Jean-Luc Mélenchon
Emmanuel Macron entendait mobiliser afin de transformer cette élection en une sorte de référendum « pour » ou « contre » l’Europe, « pour » ou « contre » lui. Les Français l’ont entendu : la liste menée par Emmanuel Macron a perdu.
Ainsi donc Nathalie Loiseau a fait une gaffe, une boulette, une bévue. C’est la France insoumise qui a levé le lièvre et dénoncé Loiseau.
L’orateur n’a rien dit de précis, excepté qu’il voulait sauver la gauche et les marchands de chaises.
Une chance pour le téléspectateur, il y a Mélenchon et Le Pen, les seuls à faire de la politique.
Des manifestations sont organisées en France pour protester contre la situation en Algérie. Réaction de Jean Messiha, qui analyse par ailleurs la situation en Algérie.
Ce n’est pas la première fois que les socialistes font le coup.
Le parallélisme des formes ne serait donc pas le fort de la gauche ?
Si le scénario à l’italienne devait avoir lieu, celui-ci émergerait via un partenariat entre l’émanation politique des gilets jaunes et le Rassemblement national.
Sans doute existe-t-il des convergences sociales entre les électorats RN et LFI. Mais trop de divergences les séparent sur les questions migratoires.
Il endosse le gilet aux couleurs des cocus, espérant se refaire une santé politique sur les ronds-points…
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Plus que jamais, il y a donc au sein de La France insoumise deux tendances bien distinctes et de plus en plus antagonistes.
Les partis d’opposition, quoi qu’on pense de leur projet politique et de leurs motivations, ont le souci de ne pas se couper du peuple. En cela, ils se montrent plus démocrates que Macron.
Des résistants en peau de lapin sortent de leur tranchée moquettée et hurlent aux pires heures de notre histoire…
Le chien de Pavlov sort de sa niche, la truffe à l’air mais la queue entre les jambes.
L’avenir de l’Europe et de la France est entre leurs mains.
Alors Mélenchon a tenté de rectifier le tir, fait sur son blog le gentil, pris un ton patelin mais les postillons étaient encore là, collés à l’écran.
Les frères la gratouille, comme les appelait feu Mitterrand, aiment bien maîtriser leur communication.
M. Mélenchon fait de la politique. Qui pourrait le lui reprocher ?
En France, coup de théâtre et amant qui sort du placard de la gauche : Jean-Luc Mélenchon apporte son soutien à Salvini !
Macron et Mélenchon ne sont que les deux faces de l’oligarchie de gauche qui détruit le pays : l’une au nom d’un prétendu progressisme, l’autre par une démagogie sans limite.
On ne parle plus que de cela, urbi et orbi, sur tous les plateaux de télé ! Quel étrange hasard !
De la langue d’oc, le grand écrivain Max Rouquette disait que les « Francimands » avaient réussi à faire taire les paroles mais pas la musique.
L’affaire ne pourrait être qu’une sorte de tragi-comédie un peu cocasse si elle ne cachait une machine efficace de répression.
C’est peut-être l’explication de ce psychodrame : se rappeler que JLM est sourd, d’où son agacement, peut-être. Eh oui, Jean-Luc, c’est l’âge, va falloir t’y faire !
« Ma personne est sacrée ! » Aucun prêtre à l’horizon pour confirmer la nouvelle…
Bref, celui qui entendait rétablir la verticalité du pouvoir a parlé. Pour ne rien dire, une fois de plus.
Emmanuel Macron entendait mobiliser afin de transformer cette élection en une sorte de référendum « pour » ou « contre » l’Europe, « pour » ou « contre » lui. Les Français l’ont entendu : la liste menée par Emmanuel Macron a perdu.
Ainsi donc Nathalie Loiseau a fait une gaffe, une boulette, une bévue. C’est la France insoumise qui a levé le lièvre et dénoncé Loiseau.
L’orateur n’a rien dit de précis, excepté qu’il voulait sauver la gauche et les marchands de chaises.
Une chance pour le téléspectateur, il y a Mélenchon et Le Pen, les seuls à faire de la politique.
Des manifestations sont organisées en France pour protester contre la situation en Algérie. Réaction de Jean Messiha, qui analyse par ailleurs la situation en Algérie.
Ce n’est pas la première fois que les socialistes font le coup.
Le parallélisme des formes ne serait donc pas le fort de la gauche ?
Si le scénario à l’italienne devait avoir lieu, celui-ci émergerait via un partenariat entre l’émanation politique des gilets jaunes et le Rassemblement national.
Sans doute existe-t-il des convergences sociales entre les électorats RN et LFI. Mais trop de divergences les séparent sur les questions migratoires.
Il endosse le gilet aux couleurs des cocus, espérant se refaire une santé politique sur les ronds-points…
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Plus que jamais, il y a donc au sein de La France insoumise deux tendances bien distinctes et de plus en plus antagonistes.
Les partis d’opposition, quoi qu’on pense de leur projet politique et de leurs motivations, ont le souci de ne pas se couper du peuple. En cela, ils se montrent plus démocrates que Macron.
Des résistants en peau de lapin sortent de leur tranchée moquettée et hurlent aux pires heures de notre histoire…
Le chien de Pavlov sort de sa niche, la truffe à l’air mais la queue entre les jambes.
L’avenir de l’Europe et de la France est entre leurs mains.
Alors Mélenchon a tenté de rectifier le tir, fait sur son blog le gentil, pris un ton patelin mais les postillons étaient encore là, collés à l’écran.
Les frères la gratouille, comme les appelait feu Mitterrand, aiment bien maîtriser leur communication.
M. Mélenchon fait de la politique. Qui pourrait le lui reprocher ?
En France, coup de théâtre et amant qui sort du placard de la gauche : Jean-Luc Mélenchon apporte son soutien à Salvini !
Macron et Mélenchon ne sont que les deux faces de l’oligarchie de gauche qui détruit le pays : l’une au nom d’un prétendu progressisme, l’autre par une démagogie sans limite.
On ne parle plus que de cela, urbi et orbi, sur tous les plateaux de télé ! Quel étrange hasard !
De la langue d’oc, le grand écrivain Max Rouquette disait que les « Francimands » avaient réussi à faire taire les paroles mais pas la musique.
L’affaire ne pourrait être qu’une sorte de tragi-comédie un peu cocasse si elle ne cachait une machine efficace de répression.
C’est peut-être l’explication de ce psychodrame : se rappeler que JLM est sourd, d’où son agacement, peut-être. Eh oui, Jean-Luc, c’est l’âge, va falloir t’y faire !
« Ma personne est sacrée ! » Aucun prêtre à l’horizon pour confirmer la nouvelle…
Bref, celui qui entendait rétablir la verticalité du pouvoir a parlé. Pour ne rien dire, une fois de plus.