Joe Biden
Les grands principes énoncés ici et là sont à géométrie variable et l’ajustement de la variable est étroitement lié aux intérêts américains.
Dans le cadre du sommet de l’OTAN qui se tient, à Madrid, dans un contexte militaire très tendu entre l’Occident et la Russie, Joe Biden
Le comte de Ségur rapporte qu’à la veille d’envahir la Russie, le 24 juin 1812, l’Empereur tomba de cheval sur la rive du Niémen.
Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Les personnes noires comprennent qu’elles n’ont pas été nommées pour les bonnes raisons et que les démocrates n’ont aucun désir de prendre en compte leur avis.
Au nom de son cœur qui saigne et des larmes qui lui viennent tellement facilement, invoquant Dieu à la moindre occasion, le président Biden a pris l’habitude de se lâcher : il dit, sans filtre, ce qui lui passe par la tête.
Joe Biden n’a aucun plan d’action prévu pour la frontière mexicaine, tout n’est qu’incohérences.
La mesure prise par l’administration Biden fait craindre une explosion des passages illégaux à la frontière mexicaine et une crise humanitaire sans précédent.
La révocation de la mesure 42 fait craindre aux républicains un raz-de-marée de clandestins sans précédent, venus d’Amérique centrale et d’Haïti
Ce mardi 5 avril, Barack Obama, 44e président des États-Unis, était de retour à la Maison-Blanche.
Les propos hasardeux du président américain ont des conséquences en Europe – continent sur lequel se déroule le conflit armé -, ils perturbent la stratégie des Européens qui maintiennent coûte que coûte le dialogue avec Vladimir Poutine.
La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.
Le 16 mars dernier, Joe Biden n’avait pas hésité à qualifier Vladimir Poutine de « criminel de guerre »…
Le dossier chinois était un premier pas. Quid du dossier liant les Biden avec l’Ukraine en cette période très tendue ?
47 % des Américains se considèrent républicains, face à 42 % de démocrates.
Malgré les appels belliqueux de BHL, dont on feint d’oublier les meurtrières erreurs, l’Union européenne ne fait pas encore la guerre, mais désormais, elle achète et fournit des armes à un belligérant en dehors de ses compétences reconnues par les traités.
Cette semaine est décidément bien chargée : Valérie Pécresse passionnée par un agriculteur, Raphaël Enthoven prêt à faire la guerre, la ville de Paris en « zone apaisée » et, toujours en pointe, Sandrine Rousseau.
Joe Biden joue sa dernière carte. Le coup de poker diplomatique sera-t-il possible ?
L’Amérique nous pousse-t-elle à la guerre ? L’essayiste Nikola Mirkovic publie L’Amérique empire. Il revient sur la politique américaine qu’il qualifie d’impérialiste et de belliqueuse
Un an après, même la presse américaine qui le soutint tant doit reconnaître que le mandat est bien mal engagé.
Force est de constater que pour tous les titres de presse américains, de tous bords, Trump est le seul compétiteur possible.
Tous rejoignent Newsweek : « Aucun président de l’ère moderne, pas Jimmy Carter, pas même Donald Trump, n’est tombé en disgrâce si rapidement et si tôt dans une présidence. » Joe Biden le reconnaît d’ailleurs lui-même…
Pour Mike Pompeo, secrétaire d’État du président Trump et ancien directeur de la CIA, « la vice-présidente déshonore les États-Unis sur la scène internationale ».
On attendait des excuses, on a été servis ! Une séance publique où le Président français, la main gauche crispée sur le genou, doit avaler cet évident mensonge.
Fin septembre, Ben Schreckinger, reporter pour le journal américain de centre gauche Politico, publiait un livre-enquête sur l’ascension de la première famille des États-Unis : The Bidens.
Pendant quatre ans, ils ont fusillé Trump jour après jour, parce qu’il était « populiste », parce que son style était vulgaire, qu’il n’était pas digne de l’oligarchie mondialiste et progressiste qui doit diriger la planète.
L’Amérique s’est ridiculisée et son président joue encore les fiers-à-bras.
Pour imaginer ce que serait la première femme présidente des USA, fermez les yeux et pensez à la verve d’Anne Hidalgo, la sagacité de Marlène Schiappa et le progressisme des deux. Ça laisse rêveur, n’est-ce pas ?
Les grands principes énoncés ici et là sont à géométrie variable et l’ajustement de la variable est étroitement lié aux intérêts américains.
Dans le cadre du sommet de l’OTAN qui se tient, à Madrid, dans un contexte militaire très tendu entre l’Occident et la Russie, Joe Biden
Le comte de Ségur rapporte qu’à la veille d’envahir la Russie, le 24 juin 1812, l’Empereur tomba de cheval sur la rive du Niémen.
Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Les personnes noires comprennent qu’elles n’ont pas été nommées pour les bonnes raisons et que les démocrates n’ont aucun désir de prendre en compte leur avis.
Au nom de son cœur qui saigne et des larmes qui lui viennent tellement facilement, invoquant Dieu à la moindre occasion, le président Biden a pris l’habitude de se lâcher : il dit, sans filtre, ce qui lui passe par la tête.
Joe Biden n’a aucun plan d’action prévu pour la frontière mexicaine, tout n’est qu’incohérences.
La mesure prise par l’administration Biden fait craindre une explosion des passages illégaux à la frontière mexicaine et une crise humanitaire sans précédent.
La révocation de la mesure 42 fait craindre aux républicains un raz-de-marée de clandestins sans précédent, venus d’Amérique centrale et d’Haïti
Ce mardi 5 avril, Barack Obama, 44e président des États-Unis, était de retour à la Maison-Blanche.
Les propos hasardeux du président américain ont des conséquences en Europe – continent sur lequel se déroule le conflit armé -, ils perturbent la stratégie des Européens qui maintiennent coûte que coûte le dialogue avec Vladimir Poutine.
La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.
Le 16 mars dernier, Joe Biden n’avait pas hésité à qualifier Vladimir Poutine de « criminel de guerre »…
Le dossier chinois était un premier pas. Quid du dossier liant les Biden avec l’Ukraine en cette période très tendue ?
47 % des Américains se considèrent républicains, face à 42 % de démocrates.
Malgré les appels belliqueux de BHL, dont on feint d’oublier les meurtrières erreurs, l’Union européenne ne fait pas encore la guerre, mais désormais, elle achète et fournit des armes à un belligérant en dehors de ses compétences reconnues par les traités.
Cette semaine est décidément bien chargée : Valérie Pécresse passionnée par un agriculteur, Raphaël Enthoven prêt à faire la guerre, la ville de Paris en « zone apaisée » et, toujours en pointe, Sandrine Rousseau.
Joe Biden joue sa dernière carte. Le coup de poker diplomatique sera-t-il possible ?
L’Amérique nous pousse-t-elle à la guerre ? L’essayiste Nikola Mirkovic publie L’Amérique empire. Il revient sur la politique américaine qu’il qualifie d’impérialiste et de belliqueuse
Un an après, même la presse américaine qui le soutint tant doit reconnaître que le mandat est bien mal engagé.
Force est de constater que pour tous les titres de presse américains, de tous bords, Trump est le seul compétiteur possible.
Tous rejoignent Newsweek : « Aucun président de l’ère moderne, pas Jimmy Carter, pas même Donald Trump, n’est tombé en disgrâce si rapidement et si tôt dans une présidence. » Joe Biden le reconnaît d’ailleurs lui-même…
Pour Mike Pompeo, secrétaire d’État du président Trump et ancien directeur de la CIA, « la vice-présidente déshonore les États-Unis sur la scène internationale ».
On attendait des excuses, on a été servis ! Une séance publique où le Président français, la main gauche crispée sur le genou, doit avaler cet évident mensonge.
Fin septembre, Ben Schreckinger, reporter pour le journal américain de centre gauche Politico, publiait un livre-enquête sur l’ascension de la première famille des États-Unis : The Bidens.
Pendant quatre ans, ils ont fusillé Trump jour après jour, parce qu’il était « populiste », parce que son style était vulgaire, qu’il n’était pas digne de l’oligarchie mondialiste et progressiste qui doit diriger la planète.
L’Amérique s’est ridiculisée et son président joue encore les fiers-à-bras.
Pour imaginer ce que serait la première femme présidente des USA, fermez les yeux et pensez à la verve d’Anne Hidalgo, la sagacité de Marlène Schiappa et le progressisme des deux. Ça laisse rêveur, n’est-ce pas ?