Police
Il est condamné à 12 mois de sursis probatoire, à payer les indemnisations aux policiers blessés, travailler et surtout suivre assidûment un traitement médical.
Un nouveau cas d’école de cette capacité exemplaire de la gauche à tordre le réel pour lui imposer son angle : après le coup de la culture judéo-chrétienne, la cause des féminicides, ce serait la police !
Il faut faire du chiffre, or, on le sait tous, ce n’est pas la chasse aux voleurs/mineurs isolés ou aux clandestins qui rapporte.
À la suite d’un bras de fer juridique allant jusqu’au Conseil d’État, qui opposait Alexandre Langlois au ministère de l’Intérieur, le tribunal de Versailles vient de rendre sa décision. Le policier qui avait été révoqué réagit auprès de BV.
La France est atteinte d’un cancer généralisé et l’État n’a pas trouvé ou ne veut pas trouver le traitement.
Des tags menaçant des policiers ont été découverts par des agents dans un hall d’immeuble de la commune de Châtenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine. Les fonctionnaires
On installe ainsi une surveillance universelle où même le parfait citoyen vertueux sera tracé à tout moment et pour nombre de ses actes courants, dans la rue, dans les commerces, lors de manifestations…
Comme s’il suffisait de mettre un problème de société sous perfusion financière pour qu’il se résolve tout seul comme un grand.
De même que la police nationale est aujourd’hui dans l’incapacité de faire face aux problématiques de sécurité intérieure, notre armée serait bien incapable d’assumer les conséquences d’un conflit de haute intensité
Après trois décennies de gouvernance progressiste, Rezé connaît des records de délinquance.
Les féministes préfèrent évoquer les violences policières que les violences contre les policières.
La première chose que l’on ressent à la vue de cette vidéo, c’est une sorte de gêne devant le ridicule spectacle de gens qui devraient vouer leur vie à la célébration de la beauté et ne trouvent rien d’autre que de faire des sous-clips de racaille.
Ce sera sa martingale, son tour de passe-passe, son écran de fumée, LE sujet qui permettra d’occulter tous les autres.
À l’instar de ce qui se passe partout ailleurs, Macron et Darmanin font le choix de la facilité et sont sur le point de brader un des piliers fondamentaux de la République.
Les institutions européennes ont leurs pudeurs. La facilité avec laquelle les policiers avaient accès aux données téléphoniques des prévenus a ému la Cour de justice
Provocatrice certainement, la décision de Darmanin ne devrait, on l’espère, pas amplifier plus encore le climat anti-flic qui règne dans l’Hexagone.
Une dizaine de dealers, tout de noir vêtus, casquette et baskets au pied, qui s’en sont pris aux deux agents municipaux.
Au-delà de la violence du cliché, il y a évidemment les centaines de milliers de jeunes qui suivent ces « artistes » et à qui on donne insidieusement l’idée que tuer des policiers, c’est cool !
Jean Luc Mélenchon a les fesses bien calées depuis des décennies dans des fauteuils républicains et – contrairement aux policiers – n’a sans doute entendu siffler de sa vie d’autres balles que celles d’un terrain de pétanque.
Le secrétaire national du SPIP s’insurge contre cette polémique autour de l’usage de l’arme des force des l’ordre orchestrée par Jean-Luc Mélenchon
C’est la troisième fois que ce syndicat porte plainte contre Jean-Luc Mélenchon.
On peut supposer que les policiers, échaudés par les récentes mises en cause judicaires de leurs collègues dans des circonstances similaires et tout en même temps confrontés quotidiennement à l’ensauvagement de la société française, aient hésité à dégainer leurs armes.
Les réformes dans la police nationale ont malheureusement souvent été dictées par des intérêts corporatistes ou personnels.
Après la mise en examen d’un policier pour homicide volontaire, les policiers ont répondu par centaines à l’appel de leurs syndicats pour manifester leur colère devant ce qu’ils estiment être une négation de la légitime défense.
« Comment peut-on, alors que l’on exerce une mission au service de l’État et des Français, être finalement considéré et traité comme le premier criminel venu ? »
Les forces de l’ordre soupçonnaient les occupants de la voiture de se livrer à un trafic de stupéfiants. Le véhicule a démarré puis a foncé vers un des fonctionnaires, qui s’est écarté pour l’éviter.
Ce n’est pas en se prononçant contre la légitime défense, et donc pour la loi imposée par les criminels, ainsi que l’a récemment fait le Président sortant, que l’on retrouvera une France apaisée.
Privées de moyens humains et financiers, police, Justice et administration pénitentiaire ne peuvent mener à bien leur mission de répression des infractions pénales et de sauvegarde de l’ordre public, pour le plus grand malheur des Français.
Il est condamné à 12 mois de sursis probatoire, à payer les indemnisations aux policiers blessés, travailler et surtout suivre assidûment un traitement médical.
Un nouveau cas d’école de cette capacité exemplaire de la gauche à tordre le réel pour lui imposer son angle : après le coup de la culture judéo-chrétienne, la cause des féminicides, ce serait la police !
Il faut faire du chiffre, or, on le sait tous, ce n’est pas la chasse aux voleurs/mineurs isolés ou aux clandestins qui rapporte.
À la suite d’un bras de fer juridique allant jusqu’au Conseil d’État, qui opposait Alexandre Langlois au ministère de l’Intérieur, le tribunal de Versailles vient de rendre sa décision. Le policier qui avait été révoqué réagit auprès de BV.
La France est atteinte d’un cancer généralisé et l’État n’a pas trouvé ou ne veut pas trouver le traitement.
Des tags menaçant des policiers ont été découverts par des agents dans un hall d’immeuble de la commune de Châtenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine. Les fonctionnaires
On installe ainsi une surveillance universelle où même le parfait citoyen vertueux sera tracé à tout moment et pour nombre de ses actes courants, dans la rue, dans les commerces, lors de manifestations…
Comme s’il suffisait de mettre un problème de société sous perfusion financière pour qu’il se résolve tout seul comme un grand.
De même que la police nationale est aujourd’hui dans l’incapacité de faire face aux problématiques de sécurité intérieure, notre armée serait bien incapable d’assumer les conséquences d’un conflit de haute intensité
Après trois décennies de gouvernance progressiste, Rezé connaît des records de délinquance.
Les féministes préfèrent évoquer les violences policières que les violences contre les policières.
La première chose que l’on ressent à la vue de cette vidéo, c’est une sorte de gêne devant le ridicule spectacle de gens qui devraient vouer leur vie à la célébration de la beauté et ne trouvent rien d’autre que de faire des sous-clips de racaille.
Ce sera sa martingale, son tour de passe-passe, son écran de fumée, LE sujet qui permettra d’occulter tous les autres.
À l’instar de ce qui se passe partout ailleurs, Macron et Darmanin font le choix de la facilité et sont sur le point de brader un des piliers fondamentaux de la République.
Les institutions européennes ont leurs pudeurs. La facilité avec laquelle les policiers avaient accès aux données téléphoniques des prévenus a ému la Cour de justice
Provocatrice certainement, la décision de Darmanin ne devrait, on l’espère, pas amplifier plus encore le climat anti-flic qui règne dans l’Hexagone.
Une dizaine de dealers, tout de noir vêtus, casquette et baskets au pied, qui s’en sont pris aux deux agents municipaux.
Au-delà de la violence du cliché, il y a évidemment les centaines de milliers de jeunes qui suivent ces « artistes » et à qui on donne insidieusement l’idée que tuer des policiers, c’est cool !
Jean Luc Mélenchon a les fesses bien calées depuis des décennies dans des fauteuils républicains et – contrairement aux policiers – n’a sans doute entendu siffler de sa vie d’autres balles que celles d’un terrain de pétanque.
Le secrétaire national du SPIP s’insurge contre cette polémique autour de l’usage de l’arme des force des l’ordre orchestrée par Jean-Luc Mélenchon
C’est la troisième fois que ce syndicat porte plainte contre Jean-Luc Mélenchon.
On peut supposer que les policiers, échaudés par les récentes mises en cause judicaires de leurs collègues dans des circonstances similaires et tout en même temps confrontés quotidiennement à l’ensauvagement de la société française, aient hésité à dégainer leurs armes.
Les réformes dans la police nationale ont malheureusement souvent été dictées par des intérêts corporatistes ou personnels.
Après la mise en examen d’un policier pour homicide volontaire, les policiers ont répondu par centaines à l’appel de leurs syndicats pour manifester leur colère devant ce qu’ils estiment être une négation de la légitime défense.
« Comment peut-on, alors que l’on exerce une mission au service de l’État et des Français, être finalement considéré et traité comme le premier criminel venu ? »
Les forces de l’ordre soupçonnaient les occupants de la voiture de se livrer à un trafic de stupéfiants. Le véhicule a démarré puis a foncé vers un des fonctionnaires, qui s’est écarté pour l’éviter.
Ce n’est pas en se prononçant contre la légitime défense, et donc pour la loi imposée par les criminels, ainsi que l’a récemment fait le Président sortant, que l’on retrouvera une France apaisée.
Privées de moyens humains et financiers, police, Justice et administration pénitentiaire ne peuvent mener à bien leur mission de répression des infractions pénales et de sauvegarde de l’ordre public, pour le plus grand malheur des Français.