieues en nous racontant des fariboles auxquelles plus personne ne croit.
Macron avait annoncé son intention de remettre en selle l’ancien président du parti radical.
Décidément, M. Macron n’a pas fini de nous surprendre.
On vous le disait : que du beau monde autour du chef d’En Marche !
Ce François Bayrou , parti de rien pour n’arriver nulle part, mais ne devant son absence de destin qu’à lui-même, est décidément un enchantement de tous les instants.
La banlieue serait donc devenue si sensible qu’elle devrait être considérée comme domaine des seuls « racisés », interdite aux Gaulois ?
L’immigration et l’insécurité sont les questions prioritaires pour de nombreux Français mais les cabinets dont notre Président est issu refusent de les voir.
À défaut de vivre ensemble, est-il encore possible de vivre côte à côte, pour éviter de le faire face-à-face ?
Si l’État veut sauver la France d’une future « partition », selon le mot qu’aurait prononcé François Hollande, elle doit d’abord rassembler tous ceux qui, quelle que soit leur origine, sont fiers d’être français.
Il ne reste plus à M. Macron qu’à passer aux actes.
Il a raison, Xavier Bertrand, 15 millions, ce n’est pas seulement les banlieues, c’est également tous les centres-villes, de Marseille à Lille et de Brest à Lyon.
En fait, on ne comprend toujours pas pourquoi M. Macron a fait appel à M. Borloo, ce rescapé de l’ancien monde, pour traiter le problème des banlieues en nous racontant des fariboles auxquelles plus personne ne croit.
Macron avait annoncé son intention de remettre en selle l’ancien président du parti radical.
Décidément, M. Macron n’a pas fini de nous surprendre.
On vous le disait : que du beau monde autour du chef d’En Marche !