Masques
D’aucuns diront que le gouvernement s’accoutume bien à cet état d’urgence sanitaire. Faudrait pas que ça devienne de la dépendance, comme une sorte de drogue, vous voyez.
La députée Agnès Thill a interpellé le ministre de la Santé Olivier Véran au sujet de la pénurie des masques durant la pandémie, et sur
Ainsi, il n’y a pas eu de pénurie de masques.
Difficile de savoir qui est le plus responsable, de l’administration ou de nos gouvernants. Mais quelle est la légitimité de politiques qui ne savent ni anticiper les besoins ni vérifier ce que fait leur administration ?
Au diable ce masque « afnorisé » ! Je ferai comme John Wayne : un foulard triangulaire sur le museau ; pas besoin de 36 pages pour faire un nœud sur la nuque.
Comment de tels stocks ont-ils pu être constitués en période de réquisition sans que les services de l’État en aient été informés ?
L’heure est à la défiance à l’égard d’Emmanuel Macron et du gouvernement, qui ne semblent pas à la hauteur de la situation.
Illusoire de compter sur les tests actuels pour arrêter maintenant l’épidémie.
D’autres édiles entrent en résistance, voire désobéissance active, contre les directives sinusoïdales du ministre de l’Intérieur. En particulier concernant le port du masque.
Grande première dans la Ve République : une loi a posteriori pourrait voir Christophe Castaner devenir ministre de l’Antérieur.
Conscient de la faiblesse de son argumentation, le ministre de l’Intérieur sort l’artillerie lourde. L’égalité face à la maladie. L’interdiction du masque pour tous respecte le principe « d’ égalité territoriale ».
Lundi, Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, nous annonce que les masques commandés par la France en Chine seront livrés « d’ici la fin juin ».
« Alternatifs en cours de production », ça veut dire bricolés à la maison avec les vieux strings de Kevina et les fixe-chaussettes de Papy.
Nos masques ont été réquisitionnés pour être donnés en priorité aux soignants, ce qu’on comprend, mais rien n’a été mis en place pour assurer la sécurité de nos collègues au travail.
Dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous expliquerai comment vous en passer : ainsi pourrait se résumer la « politique » délibérée de ne pas doter les Français de masques.
Encore un bel exemple d’indépendance nationale.
Au fil des élucubrations télévisées, le masque devenait nécessaire ou inutile en fonction du stock disponible, souvent proche de zéro, ou des masqués concernés.
Des masques qui arriveront peut-être aussi en avril, qui sait ? À Pâques ou à la Trinité, mironton, mirontaine ?
Pif Gadget, ça vous parle ? Non. Alors Pilote, peut-être ? Je sais, c’est un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître… mais bon,
À sa mesure, grâce à une de ses filiales chinoises, le Puy du Fou a décidé d’aider le personnel soignant par la livraison de masques.
D’aucuns diront que le gouvernement s’accoutume bien à cet état d’urgence sanitaire. Faudrait pas que ça devienne de la dépendance, comme une sorte de drogue, vous voyez.
La députée Agnès Thill a interpellé le ministre de la Santé Olivier Véran au sujet de la pénurie des masques durant la pandémie, et sur
Ainsi, il n’y a pas eu de pénurie de masques.
Difficile de savoir qui est le plus responsable, de l’administration ou de nos gouvernants. Mais quelle est la légitimité de politiques qui ne savent ni anticiper les besoins ni vérifier ce que fait leur administration ?
Au diable ce masque « afnorisé » ! Je ferai comme John Wayne : un foulard triangulaire sur le museau ; pas besoin de 36 pages pour faire un nœud sur la nuque.
Comment de tels stocks ont-ils pu être constitués en période de réquisition sans que les services de l’État en aient été informés ?
L’heure est à la défiance à l’égard d’Emmanuel Macron et du gouvernement, qui ne semblent pas à la hauteur de la situation.
Illusoire de compter sur les tests actuels pour arrêter maintenant l’épidémie.
D’autres édiles entrent en résistance, voire désobéissance active, contre les directives sinusoïdales du ministre de l’Intérieur. En particulier concernant le port du masque.
Grande première dans la Ve République : une loi a posteriori pourrait voir Christophe Castaner devenir ministre de l’Antérieur.
Conscient de la faiblesse de son argumentation, le ministre de l’Intérieur sort l’artillerie lourde. L’égalité face à la maladie. L’interdiction du masque pour tous respecte le principe « d’ égalité territoriale ».
Lundi, Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, nous annonce que les masques commandés par la France en Chine seront livrés « d’ici la fin juin ».
« Alternatifs en cours de production », ça veut dire bricolés à la maison avec les vieux strings de Kevina et les fixe-chaussettes de Papy.
Nos masques ont été réquisitionnés pour être donnés en priorité aux soignants, ce qu’on comprend, mais rien n’a été mis en place pour assurer la sécurité de nos collègues au travail.
Dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous expliquerai comment vous en passer : ainsi pourrait se résumer la « politique » délibérée de ne pas doter les Français de masques.
Encore un bel exemple d’indépendance nationale.
Au fil des élucubrations télévisées, le masque devenait nécessaire ou inutile en fonction du stock disponible, souvent proche de zéro, ou des masqués concernés.
Des masques qui arriveront peut-être aussi en avril, qui sait ? À Pâques ou à la Trinité, mironton, mirontaine ?
Pif Gadget, ça vous parle ? Non. Alors Pilote, peut-être ? Je sais, c’est un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître… mais bon,
À sa mesure, grâce à une de ses filiales chinoises, le Puy du Fou a décidé d’aider le personnel soignant par la livraison de masques.
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