Ce que nous propose M. Macron est, en fait, l’impérialisme du néant.
Ce fiasco diplomatique souligne l’inconséquence des politiques européennes à l’égard de la Chine et de la Russie.
Tout est bon pour l’effacement progressif de la France.
Il est une règle d’or en politique : il ne faut jamais humilier l’adversaire. Or, tout dans l’attitude de M. Macron semblait fait pour humilier ceux qui avaient combattu la réforme des retraites.
Ce n’est pas d’une révolution, que nous avons besoin, mais d’une réaction profonde contre un système de pensée et de gouvernement qui nous conduit au naufrage.
Dans cette France éclatée, divisée, où l’oligarchie gouvernante ne sait plus se tenir et ignore jusqu’au sens de la notion de bien commun face aux revendications des minorités ou des individus, la République glisse-t-elle vers la révolution ?
Le communiqué du Planning familial de Gironde relève à la fois du militantisme primaire et de l’indécence.
En bonne doctrine, la seule violence légitime est celle de l’État afin de maintenir la sécurité et l’ordre publics. Mais ce qui est certain, c’est que la violence de groupuscules idéologiques ne saurait être considérée comme justifiée.
La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.
Vociférations, cris et hurlements semblent être devenus la règle à l’Assemblée nationale.
La rhétorique islamique de « l’islamophobie » a porté ses fruits. Elle a bloqué le discours, interdit le débat, assimilé la critique de l’islam et de ses dérives à une forme de racisme.
L’hyper réglementation est caractéristique de la politique dite « climatique » dont les effets retombent jusqu’aux communautés de communes.
Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.
Cette attitude amène à s’interroger sur ces artistes et intellectuels « engagés » dont les indignations sélectives sont proportionnelles à leur aveuglement idéologique.
Tous ont appelé, de façon explicite ou implicite, à voter pour Emmanuel Macron, par une sorte de réflexe pavlovien anti-Le Pen, alors qu’ils savaient que la réforme du système de retraite était au programme.
Pendant de nombreuses années, la France fit figure de modèle en Europe pour sa politique familiale…
Cette impuissance juridique de l’État républicain est présentée comme une sorte de fatalité contre laquelle rien n’est possible.
La question de la réforme de notre système de retraite est un serpent de mer de la politique française, et s’il s’impose, c’est en raison de la réalité démographique, économique et sociale.
Les vœux présidentiels, si l’on s’astreint à les réécouter, année après année, ont quelque chose de désespérant.
Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »
Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.
Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.
Coincé entre les macronistes et le Rassemblement national, le parti n’est plus que l’ombre de lui-même.
Une fois encore, le Président tente de nous abuser pour imposer une politique favorable à l’immigration.
La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?
La question de l’immigration est un des exemples flagrants de la déroute de l’idéologie face à la réalité.
Sa manie de voter des résolutions sur tout et n’importe quoi, comme s’il était un mélange d’ONU régionale et de super ONG…
Le malaise français est aussi celui d’une classe politique médiocre.
Ce que nous propose M. Macron est, en fait, l’impérialisme du néant.
Ce fiasco diplomatique souligne l’inconséquence des politiques européennes à l’égard de la Chine et de la Russie.
Tout est bon pour l’effacement progressif de la France.
Il est une règle d’or en politique : il ne faut jamais humilier l’adversaire. Or, tout dans l’attitude de M. Macron semblait fait pour humilier ceux qui avaient combattu la réforme des retraites.
Ce n’est pas d’une révolution, que nous avons besoin, mais d’une réaction profonde contre un système de pensée et de gouvernement qui nous conduit au naufrage.
Dans cette France éclatée, divisée, où l’oligarchie gouvernante ne sait plus se tenir et ignore jusqu’au sens de la notion de bien commun face aux revendications des minorités ou des individus, la République glisse-t-elle vers la révolution ?
Le communiqué du Planning familial de Gironde relève à la fois du militantisme primaire et de l’indécence.
En bonne doctrine, la seule violence légitime est celle de l’État afin de maintenir la sécurité et l’ordre publics. Mais ce qui est certain, c’est que la violence de groupuscules idéologiques ne saurait être considérée comme justifiée.
La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.
Vociférations, cris et hurlements semblent être devenus la règle à l’Assemblée nationale.
La rhétorique islamique de « l’islamophobie » a porté ses fruits. Elle a bloqué le discours, interdit le débat, assimilé la critique de l’islam et de ses dérives à une forme de racisme.
L’hyper réglementation est caractéristique de la politique dite « climatique » dont les effets retombent jusqu’aux communautés de communes.
Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.
Cette attitude amène à s’interroger sur ces artistes et intellectuels « engagés » dont les indignations sélectives sont proportionnelles à leur aveuglement idéologique.
Tous ont appelé, de façon explicite ou implicite, à voter pour Emmanuel Macron, par une sorte de réflexe pavlovien anti-Le Pen, alors qu’ils savaient que la réforme du système de retraite était au programme.
Pendant de nombreuses années, la France fit figure de modèle en Europe pour sa politique familiale…
Cette impuissance juridique de l’État républicain est présentée comme une sorte de fatalité contre laquelle rien n’est possible.
La question de la réforme de notre système de retraite est un serpent de mer de la politique française, et s’il s’impose, c’est en raison de la réalité démographique, économique et sociale.
Les vœux présidentiels, si l’on s’astreint à les réécouter, année après année, ont quelque chose de désespérant.
Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »
Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.
Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.
Coincé entre les macronistes et le Rassemblement national, le parti n’est plus que l’ombre de lui-même.
Une fois encore, le Président tente de nous abuser pour imposer une politique favorable à l’immigration.
La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?
La question de l’immigration est un des exemples flagrants de la déroute de l’idéologie face à la réalité.
Sa manie de voter des résolutions sur tout et n’importe quoi, comme s’il était un mélange d’ONU régionale et de super ONG…
Le malaise français est aussi celui d’une classe politique médiocre.
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