Marine Le Pen
Les Français seront au moins heureux d’apprendre que le premier d’entre eux se porte comme un charme, tant les motifs de contentement se font rares, ces temps derniers.
Ainsi, le chancelier Sebastian Kurz vient-il de dévoiler son plan en matière de lutte antiterroriste.
Le très médiatique et populaire cadre du Rassemblement national Jean Messiha a annoncé son départ de ce mouvement politique. Il en donne les raisons au
Le Monde et quelques autres vont devoir rapidement changer leurs tics de langage à l’égard du RN et des autres
Le dictionnaire Larousse donne de la lâcheté cette définition : « Manque de courage, d’énergie morale, de fermeté ».
Parmi tous les prétendants à l’Élysée, le plus sage ne sera-t-il pas, non celui qui se croit irremplaçable, mais celui qui tend la main à ses concurrents pour contribuer à la victoire ?
Avant tout, nous devons tous répondre à une question : voulons-nous gérer notre dissolution ou créer les conditions de la résurgence ?
Les choses sont dites : Marine Le Pen ne peut pas gagner l’élection présidentielle de 2022. C’est écrit.
Si les Français se réveillent, il est grand temps que nous autres, cadres politiques, nous ouvrions les yeux sur nos responsabilités : demain, il sera trop tard…
Tout à coup, branle-bas de combat, le drapeau noir flotte sur la marmite, alerte à Malibu, debout les gars, réveillez-vous : on signale un tweet de Jean-Luc Mélenchon !
L’arrivée de la Castafiore à la Culture n’a satisfait que les amateurs d’opéra.
Tout semble se mettre en place pour anticiper l’échéance électorale majeure, la dernière où les Français vont encore voter : l’élection présidentielle.
En 2017, le second tour avait déjà mené Emmanuel Macron à l’Élysée avec 66,1 % des voix contre 33,9 % pour Marine Le Pen.
La référence à quelque grand homme d’État est celle de sa ligne politique générale et des valeurs fondamentales qui l’inspirèrent. Non pas que l’on ait une religieuse révérence de l’esprit pour tout ce qu’il fit. Anachronisme, quand tu nous tiens…
Robert Ménard a décidé de ne plus soutenir Marine Le Pen pour l’élection présidentielle en considérant que son projet ne serait jamais majoritaire et qu’elle ne pourrait pas être élue en 2022.
La présidente du Rassemblement national a surpris son monde en se rendant sur l’île de Sein, à la veille de la cérémonie commémorative de l’appel du 18 juin…
Une scène extrêmement violente filmée par un journaliste de CNews qui aura provoqué l’ire des fidèles du RN mais, étonnamment, peu de réactions de la part de ses adversaires politiques.
Après Villeneuve-la-Garenne, émeutes à Pantin, Saint-Denis, Champigny-sur-Marne, Strasbourg, Villejuif… Réaction de Marine Le Pen en exclusivité.
La présidente du RN a confié à Boulevard Voltaire ses impressions sur l’allocution d’Emmanuel Macron et l’état de confinement du pays : « Le président
Mais en France et au sein de l’Union européenne, qui aura le courage, comme Marine Le Pen, de reconnaître qu’en vérité, Recep Tayyip Erdoğan veut ressusciter le califat ?
En tout cas, tous – hommes politiques et commentateurs, de droite comme de gauche – ne pourront qu’être d’accord avec elle : une victoire de Stéphane Ravier à Marseille, le 22 mars, serait un événement politique majeur. Et national.
En somme, c’est à la fois abandon et négation du modèle républicain. Et c’est peut-être de là que vient le problème. L’assimilation républicaine n’est plus.
Samedi, Marine Le Pen a apporté son soutien à Sébastien Pacull, ancien président des LR de l’Hérault et candidat aux élections municipales de Sète. Analyse
Agnès Buzyn laissait entendre qu’on avait le devoir de dénoncer – c’est peu dire – l’Holocauste et les honteuses élucubrations le mettant en doute, ce qui était normal, mais que certains n’en avaient pas le droit…
Une fois de plus cet après midi à Paris ont eu lieu de violents affrontements entre les forces de l’ordre et les pompiers venus manifester.
Lors de ses vœux à la presse, ce jeudi 16 janvier, la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen a annoncé sa candidature à la
Lors de ses vœux à la presse, ce jeudi 16 janvier, la présidente du Rassemblement national a annoncé sa candidature à la présidentielle de 2022.
La surprise vient de la précocité de cette annonce : plus de deux ans avant l’échéance !
Les Français seront au moins heureux d’apprendre que le premier d’entre eux se porte comme un charme, tant les motifs de contentement se font rares, ces temps derniers.
Ainsi, le chancelier Sebastian Kurz vient-il de dévoiler son plan en matière de lutte antiterroriste.
Le très médiatique et populaire cadre du Rassemblement national Jean Messiha a annoncé son départ de ce mouvement politique. Il en donne les raisons au
Le Monde et quelques autres vont devoir rapidement changer leurs tics de langage à l’égard du RN et des autres
Le dictionnaire Larousse donne de la lâcheté cette définition : « Manque de courage, d’énergie morale, de fermeté ».
Parmi tous les prétendants à l’Élysée, le plus sage ne sera-t-il pas, non celui qui se croit irremplaçable, mais celui qui tend la main à ses concurrents pour contribuer à la victoire ?
Avant tout, nous devons tous répondre à une question : voulons-nous gérer notre dissolution ou créer les conditions de la résurgence ?
Les choses sont dites : Marine Le Pen ne peut pas gagner l’élection présidentielle de 2022. C’est écrit.
Si les Français se réveillent, il est grand temps que nous autres, cadres politiques, nous ouvrions les yeux sur nos responsabilités : demain, il sera trop tard…
Tout à coup, branle-bas de combat, le drapeau noir flotte sur la marmite, alerte à Malibu, debout les gars, réveillez-vous : on signale un tweet de Jean-Luc Mélenchon !
L’arrivée de la Castafiore à la Culture n’a satisfait que les amateurs d’opéra.
Tout semble se mettre en place pour anticiper l’échéance électorale majeure, la dernière où les Français vont encore voter : l’élection présidentielle.
En 2017, le second tour avait déjà mené Emmanuel Macron à l’Élysée avec 66,1 % des voix contre 33,9 % pour Marine Le Pen.
La référence à quelque grand homme d’État est celle de sa ligne politique générale et des valeurs fondamentales qui l’inspirèrent. Non pas que l’on ait une religieuse révérence de l’esprit pour tout ce qu’il fit. Anachronisme, quand tu nous tiens…
Robert Ménard a décidé de ne plus soutenir Marine Le Pen pour l’élection présidentielle en considérant que son projet ne serait jamais majoritaire et qu’elle ne pourrait pas être élue en 2022.
La présidente du Rassemblement national a surpris son monde en se rendant sur l’île de Sein, à la veille de la cérémonie commémorative de l’appel du 18 juin…
Une scène extrêmement violente filmée par un journaliste de CNews qui aura provoqué l’ire des fidèles du RN mais, étonnamment, peu de réactions de la part de ses adversaires politiques.
Après Villeneuve-la-Garenne, émeutes à Pantin, Saint-Denis, Champigny-sur-Marne, Strasbourg, Villejuif… Réaction de Marine Le Pen en exclusivité.
La présidente du RN a confié à Boulevard Voltaire ses impressions sur l’allocution d’Emmanuel Macron et l’état de confinement du pays : « Le président
Mais en France et au sein de l’Union européenne, qui aura le courage, comme Marine Le Pen, de reconnaître qu’en vérité, Recep Tayyip Erdoğan veut ressusciter le califat ?
En tout cas, tous – hommes politiques et commentateurs, de droite comme de gauche – ne pourront qu’être d’accord avec elle : une victoire de Stéphane Ravier à Marseille, le 22 mars, serait un événement politique majeur. Et national.
En somme, c’est à la fois abandon et négation du modèle républicain. Et c’est peut-être de là que vient le problème. L’assimilation républicaine n’est plus.
Samedi, Marine Le Pen a apporté son soutien à Sébastien Pacull, ancien président des LR de l’Hérault et candidat aux élections municipales de Sète. Analyse
Agnès Buzyn laissait entendre qu’on avait le devoir de dénoncer – c’est peu dire – l’Holocauste et les honteuses élucubrations le mettant en doute, ce qui était normal, mais que certains n’en avaient pas le droit…
Une fois de plus cet après midi à Paris ont eu lieu de violents affrontements entre les forces de l’ordre et les pompiers venus manifester.
Lors de ses vœux à la presse, ce jeudi 16 janvier, la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen a annoncé sa candidature à la
Lors de ses vœux à la presse, ce jeudi 16 janvier, la présidente du Rassemblement national a annoncé sa candidature à la présidentielle de 2022.
La surprise vient de la précocité de cette annonce : plus de deux ans avant l’échéance !
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