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24 commentaires
Bravo !
La « revanche des nations » dites vous ? C’est le sentiment général de frustration au sein de « l’U.E »….
Je répète: UN peuple, UN territoire, UNE Religion. Sans ces 3 conditions… c’est le boxon !
Ce dessin de Monsieur Ixene ainsi que le contenu de ses bulles , symbolisent parfaitement la chute prévisible de cette Europe en version Lego , imposée aux forceps par des instances supranationales que les populations européennes rejettent maintenant ouvertement.
L’Europe devait apporter la paix, mais c’est tout le contraire qui se passe. On crachait sur l’URSS et son rideau de fer et lorsque ce rideau est tombé on a repoussé la nouvelle nation, Russie. Notre URSS s’appelle maintenant l’Europe et mis à part le rideau de fer on n’a rien à envier à ce qu’était la Russie hier.
Combien de nos compatriotes sont encore capables de s’en rendre compte, à part courber l’échine et voir leur liberté s’étioler de jour en jour sous des prétextes souvent inventés.
Soljenitsyne nous avait averti de tout cela !
Même notre corps a besoin de frontières, cela s’appelle les défenses immunitaires !
Le pire est que ceux qui refusent les frontières entre nations sont les mêmes qui ferment leur porte à clé (avec 3 serrures) et mettent des digicodes partout.
l’Europe a depuis l’effodrement des monarchie, été en guerres. Certains ont pensé que l’Europe était une solution afin de mettre un terme à ce cycle de guerres. C’était bien vu mais les malfaisants sont revenus au galop pour pervertir l’Europe et en faire ce qu’elle est devenue. Organisation mafieuse semant la misère, détruisant les cultures et occasionnant des guerres.
@patgic : « C’était bien vu » c’était surtout oublier que l’être humain n’est pas QUE bon et sage. Les salopards, profiteurs, fainéants et autres parasites ont toujours existé et existerons toujours, quel que soit le régime politique. L’EUROPE a simplement permis le regroupement de ces parasites nuisibles en une bande plus forte et armée pour imposer ses méfaits.
Je suis un français de courte date, naturalisé par surprise et presque à mon insu. J’aime ce pays qui est aussi celui de mes ancêtres Je ne suis pas un dingo des frontières, ni un anti-Europe fanatique. Depuis Schengen, le bien vivre en France est en voie de délitement. Est il devenu impossible de dérouter ce rouleau compresseur qu’es devenue cette UE qui en arrive à confisquer la démocratie?
La frontière, c’est comme la peau: cela protège… sans empêcher les échanges avec l’extérieur.
Excellente définition !!
Bien vu !!
Pour un état se priver de ses frontières c’est supprimer la barrière au mal extérieur, le bien lui ne connait pas de barrières il est naturellement attiré.
Les frontières sont aux pays, ce que les limites du pouvoir et des différences humaines sont à l’homme.
Le « sans frontièrisme » : encore une belle utopie de la pensée mondialiste gauchisante, arrogante et immature.
Sourds et aveugles. Ils n’ont pas écouté les Seguin et leurs mises en garde contre cette Europe tant honnie aujourd’hui. Il faudra beaucoup de courage pour s’en défaire et beaucoup de volonté. Quant à moi, je n’ai plus d’espoir. La mondialisation s’est faite étau et la guerre ouvre un peu partout ses bras pour mieux engloutir ce qui reste des nations d’hier. Il faudra tout reconstruire mais ce sera avec d’autres frontières. Pessimiste analyse qui pourtant détient une grande part de vérité.
Je suis bien tristement d’accord avec vous, Lélue.
Reconstruire quoi ? Il n’y aura plus rien à reconstruire une fois le grand califat constitué dans 25 ans maximum
De la disparition des frontières à la disparition de la France.
Depuis cinquante ans, les gouvernements successifs, toutes couleurs confondues, et en particulier le dernier, ont méthodiquement délesté le pays de ses prérogatives, dissous ses frontières dans un brouillard supranational, cédé au chantage des minorités agissantes et à l’idéologie du renoncement. Le résultat est là : une nation qui doute d’elle-même, qui ne sait plus à quoi elle appartient, ni même si elle existe encore. Une nation livrée sans réaction à l’entrisme des frères musulmans, le bras armée d’une civilisation concurrente qui investit le pays avec l’approbation passive des édiles, mais parfois aussi de manière plus active de la part de « certaines élites. »
Ce n’est plus seulement la démocratie qui a été effacée. C’est la France qui s’efface lentement sous les coups de boutoir d’un mondialisme sans visage, complaisant envers des courants hostiles, tolérant une infiltration méthodique de ses principes les plus élémentaires. Et face à cela, les responsables politiques ne réagissent que par des incantations stériles, déjà mille fois entendues ; les macronades, les bayrouades, les retaillades.
Il ne s’agit plus de savoir si nous sommes encore en démocratie, mais si nous sommes encore une nation. Une nation digne de ce nom, fière d’elle-même, sûre de son destin, capable de dire non, capable de dire nous !
De la mort des frontières.
Depuis cinquante ans, les gouvernements successifs, toutes couleurs confondues, et en particulier le dernier, ont méthodiquement délesté le pays de ses prérogatives, dissous ses frontières dans un brouillard supranational, cédé au chantage des minorités agissantes et à l’idéologie du renoncement. Le résultat est là : une nation qui doute d’elle-même, qui ne sait plus à quoi elle appartient, ni même si elle existe encore. Une nation livrée sans réaction à l’entrisme des frères musulmans, le bras armée d’une civilisation concurrente qui investit le pays avec l’approbation passive des édiles mais parfois aussi de manière plus active de la part de « certaines élites. »
Ce n’est plus seulement la démocratie qui a été effacée. C’est la France qui s’efface, lentement, sous les coups de boutoir d’un mondialisme sans visage, complaisant envers des courants hostiles, tolérant une infiltration méthodique de ses principes les plus élémentaires. Et face à cela, les responsables politiques ne réagissent que par des incantations stériles, déjà mille fois entendues ; les macronades, les bayrouades, les retaillades.
Il ne s’agit plus de savoir si nous sommes encore en démocratie, mais si nous sommes encore une nation. Une nation digne de ce nom, fière d’elle-même, sûre de son destin, capable de dire non, capable de dire nous.
@montvives.canalblog : ce que vous décrivez, et qui est parfaitement exact, ne se limite pas à la France et s’observe dans toutes les nations au sein de l’UE. Les êtres humains malgré leurs différences et coutumes ont tous en commun, avec plus ou moins d’acuité, la crédulité. Cette caractéristique qui selon le dictionnaire se défini par « naïveté, facilité excessive à croire les choses » a été cultivée au fil des années par les politiques de tous bords et nationalités. Et les peuples, en majorité, sans méfiance se sont laissés endormir et bercer par un relatif confort matériel et intellectuel. Il suffit de consulter les commentaires des blogs politiques pour se rendre compte du désastre intellectuel et culturel. « Une nation digne de ce nom, fière d’elle-même, sûre de son destin, capable de dire non, capable de dire nous » dites vous, combien j’en ai rêvé. Mais la loi du nombre plus prompte à se quereller sur les qualités supposées de tel ou tel parti politique, candidat, ou autres élus, me conforte dans l’idée que l’espoir d’une résurrection ne peut passer que par une dégradation encore plus forte des libertés et facultés de vie des peuples. Une majorité arrive encore à vivre et ne veut pas ou ne peut pas (éducation, réflexion, croyances…) se rendre compte du désastre qui s’opère. J’espère me tromper dans ce sentiment mais l’Histoire ne me laisse guère d’espoir dans l’avenir tant les forces politiques et leurs sbires, promptes à l’asservissement des peuples, confortent chaque jour leurs emprises.
Frontières sur le papier, c’est bien. Mais réelles, encore mieux pour se séparer de l’UE !
Sortir de l’UE, reprendre notre destin en main, est-ce trop demander ?
En roulant tranquillement ce matin, j’admirais le paysage. Et je me suis mise à penser que, même là, l’UE mettait son sale nez. Comme si les ruraux ne savaient pas mieux que quiconque comment gérer leurs terres. À bas les « crates » de Bruxelles et d’ailleurs.