Syrie
Après huit ans de guerre, les islamistes n’ont plus aucune chance de remporter la victoire militaire qu’ils convoitaient en Syrie.
Leur point commun ? Avoir servi Daech, autrement dit l’État islamique.
Trump a décidé de casser ces codes en vigueur depuis 1948.
De nombreuses zones d’ombre planent encore sur cette étrange bataille.
Le califat est mort, mais pas ses militants.
Cette piteuse fin de campagne montre toutes les limites de la stratégie américaine.
Depuis la Syrie, Alexandre Goodarzy fait le point sur la situation où les attaques des islamistes continuent alors que, depuis un mois, un cessez-le-feu devait
Ce qu’il y a de distrayant, avec les États-Unis, c’est que leur volonté de paix est toujours contrariée par des méchants…
Restera le problème des cellules dormantes. Elles sont probablement nombreuses dans tout le pays, notamment sur l’ancien territoire du califat qui fut, tout de même, assez vaste.
Combien de Français, parmi eux ? Impossible de le savoir avec précision, mais leur présence est à peu près certaine.
Le nouveau tsar pratique une politique qu’on pourrait qualifier de « harem », dans lequel parviennent à cohabiter ces quatre épouses que sont respectivement Iran, Israël, Turquie et Syrie…
La province d’Idleb est la dernière province que l’armée syrienne n’ait pas reprise.
Pour les militaires américains, ce retrait est prématuré : ils considèrent que Daech n’est pas vaincu…
Alors, comme toujours dans la région, le dernier mot reviendra à la Russie…
Pour justifier sa décision, Trump a indiqué que le travail était accompli et que Daech était vaincu. Le problème, c’est que ce n’est pas tout à fait vrai.
La zone désertique à cheval sur la Syrie et l’Irak constitue une cache idéale car ce n’est pas un désert plat et sableux mais tourmenté et caillouteux, parsemé de multiples grottes.
On estime à plus d’un million le nombre de réfugiés syriens au Liban.
Comme l’observe finement Tesson, l’Occident, aujourd’hui, a institué « une mystique du déplacement ».
On y cultive la vigne depuis au moins 2.000 ans et Pline l’Ancien le cite.
Comme souvent, la dure réalité syrienne a rattrapé les illusions américano-kurdes.
Poutine et Erdoğan sont parvenus à un accord, le 17 septembre dernier, à Sotchi.
Nantis de ce soutien puissant, les Kurdes n’ont pas tardé à reprendre leurs mauvaises habitudes de domination, de répression et de mépris des chrétiens.
Le documentaire Syrie, du chaos à l’espérance sort le 27 septembre. Réalisé par Eddy Vicken et Yvon Bertorello, avec la voix de Michael Lonsdale, il
Ces S-300 permettront des ripostes d’une portée de 250 kilomètres et de frapper plusieurs cibles à la fois.
Les raids israéliens sont très nombreux en Syrie et posent de sérieux problèmes de sécurité à l’aviation russe, prévenue au dernier moment.
La photo daterait du mois d’août, lors de la préparation de l’offensive.
Les Occidentaux, eux, sont pathétiquement inutiles…
Après huit ans de guerre, les islamistes n’ont plus aucune chance de remporter la victoire militaire qu’ils convoitaient en Syrie.
Leur point commun ? Avoir servi Daech, autrement dit l’État islamique.
Trump a décidé de casser ces codes en vigueur depuis 1948.
De nombreuses zones d’ombre planent encore sur cette étrange bataille.
Le califat est mort, mais pas ses militants.
Cette piteuse fin de campagne montre toutes les limites de la stratégie américaine.
Depuis la Syrie, Alexandre Goodarzy fait le point sur la situation où les attaques des islamistes continuent alors que, depuis un mois, un cessez-le-feu devait
Ce qu’il y a de distrayant, avec les États-Unis, c’est que leur volonté de paix est toujours contrariée par des méchants…
Restera le problème des cellules dormantes. Elles sont probablement nombreuses dans tout le pays, notamment sur l’ancien territoire du califat qui fut, tout de même, assez vaste.
Combien de Français, parmi eux ? Impossible de le savoir avec précision, mais leur présence est à peu près certaine.
Le nouveau tsar pratique une politique qu’on pourrait qualifier de « harem », dans lequel parviennent à cohabiter ces quatre épouses que sont respectivement Iran, Israël, Turquie et Syrie…
La province d’Idleb est la dernière province que l’armée syrienne n’ait pas reprise.
Pour les militaires américains, ce retrait est prématuré : ils considèrent que Daech n’est pas vaincu…
Alors, comme toujours dans la région, le dernier mot reviendra à la Russie…
Pour justifier sa décision, Trump a indiqué que le travail était accompli et que Daech était vaincu. Le problème, c’est que ce n’est pas tout à fait vrai.
La zone désertique à cheval sur la Syrie et l’Irak constitue une cache idéale car ce n’est pas un désert plat et sableux mais tourmenté et caillouteux, parsemé de multiples grottes.
On estime à plus d’un million le nombre de réfugiés syriens au Liban.
Comme l’observe finement Tesson, l’Occident, aujourd’hui, a institué « une mystique du déplacement ».
On y cultive la vigne depuis au moins 2.000 ans et Pline l’Ancien le cite.
Comme souvent, la dure réalité syrienne a rattrapé les illusions américano-kurdes.
Poutine et Erdoğan sont parvenus à un accord, le 17 septembre dernier, à Sotchi.
Nantis de ce soutien puissant, les Kurdes n’ont pas tardé à reprendre leurs mauvaises habitudes de domination, de répression et de mépris des chrétiens.
Le documentaire Syrie, du chaos à l’espérance sort le 27 septembre. Réalisé par Eddy Vicken et Yvon Bertorello, avec la voix de Michael Lonsdale, il
Ces S-300 permettront des ripostes d’une portée de 250 kilomètres et de frapper plusieurs cibles à la fois.
Les raids israéliens sont très nombreux en Syrie et posent de sérieux problèmes de sécurité à l’aviation russe, prévenue au dernier moment.
La photo daterait du mois d’août, lors de la préparation de l’offensive.
Les Occidentaux, eux, sont pathétiquement inutiles…