Stéphane Buffetaut
Chroniqueur à BV, élu de Vendée, ancien député européen
Si l’Église n’était qu’une œuvre humaine aurait-elle tenu bon malgré les faiblesses de ceux qui l’ont servie ?
Une société irriguée et élevée par la foi peut porter plus de fruits que si elle est coupée de toute transcendance.
Pour redresser la France, il faut tout changer. Un travail dantesque de reconstruction…
Macron est un sous-préfet, parfois aux champs quand il va faire de « l’immersion » à Thouars (Élysée dixit)…
La peur semble être redevenue une méthode d’encadrement politique des peuples.
Le droit peut être un instrument de tyrannie plus sûr encore que les armes.
L’UE s’appuie sur les juges pour abattre ceux qui, politiquement, combattent ses dérives. C’est nouveau.
La démographie est la reine des batailles.
La sécurité des nations européennes dépend d’abord d’elles-mêmes , pas de l’UE qui est un cauchemar technocratique.
Le président de la République aime le spectacle, mais le cabotinage est contre-productif sur le théâtre international.
Macron dénonce une menace russe existentielle, alors qu’il en ignore une autre sur notre sol même…
Trump tire les conséquences de la nouvelle situation du monde, et contribue aussi à la créer.
L’oligarchie politico-médiatique européenne tente, avec l’énergie du désespoir, d’étouffer la parole des dissidents.
La faiblesse en politique n’est pas une erreur, c’est une faute. Toujours fatale.
La gauche révolutionnaire et le mondialisme oligarchique usent et abusent d’un État de droit dévoyé.
Être Français, c’est accepter un héritage ; c’est également vouloir le transmettre et l’enrichir.
Le prolétariat n’étant plus un moteur, la gauche a trouvé dans les minorités un vecteur de luttes à exploiter
La gabegie est partout… Nous ne pourrons sortir de ce bourbier par les habituelles demi-mesures.
Des actes que l’on ne commet pas car ils font perdre à ceux qui les commettent leur dignité d’être humain.
Symbolique fut le lieu choisi pour la messe publique de requiem : la chapelle du Val-de-Grâce.
Les Français sont inquiets. Tout simplement parce qu’Emmanuel Macron est un homme inquiétant.
« Tout cela finira mal », comme aurait dit Jacques Bainville, car une société décivilisée retombe en barbarie.
La seule issue qu’ont trouvée Macron et Bayrou a été d’appeler aux affaires ceux qui avaient lamentablement échoué !
Il n’est pas de haute civilisation sans aspiration religieuse.
La vieille classe politique s’est suicidée, elle agonise. Achevons-la avant qu’elle n’achève la France.
Il est difficile, dans le principe, d’imaginer un gouvernement dont le but soit le « désintérêt général » !
Le bourdon de Notre-Dame couvre de sa voix puissante les éructations de ceux qui proclament la mort de Dieu.
Le vote de la censure n’ouvre pas une crise politique et institutionnelle, il la poursuit, il la confirme.
Si l’Église n’était qu’une œuvre humaine aurait-elle tenu bon malgré les faiblesses de ceux qui l’ont servie ?
Une société irriguée et élevée par la foi peut porter plus de fruits que si elle est coupée de toute transcendance.
Pour redresser la France, il faut tout changer. Un travail dantesque de reconstruction…
Macron est un sous-préfet, parfois aux champs quand il va faire de « l’immersion » à Thouars (Élysée dixit)…
La peur semble être redevenue une méthode d’encadrement politique des peuples.
Le droit peut être un instrument de tyrannie plus sûr encore que les armes.
L’UE s’appuie sur les juges pour abattre ceux qui, politiquement, combattent ses dérives. C’est nouveau.
La démographie est la reine des batailles.
La sécurité des nations européennes dépend d’abord d’elles-mêmes , pas de l’UE qui est un cauchemar technocratique.
Le président de la République aime le spectacle, mais le cabotinage est contre-productif sur le théâtre international.
Macron dénonce une menace russe existentielle, alors qu’il en ignore une autre sur notre sol même…
Trump tire les conséquences de la nouvelle situation du monde, et contribue aussi à la créer.
L’oligarchie politico-médiatique européenne tente, avec l’énergie du désespoir, d’étouffer la parole des dissidents.
La faiblesse en politique n’est pas une erreur, c’est une faute. Toujours fatale.
La gauche révolutionnaire et le mondialisme oligarchique usent et abusent d’un État de droit dévoyé.
Être Français, c’est accepter un héritage ; c’est également vouloir le transmettre et l’enrichir.
Le prolétariat n’étant plus un moteur, la gauche a trouvé dans les minorités un vecteur de luttes à exploiter
La gabegie est partout… Nous ne pourrons sortir de ce bourbier par les habituelles demi-mesures.
Des actes que l’on ne commet pas car ils font perdre à ceux qui les commettent leur dignité d’être humain.
Symbolique fut le lieu choisi pour la messe publique de requiem : la chapelle du Val-de-Grâce.
Les Français sont inquiets. Tout simplement parce qu’Emmanuel Macron est un homme inquiétant.
« Tout cela finira mal », comme aurait dit Jacques Bainville, car une société décivilisée retombe en barbarie.
La seule issue qu’ont trouvée Macron et Bayrou a été d’appeler aux affaires ceux qui avaient lamentablement échoué !
Il n’est pas de haute civilisation sans aspiration religieuse.
La vieille classe politique s’est suicidée, elle agonise. Achevons-la avant qu’elle n’achève la France.
Il est difficile, dans le principe, d’imaginer un gouvernement dont le but soit le « désintérêt général » !
Le bourdon de Notre-Dame couvre de sa voix puissante les éructations de ceux qui proclament la mort de Dieu.
Le vote de la censure n’ouvre pas une crise politique et institutionnelle, il la poursuit, il la confirme.
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