C’est la gaucharognarde, par son idéologie, qui est responsable de la mort d’Aboubakar Cissé

Aboubakar Cissé, la victime de la mosquée de La Grand-Combe, était en situation irrégulière.
Capture d'écran ©BFM2.
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Voulant expliquer, au micro de Sonia Mabrouk sur Europe 1, pourquoi il avait eu des difficultés à contacter la famille, Bruno Retailleau l’a révélé : Aboubakar Cissé, la victime de la mosquée de La Grand-Combe, était en situation irrégulière.

Si la gaucharognarde, Mozart de la récupération, faisait montre d’un peu d’honnêteté, c’est donc sa propre coulpe qu’elle frapperait. Aboubakar Cissé a quitté le Mali en 2017, « guidé par une association de demandeurs d’asile », selon Le Figaro : la gauche immigrationniste, par son discours et des promesses de vie meilleure, l'a attiré comme une sirène dans ses filets. Qu’a-t-il trouvé, en réalité ? Aucun travail, déjà, puisqu’il était au chômage… et surtout la mort.

Les conséquences de l’immigration sont tragiques, y compris pour les migrants eux-mêmes, et pas seulement quand, en mer, sur le bateau de fortune du passeur, ils passent par-dessus bord.

La gauche veut faire porter le chapeau à Retailleau, mais le discours n’est pas parfait - loin s'en faut. Elle aurait préféré que le meurtrier soit un scout versaillais, mais enfin, on fait avec ce qu’on a. Difficile, cependant, même avec un chausse-pied, de faire entrer ce jeune au RSA, sans activité, vissé toute la journée devant des jeux vidéo dans son logement social, issu d’une famille nombreuse originaire de Bosnie et dont le père est connu de la police pour de petits larcins, dans la peau d'un militant de Bruno Retailleau, accro de ses interventions télévisées. Mais pour maquiller la réalité comme une voiture volée, la gaucharognarde est très douée.

L’immigration favorise l’importation des conflits du monde entier

L’enquête dira les motivations réelles du meurtrier, mais puisque LFI, EELV et le PS sautent sur l’hypothèse qui les arrange, même si celle-ci, comme son nom l'indique et comme l'a précisé le procureur, n'est pas une certitude, nous pouvons, nous aussi, spéculer. Ce jeune a pu garder dans son bagage culturel des animosités farouches propres à ses origines et inscrites dans sa culture. L’immigration favorise l’importation des conflits du monde entier, et la gauche favorise l’immigration. Qui, en début de chaîne, porte réellement la responsabilité de ce crime ?

En plus de l’avoir mis en danger, la gauche l’a méprisé : pourquoi Ersilia Soudais, Sandrine Rousseau et consorts ont-ils invité Assa Traoré à l’Assemblée, en même temps que l'oncle et le frère de la victime ? Parce qu’elle a la même origine qu’Aboubakar Cissé ? Y a-t-il plus raciste que confondre tous les Maliens, qu’ils soient délinquants ou n’aient jamais eu maille à partir avec la police, comme certaines douairières d’autrefois confondaient toutes les bonnes qui se succédaient à leur service, qu’elles soient grandes, petites, grasses, maigres, honnêtes ou sournoises, gracieuses ou ingrates, les appelant invariablement Marie ? Mais c’est précisément pour les mettre au service de son idéologie que la gauche convoque tour à tour Adama puis Aboubakar. Ils ne s’intéressent pas à l’individu mais à son origine. Qu’importe ce qu’ils sont. Honte à la gaucharognarde qui attire l'immigration, l'exploite, la met en danger et la méprise.

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Gabrielle Cluzel
Directrice de la rédaction de BV, éditorialiste

Vos commentaires

75 commentaires

  1. Merci Madame Cluzel, votre article analyse parfaitement la genèse qui explique, avec objectivité, ce qui a conduit
    cet immigré à la mort.
    Que les (ir)responsables de cette tragédie battent leur coulpe au lieu d’essayer d’en tirer profit pour leur mauvaise chapelle

  2. Pouvoir argumenter ey débattre entre opposants, dans le cadre de la libre expression est le grand marqueur de la démocratie. Dès lors que le camp adverse dénie la réalité, recours par réflexe au mensonge, décline des contre-vérités, diffame sans vergogne et impunément, cultive avec arrogance la déraison, le débat n’a plus de sens, il n’est que de pure forme et ne se justifie que pour apparence. Il y a posture dogmatique, c’est à dire imposture ; dialogue de sourds.

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