Joe Biden
Ancien militaire Marine de 42 ans, DeSantis est un gouverneur très apprécié par une large majorité des Floridiens. Il est, de plus, pressenti pour occuper un jour la fonction suprême à Washington.
Une belle victoire pour la fin du règne de Merkel qui a clairement montré à l’Europe que l’on pouvait résister aux diktats américains.
Course à la pleurniche, excuses publiques, chasse aux sorcières…
Il est vrai que l’actuelle alliance de fait russo-chinoise, singulièrement déséquilibrée aux dépens de Moscou, n’a pu prendre corps que par l’incurie d’une administration américaine en proie à un tropisme antirusse remontant aux heures de l’URSS…
Voici que quelques mois plus tard, c’est ce même Biden, auréolé de sa victoire tant attendue par le monde libre (Français en tête), qui fait part de ses soupçons et jette son pavé dans la mer de Chine !
Permettre la fin du chantier de Nord Stream 2, sauf retournement, est une concession majeure.
Les évêques ne sont pas unanimes sur le sujet.
Au vu des principales mesures prises dans les domaines essentiels, on pourrait qualifier sa politique de socialo-mondialo-progressiste, à un niveau inédit…
Bref, si Donald Trump était « clivant », comme on dit, Joe Biden ne l’est pas moins…
Même Xi Jingping s’y est mis, annonçant prudemment l’objectif d’une neutralité carbone d’ici 2060 (on a le temps de voir venir).
Pour les victimes mondiales de l’ingérence américaine, la plus grande terreur n’est pas le suprémacisme blanc mais le suprémacisme de la Maison-Blanche.
Biden profite donc de la politique de Trump, mais qui donc le souligne, en France ?
Nos bons « démocrates » se sont réjouis, à tort, de l’échec de Joe Trump, qui avait l’avantage d’être un ennemi identifié : ils feraient mieux de préparer leurs mouchoirs pour accueillir Donald Biden, un prétendu « ami »…
À la place de Donald Trump, on se claquerait les cuisses de rire.
Biden, qui reprochait son agressivité diplomatique à Trump, fait finalement la même chose que lui sur le plan commercial, les droits de l’homme en plus.
Ah, si Jeanne Calment était toujours de ce monde, bien sûr qu’il l’aurait choisie pour vice-présidente.
Contrairement à ce qui a été martelé par les grands médias pendant quatre ans, l’homme dangereux à la tête des États-Unis n’était pas Trump, c’est aujourd’hui Biden.
Plus de 100.000 clandestins ont été arrêtés en février par les gardes-frontières, soit 28 % de plus qu’en janvier, avant la prise de fonction de Joe Biden.
Ces propos ont été qualifiés d’« insulte » aux Russes et d’« attaque » contre son pays par le président de la chambre basse du Parlement russe, Viatcheslav Volodine.
Mercredi 17 mars, le président des États-Unis, Joe Biden, a affirmé, lors d’une interview, que Vladimir Poutine était « un tueur » et qu’il en
C’était bien la peine de railler Donald Trump, ses propos à l’emporte-pièce et la très personnelle manière qu’il avait de parler d’abord et de réfléchir ensuite.
Pour les républicains, Joe Biden est responsable de cette situation : en promettant un accueil plus généreux que Donald Trump, il a en d’avoir provoqué un appel d’air.
Chose promise, chose faite : par ses promesses et les décrets pris dès son entrée en fonction, Joe Biden a ouvert grand les vannes à l’immigration massive, et particulièrement à celle de mineurs non accompagnés.
C’est vrai qu’il en a fallu, du courage, pour déballer tout ça.
Biden veut redonner à l’Amérique son rôle de gendarme du monde, se plaçant, à l’instar de Clinton ou de Bush, comme celui qui dit le bien ou le mal.
Avec son plan, Biden joue à quitte ou double !
Trump voulait laisser de l’autonomie aux Européens, pas Biden.
Ancien militaire Marine de 42 ans, DeSantis est un gouverneur très apprécié par une large majorité des Floridiens. Il est, de plus, pressenti pour occuper un jour la fonction suprême à Washington.
Une belle victoire pour la fin du règne de Merkel qui a clairement montré à l’Europe que l’on pouvait résister aux diktats américains.
Course à la pleurniche, excuses publiques, chasse aux sorcières…
Il est vrai que l’actuelle alliance de fait russo-chinoise, singulièrement déséquilibrée aux dépens de Moscou, n’a pu prendre corps que par l’incurie d’une administration américaine en proie à un tropisme antirusse remontant aux heures de l’URSS…
Voici que quelques mois plus tard, c’est ce même Biden, auréolé de sa victoire tant attendue par le monde libre (Français en tête), qui fait part de ses soupçons et jette son pavé dans la mer de Chine !
Permettre la fin du chantier de Nord Stream 2, sauf retournement, est une concession majeure.
Les évêques ne sont pas unanimes sur le sujet.
Au vu des principales mesures prises dans les domaines essentiels, on pourrait qualifier sa politique de socialo-mondialo-progressiste, à un niveau inédit…
Bref, si Donald Trump était « clivant », comme on dit, Joe Biden ne l’est pas moins…
Même Xi Jingping s’y est mis, annonçant prudemment l’objectif d’une neutralité carbone d’ici 2060 (on a le temps de voir venir).
Pour les victimes mondiales de l’ingérence américaine, la plus grande terreur n’est pas le suprémacisme blanc mais le suprémacisme de la Maison-Blanche.
Biden profite donc de la politique de Trump, mais qui donc le souligne, en France ?
Nos bons « démocrates » se sont réjouis, à tort, de l’échec de Joe Trump, qui avait l’avantage d’être un ennemi identifié : ils feraient mieux de préparer leurs mouchoirs pour accueillir Donald Biden, un prétendu « ami »…
À la place de Donald Trump, on se claquerait les cuisses de rire.
Biden, qui reprochait son agressivité diplomatique à Trump, fait finalement la même chose que lui sur le plan commercial, les droits de l’homme en plus.
Ah, si Jeanne Calment était toujours de ce monde, bien sûr qu’il l’aurait choisie pour vice-présidente.
Contrairement à ce qui a été martelé par les grands médias pendant quatre ans, l’homme dangereux à la tête des États-Unis n’était pas Trump, c’est aujourd’hui Biden.
Plus de 100.000 clandestins ont été arrêtés en février par les gardes-frontières, soit 28 % de plus qu’en janvier, avant la prise de fonction de Joe Biden.
Ces propos ont été qualifiés d’« insulte » aux Russes et d’« attaque » contre son pays par le président de la chambre basse du Parlement russe, Viatcheslav Volodine.
Mercredi 17 mars, le président des États-Unis, Joe Biden, a affirmé, lors d’une interview, que Vladimir Poutine était « un tueur » et qu’il en
C’était bien la peine de railler Donald Trump, ses propos à l’emporte-pièce et la très personnelle manière qu’il avait de parler d’abord et de réfléchir ensuite.
Pour les républicains, Joe Biden est responsable de cette situation : en promettant un accueil plus généreux que Donald Trump, il a en d’avoir provoqué un appel d’air.
Chose promise, chose faite : par ses promesses et les décrets pris dès son entrée en fonction, Joe Biden a ouvert grand les vannes à l’immigration massive, et particulièrement à celle de mineurs non accompagnés.
C’est vrai qu’il en a fallu, du courage, pour déballer tout ça.
Biden veut redonner à l’Amérique son rôle de gendarme du monde, se plaçant, à l’instar de Clinton ou de Bush, comme celui qui dit le bien ou le mal.
Avec son plan, Biden joue à quitte ou double !
Trump voulait laisser de l’autonomie aux Européens, pas Biden.
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