Marine Le Pen
Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.
La sagesse est, pour moi, de m’abstenir. Je fais confiance aux citoyens qui voteront en leur âme et conscience. Cela s’appelle la démocratie.
Emmanuel Macron est comptable d’un bilan quinquennal désastreux. Il a renforcé l’immigration incontrôlée, les crimes et délits en pagaille et la précarité galopante.
Ce qui est vraiment surprenant, c’est que l’électorat d’Emmanuel Macron se soit élargi d’un premier tour à l’autre sur cinq ans, alors que les élections ayant eu lieu depuis 2017 ont montré qu’il s’érodait.
Marine Le Pen, donc, à l’instar de son père, a enfin mené la campagne qui était la sienne. Celle d’une femme rassurante.
Hermétiques l’une à l’autre, étrangères dans les mêmes frontières, ces trois France se partagent pour la première fois très clairement les bulletins de vote des Français dans une élection présidentielle.
Une Marseillaise retentit, chantée à gorge déployée, suivie de slogans : « On va gagner ! » Enfin, la salle entonne le décompte des secondes : 10, 9, 8, 7…
Loin des calculs, Éric Zemmour a appelé d’ores et déjà à voter pour Marine Le Pen
Valérie Pécresse n’a même pas franchi la barre des 5 %, qui lui permettrait d’être remboursée de sa campagne.
À Perpignan, la candidate du RN a rassemblé plus de 3000 personnes.
Tous les Français qui vont voter Éric Zemmour sont conscients qu’il n’y aura qu’un candidat au second tour qui prendra en compte leurs angoisses ou leurs préoccupations.
Jacques Attali, visiblement lui aussi à bout d’arguments, est déjà à l’affût. Rien n’échappe à sa sagacité légendaire. Tiens, au fait, elle a dit quoi, Marine Le Pen, chez Bouleau, mercredi soir ?
Emmanuel Macron ne l’emporterait plus qu’à 51,50 %, contre 48,50 % (quasiment dans la marge d’erreur), alors que l’affaire McKinsey vient agacer la Macronie. Là, du coup, on ne rigole plus.
La dynamique est donc là : pour Marine Le Pen, ce n’est pas encore perdu, tandis que pour Emmanuel Macron, c’est désormais loin d’être gagné.
Au second tour, l’écart avec Macron se resserre à 53 % d’intentions de vote, contre 47 % dans le sondage CNews de ce 4 avril. C’est 13 points de plus que ses scores d’il y a cinq ans.
Marine serait le dernier espoir pour certains là où Zemmour porterait un nouvel espoir pour d’autres.
Pas certain que ça prenne aussi bien aujourd’hui…
En cette fin de campagne présidentielle, la droite revient à ses fondamentaux et tente de marquer l’opinion sur l’islamisme et le communautarisme.
Éric Zemmour a affirmé qu’il n’était pas le moins du monde fâché avec Marine Le Pen, martelant : « On n’est pas fâchés, on est concurrents, on est rivaux. »
L’état-major de Marine Le Pen se sent pousser des ailes : il considère l’accès au deuxième tour comme acquis et travaille désormais sur l’entre-deux-tours. Dans le viseur, la revanche de 2017.
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.
En s’engageant, si elle est élue, à se rendre dans la dernière demeure des rois et reines de France, Marine Le Pen reconnaît que l’Histoire de la France est un tout indissociable et veut réconcilier les Français entre eux et avec leur passé.
Au second tour Marine Le Pen perdrait contre Emmanuel Macron avec 46,50 % contre 53,50 %. Un écart qui se resserre à deux semaines du premier tour.
Il s’agit bien d’une guerre fratricide, dans la mesure où Reconquête!, ne cache plus sa volonté de croître et sur le cadavre des Républicains, et sur les cendres que pourrait laisser une deuxième défaite de Marine Le Pen à l’issue du second tour, face à Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron peut se permettre le luxe d’enjamber l’élection et n’a aucun intérêt à initier une mobilisation, qui pourrait se faire à ses dépens.
La CFDT, qui organisait une rencontre avec les différents candidats à la présidentielle, a décidé d’évincer la candidate du Rassemblement national ainsi qu’Éric Zemmour de leur rassemblement.
Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.
Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.
La sagesse est, pour moi, de m’abstenir. Je fais confiance aux citoyens qui voteront en leur âme et conscience. Cela s’appelle la démocratie.
Emmanuel Macron est comptable d’un bilan quinquennal désastreux. Il a renforcé l’immigration incontrôlée, les crimes et délits en pagaille et la précarité galopante.
Ce qui est vraiment surprenant, c’est que l’électorat d’Emmanuel Macron se soit élargi d’un premier tour à l’autre sur cinq ans, alors que les élections ayant eu lieu depuis 2017 ont montré qu’il s’érodait.
Marine Le Pen, donc, à l’instar de son père, a enfin mené la campagne qui était la sienne. Celle d’une femme rassurante.
Hermétiques l’une à l’autre, étrangères dans les mêmes frontières, ces trois France se partagent pour la première fois très clairement les bulletins de vote des Français dans une élection présidentielle.
Une Marseillaise retentit, chantée à gorge déployée, suivie de slogans : « On va gagner ! » Enfin, la salle entonne le décompte des secondes : 10, 9, 8, 7…
Loin des calculs, Éric Zemmour a appelé d’ores et déjà à voter pour Marine Le Pen
Valérie Pécresse n’a même pas franchi la barre des 5 %, qui lui permettrait d’être remboursée de sa campagne.
À Perpignan, la candidate du RN a rassemblé plus de 3000 personnes.
Tous les Français qui vont voter Éric Zemmour sont conscients qu’il n’y aura qu’un candidat au second tour qui prendra en compte leurs angoisses ou leurs préoccupations.
Jacques Attali, visiblement lui aussi à bout d’arguments, est déjà à l’affût. Rien n’échappe à sa sagacité légendaire. Tiens, au fait, elle a dit quoi, Marine Le Pen, chez Bouleau, mercredi soir ?
Emmanuel Macron ne l’emporterait plus qu’à 51,50 %, contre 48,50 % (quasiment dans la marge d’erreur), alors que l’affaire McKinsey vient agacer la Macronie. Là, du coup, on ne rigole plus.
La dynamique est donc là : pour Marine Le Pen, ce n’est pas encore perdu, tandis que pour Emmanuel Macron, c’est désormais loin d’être gagné.
Au second tour, l’écart avec Macron se resserre à 53 % d’intentions de vote, contre 47 % dans le sondage CNews de ce 4 avril. C’est 13 points de plus que ses scores d’il y a cinq ans.
Marine serait le dernier espoir pour certains là où Zemmour porterait un nouvel espoir pour d’autres.
Pas certain que ça prenne aussi bien aujourd’hui…
En cette fin de campagne présidentielle, la droite revient à ses fondamentaux et tente de marquer l’opinion sur l’islamisme et le communautarisme.
Éric Zemmour a affirmé qu’il n’était pas le moins du monde fâché avec Marine Le Pen, martelant : « On n’est pas fâchés, on est concurrents, on est rivaux. »
L’état-major de Marine Le Pen se sent pousser des ailes : il considère l’accès au deuxième tour comme acquis et travaille désormais sur l’entre-deux-tours. Dans le viseur, la revanche de 2017.
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.
En s’engageant, si elle est élue, à se rendre dans la dernière demeure des rois et reines de France, Marine Le Pen reconnaît que l’Histoire de la France est un tout indissociable et veut réconcilier les Français entre eux et avec leur passé.
Au second tour Marine Le Pen perdrait contre Emmanuel Macron avec 46,50 % contre 53,50 %. Un écart qui se resserre à deux semaines du premier tour.
Il s’agit bien d’une guerre fratricide, dans la mesure où Reconquête!, ne cache plus sa volonté de croître et sur le cadavre des Républicains, et sur les cendres que pourrait laisser une deuxième défaite de Marine Le Pen à l’issue du second tour, face à Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron peut se permettre le luxe d’enjamber l’élection et n’a aucun intérêt à initier une mobilisation, qui pourrait se faire à ses dépens.
La CFDT, qui organisait une rencontre avec les différents candidats à la présidentielle, a décidé d’évincer la candidate du Rassemblement national ainsi qu’Éric Zemmour de leur rassemblement.
Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.