Union européenne
Puis, il reprend son incantation mystique…
Le député français au Parlement européen Aymeric Chauprade est au cœur d’une polémique après avoir engagé comme stagiaire la jeune Elizaveta Peskova, fille du porte-parole
Dans cet ouvrage, Henri Temple fait une analyse des éléments constitutifs d’une identité nationale…
Pour comprendre ces reculs, il faut bien prendre conscience du fait que les partis Fidesz et PiS sont deux partis de type démocrate-chrétien et non nationaliste.
Macron agite la chimère du chaos pour imposer l’idée de l’Union européenne. C’est son credo, l’alpha et l’oméga de sa conviction politique qu’il annonce sempiternellement.
En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !
En attendant ce nouveau numéro de com’ tendancieuse, il me semble que se profilent, depuis déjà quelque temps, des menaces de guerre civile bien française que le Président-qui-voit-tout-en-Europe ne voit pas.
Force est de constater que l’Union européenne s’est constituée sur la haine des nations, voire du judéo-christianisme.
Le réenchantement européen se fera bien au bord du précipice…
Emmanuel Macron instrumentalise l’Histoire à des fins purement politiciennes…
En France, coup de théâtre et amant qui sort du placard de la gauche : Jean-Luc Mélenchon apporte son soutien à Salvini !
L’on apprend ainsi que Bruxelles se chargerait de notre sécurité. On est heureux de l’apprendre puisque, jusqu’à présent, notre quotidien nous laissait plutôt à penser l’inverse.
Vérificateur de bruits de bottes, encore un nouvel emploi aidé ?
Mais ce Parlement européen, qui ne sait plus ce qu’est l’Europe, n’a pas pu l’entendre.
Nadine Morano fait partie de ceux qui n’ont pas voté, mercredi, le déclenchement de la procédure de sanction à l’encontre de Viktor Orbán. Elle exprime son
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
…la finalité est bien évidemment politique et a pour but d’opposer une critique libérale au projet illibéral exprimé à maintes reprises par Orbán.
Jean-Claude Juncker est un démocrate qui suit l’avis du peuple. La consultation Internet sur les migrants viendra plus tard.
Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.
L’un fait tourner le moulin à prières avec son « modèle humaniste de la mondialisation » tandis que l’autre en appelle aux mânes d’une histoire millénaire…
Au programme des réjouissances : le sauvetage du Brexit et un peu celui de l’Europe, aussi.
Et alors ? Et alors ? Macron est arrivé, pressé de la secourir.
Pour éviter une défaite de la Commission face à la Pologne devant le Conseil de l’Union européenne, les présidents des groupes centre droit (le PPE, dont font partie les LR français), de gauche et d’extrême gauche au Parlement européen ont eu, le 13 juin dernier, une idée lumineuse.
Après avoir froissé Poutine, été ridiculisé par Trump, éconduit par Merkel, ignoré par le socialiste Sánchez, il ne restait pas d’autre choix à Emmanuel Macron que de feindre l’entente avec l’Italie.
Le viol et l’assassinat d’une adolescente, fin mai, par un demandeur d’asile irakien débouté, mais non expulsé, a soulevé une légitime indignation et une juste colère.
Ils pensent que les peuples asservis ont abandonné tout instinct de révolte et de défense. Pourtant, qu’ils se méfient !
Alors même qu’à l’issue du Brexit, seul 1 % de la population de l’Union européenne sera de langue maternelle anglaise, c’est bien cette dernière que Bruxelles pourrait imposer comme quasi-langue officielle unique.
N’est-elle pas toute puissante, forte de la légitimité des gourdiflots qui lui cèdent notre souveraineté à répétition ?
Puis, il reprend son incantation mystique…
Le député français au Parlement européen Aymeric Chauprade est au cœur d’une polémique après avoir engagé comme stagiaire la jeune Elizaveta Peskova, fille du porte-parole
Dans cet ouvrage, Henri Temple fait une analyse des éléments constitutifs d’une identité nationale…
Pour comprendre ces reculs, il faut bien prendre conscience du fait que les partis Fidesz et PiS sont deux partis de type démocrate-chrétien et non nationaliste.
Macron agite la chimère du chaos pour imposer l’idée de l’Union européenne. C’est son credo, l’alpha et l’oméga de sa conviction politique qu’il annonce sempiternellement.
En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !
En attendant ce nouveau numéro de com’ tendancieuse, il me semble que se profilent, depuis déjà quelque temps, des menaces de guerre civile bien française que le Président-qui-voit-tout-en-Europe ne voit pas.
Force est de constater que l’Union européenne s’est constituée sur la haine des nations, voire du judéo-christianisme.
Le réenchantement européen se fera bien au bord du précipice…
Emmanuel Macron instrumentalise l’Histoire à des fins purement politiciennes…
En France, coup de théâtre et amant qui sort du placard de la gauche : Jean-Luc Mélenchon apporte son soutien à Salvini !
L’on apprend ainsi que Bruxelles se chargerait de notre sécurité. On est heureux de l’apprendre puisque, jusqu’à présent, notre quotidien nous laissait plutôt à penser l’inverse.
Vérificateur de bruits de bottes, encore un nouvel emploi aidé ?
Mais ce Parlement européen, qui ne sait plus ce qu’est l’Europe, n’a pas pu l’entendre.
Nadine Morano fait partie de ceux qui n’ont pas voté, mercredi, le déclenchement de la procédure de sanction à l’encontre de Viktor Orbán. Elle exprime son
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
…la finalité est bien évidemment politique et a pour but d’opposer une critique libérale au projet illibéral exprimé à maintes reprises par Orbán.
Jean-Claude Juncker est un démocrate qui suit l’avis du peuple. La consultation Internet sur les migrants viendra plus tard.
Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.
L’un fait tourner le moulin à prières avec son « modèle humaniste de la mondialisation » tandis que l’autre en appelle aux mânes d’une histoire millénaire…
Au programme des réjouissances : le sauvetage du Brexit et un peu celui de l’Europe, aussi.
Et alors ? Et alors ? Macron est arrivé, pressé de la secourir.
Pour éviter une défaite de la Commission face à la Pologne devant le Conseil de l’Union européenne, les présidents des groupes centre droit (le PPE, dont font partie les LR français), de gauche et d’extrême gauche au Parlement européen ont eu, le 13 juin dernier, une idée lumineuse.
Après avoir froissé Poutine, été ridiculisé par Trump, éconduit par Merkel, ignoré par le socialiste Sánchez, il ne restait pas d’autre choix à Emmanuel Macron que de feindre l’entente avec l’Italie.
Le viol et l’assassinat d’une adolescente, fin mai, par un demandeur d’asile irakien débouté, mais non expulsé, a soulevé une légitime indignation et une juste colère.
Ils pensent que les peuples asservis ont abandonné tout instinct de révolte et de défense. Pourtant, qu’ils se méfient !
Alors même qu’à l’issue du Brexit, seul 1 % de la population de l’Union européenne sera de langue maternelle anglaise, c’est bien cette dernière que Bruxelles pourrait imposer comme quasi-langue officielle unique.
N’est-elle pas toute puissante, forte de la légitimité des gourdiflots qui lui cèdent notre souveraineté à répétition ?
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