Depuis quelques jours, le système médiatique est sur le pont pour reprendre en main le drame de Crépol.
L’envie de se payer Hanouna était trop forte pour reconnaître que cette émission médiocre n’avait pas lieu d’être.
À nos yeux de séculiers ayant tout oublié de la théocratie, le fanatisme religieux prend les traits de la folie.
L’invisibilisation des victimes de l’ensauvagement n’est pas nouvelle.
L’historienne s’est dit frappée par la ressemblance entre Crépol, ce fait divers, et Roméo et Juliette.
À quand une minute de silence à l’Assemblée nationale en hommage à Chaid, Yanis, Fayçal, Kouider et compagnie ?
Et comme ont dit dans le métier, le public a toujours raison.
L’influenceur apporte son soutien aux victimes, dénonce « les vermines de nos communautés » et prévoit « la guerre civile ».
Pas un mot du calvaire des deux Françaises dans les JT nationaux.
Oubliez aussi les chants traditionnels ringards. La chorale Y Birds a été dépêchée pour proposer des « temps musicaux ».
Zineb opéra son grand comeback début 2022 avec une annonce qui fit l’effet d’une bombe.
Le recteur ne manque plus une occasion de prendre la parole et voler au secours… des musulmans.
Dénonciation des « violences policières », défense des migrants, l’artiste coche toutes les cases du candidat Eurovision
À Bry-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, on ne s’excuse pas d’être français.
La famille Traoré, c’est un peu comme le sparadrap du capitaine Haddock. Elle nous colle aux basques.
Sophie Pommier a œuvré à Sciences Po, à l’ambassade de France en Égypte et pour le compte d’un ministère.
Plus la gauche est démentie par le réel, plus elle s’entête et se radicalise.
La victime d’hier est présentée comme le bourreau d’aujourd’hui, sa défense est passée de mode.
Plusieurs centaines d’hommes forcent les portes de sécurité de l’aéroport au cri de « Allah akbar ».
Lundi 23 octobre dernier, un procès était diffusé à la télévision. Celui de la France.
Les fameux « budgets genrés » sont d’ailleurs déjà mis en place par certaines municipalités de gauche.
Le service public ne loupe jamais une occasion de nous rappeler de qui nous devons avoir peur en priorité.
Cet épisode déplorable discrédite une nouvelle fois la presse bien-pensante.
Sans sourciller, le journaliste est à deux doigts de nous expliquer que les Arabes ont été « grand-remplacés » !
La série Déter (10 millions d’euros de budget), tout juste lancée, coche toutes les cases du militantisme woke.
Chaque semaine, BV vous propose une sélection des meilleurs dérapages de nos chers médias de service public.
Les chaînes et radios d’État ne reculent décidément devant rien pour imposer leur idéologie
Depuis quelques jours, le système médiatique est sur le pont pour reprendre en main le drame de Crépol.
L’envie de se payer Hanouna était trop forte pour reconnaître que cette émission médiocre n’avait pas lieu d’être.
À nos yeux de séculiers ayant tout oublié de la théocratie, le fanatisme religieux prend les traits de la folie.
L’invisibilisation des victimes de l’ensauvagement n’est pas nouvelle.
L’historienne s’est dit frappée par la ressemblance entre Crépol, ce fait divers, et Roméo et Juliette.
À quand une minute de silence à l’Assemblée nationale en hommage à Chaid, Yanis, Fayçal, Kouider et compagnie ?
Et comme ont dit dans le métier, le public a toujours raison.
L’influenceur apporte son soutien aux victimes, dénonce « les vermines de nos communautés » et prévoit « la guerre civile ».
Pas un mot du calvaire des deux Françaises dans les JT nationaux.
Oubliez aussi les chants traditionnels ringards. La chorale Y Birds a été dépêchée pour proposer des « temps musicaux ».
Zineb opéra son grand comeback début 2022 avec une annonce qui fit l’effet d’une bombe.
Le recteur ne manque plus une occasion de prendre la parole et voler au secours… des musulmans.
Dénonciation des « violences policières », défense des migrants, l’artiste coche toutes les cases du candidat Eurovision
À Bry-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, on ne s’excuse pas d’être français.
La famille Traoré, c’est un peu comme le sparadrap du capitaine Haddock. Elle nous colle aux basques.
Sophie Pommier a œuvré à Sciences Po, à l’ambassade de France en Égypte et pour le compte d’un ministère.
Plus la gauche est démentie par le réel, plus elle s’entête et se radicalise.
La victime d’hier est présentée comme le bourreau d’aujourd’hui, sa défense est passée de mode.
Plusieurs centaines d’hommes forcent les portes de sécurité de l’aéroport au cri de « Allah akbar ».
Lundi 23 octobre dernier, un procès était diffusé à la télévision. Celui de la France.
Les fameux « budgets genrés » sont d’ailleurs déjà mis en place par certaines municipalités de gauche.
Le service public ne loupe jamais une occasion de nous rappeler de qui nous devons avoir peur en priorité.
Cet épisode déplorable discrédite une nouvelle fois la presse bien-pensante.
Sans sourciller, le journaliste est à deux doigts de nous expliquer que les Arabes ont été « grand-remplacés » !
La série Déter (10 millions d’euros de budget), tout juste lancée, coche toutes les cases du militantisme woke.
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