Turquie
Notoirement attachée à la cause des femmes, la jeune diplomate avait simplement voulu rappeler qu’une d’entre elles, la belle Hélène, avait tenu dans ses mains le destin de deux nations.
Poutine et Erdoğan sont parvenus à un accord, le 17 septembre dernier, à Sotchi.
Tout se met donc en place pour que l’islam turc affirme sa prééminence en France.
Motif de la discorde ? Il ne supporterait plus « le racisme et le manque de respect à son égard ».
Comprendre que si la Turquie n’a pas intégré l’Union européenne comme elle le souhaitait voilà encore quelques années, elle a fait mieux : sa diaspora l’a noyautée de l’intérieur.
Il est Soliman le magnifique. En France, on cherche encore un François Ier.
Avec l’ardeur d’un Mameluk affrontant les Croisés, il foudroya les malheureux signataires, lors d’un discours à Ankara…
BHL s’indigne également de la façon dont l’Occident, l’Europe et la France cèdent au chantage de ceux qu’il nomme « les cinq rois », parmi lesquels la Turquie d’Erdoğan…
En un mois, l’armée turque est parvenue à ses fins et a pris l’enclave kurde d’Afrine.
Comme la France médiatique de Macron, la Turquie est censée bien se porter, mais en fait son économie très fragile est au bord du gouffre.
Recep Tayyip Erdogan, l’actuel président turc, se voit comme un néo-sultan. Manifestement, il n’a pas la sagesse et la vision de ses augustes devanciers.
Erdogan a envoyé des milliers de soldats attaquer les troupes anti-daech dans le nord de la Syrie.
La Turquie, depuis les victoires électorales de l’AKP, a entamé une pente triplement glissante vers un pouvoir autocratique incompatible avec les libertés fondamentales.
Le président turc a encore publié, au soir de Noël, un décret annonçant une nouvelle mise à pied de 2756 fonctionnaires.
Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.
Jupiter, paraît-il, aveuglait ceux qu’il voulait rendre fous ; Allah aussi, manifestement.
Des purges dignes des grandes heures du stalinisme s’abattent sur l’Université, la fonction publique, la presse…
« En Turquie, on ne fait pas de politique, on fait la guerre », s’inquiète le journaliste pro-gouvernement Hasan Kahraman.
L’idée d’une adhésion de la Turquie à l’UE (1987), soufflée par les Américains et leurs lobbys, est une idée absurde et dangereuse qui ne résiste pas à la réflexion.
Le ministre de l’Éducation turc, M. Alpaslan Durmuş, vient d’annoncer que la théorie de Darwin serait désormais exclue des programmes scolaires.
Le président turc, qui avait fait supprimer la peine de mort en 2004, a évoqué la possibilité de remettre celle-ci à l’ordre du jour.
Le récent référendum turc sur l’élargissement des pouvoirs présidentiels avait provoqué de vives tensions en Belgique.
On peut toujours voir en sa personne une sorte de Charles X qui aurait un peu mieux réussi sa Restauration.
Les urnes ont parlé : Recep Tayyip Erdoğan a gagné son pari. Le « oui » à la réforme constitutionnelle l’a emporté d’une courte tête.
Cela fait bien longtemps que le parti du président turc, l’AKP, lorgne du côté de Sainte-Sophie pour la ramener dans le giron de l’islam.
Notoirement attachée à la cause des femmes, la jeune diplomate avait simplement voulu rappeler qu’une d’entre elles, la belle Hélène, avait tenu dans ses mains le destin de deux nations.
Poutine et Erdoğan sont parvenus à un accord, le 17 septembre dernier, à Sotchi.
Tout se met donc en place pour que l’islam turc affirme sa prééminence en France.
Motif de la discorde ? Il ne supporterait plus « le racisme et le manque de respect à son égard ».
Comprendre que si la Turquie n’a pas intégré l’Union européenne comme elle le souhaitait voilà encore quelques années, elle a fait mieux : sa diaspora l’a noyautée de l’intérieur.
Il est Soliman le magnifique. En France, on cherche encore un François Ier.
Avec l’ardeur d’un Mameluk affrontant les Croisés, il foudroya les malheureux signataires, lors d’un discours à Ankara…
BHL s’indigne également de la façon dont l’Occident, l’Europe et la France cèdent au chantage de ceux qu’il nomme « les cinq rois », parmi lesquels la Turquie d’Erdoğan…
En un mois, l’armée turque est parvenue à ses fins et a pris l’enclave kurde d’Afrine.
Comme la France médiatique de Macron, la Turquie est censée bien se porter, mais en fait son économie très fragile est au bord du gouffre.
Recep Tayyip Erdogan, l’actuel président turc, se voit comme un néo-sultan. Manifestement, il n’a pas la sagesse et la vision de ses augustes devanciers.
Erdogan a envoyé des milliers de soldats attaquer les troupes anti-daech dans le nord de la Syrie.
La Turquie, depuis les victoires électorales de l’AKP, a entamé une pente triplement glissante vers un pouvoir autocratique incompatible avec les libertés fondamentales.
Le président turc a encore publié, au soir de Noël, un décret annonçant une nouvelle mise à pied de 2756 fonctionnaires.
Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.
Jupiter, paraît-il, aveuglait ceux qu’il voulait rendre fous ; Allah aussi, manifestement.
Des purges dignes des grandes heures du stalinisme s’abattent sur l’Université, la fonction publique, la presse…
« En Turquie, on ne fait pas de politique, on fait la guerre », s’inquiète le journaliste pro-gouvernement Hasan Kahraman.
L’idée d’une adhésion de la Turquie à l’UE (1987), soufflée par les Américains et leurs lobbys, est une idée absurde et dangereuse qui ne résiste pas à la réflexion.
Le ministre de l’Éducation turc, M. Alpaslan Durmuş, vient d’annoncer que la théorie de Darwin serait désormais exclue des programmes scolaires.
Le président turc, qui avait fait supprimer la peine de mort en 2004, a évoqué la possibilité de remettre celle-ci à l’ordre du jour.
Le récent référendum turc sur l’élargissement des pouvoirs présidentiels avait provoqué de vives tensions en Belgique.
On peut toujours voir en sa personne une sorte de Charles X qui aurait un peu mieux réussi sa Restauration.
Les urnes ont parlé : Recep Tayyip Erdoğan a gagné son pari. Le « oui » à la réforme constitutionnelle l’a emporté d’une courte tête.
Cela fait bien longtemps que le parti du président turc, l’AKP, lorgne du côté de Sainte-Sophie pour la ramener dans le giron de l’islam.