Jean-Luc Mélenchon
Qu’un soi-disant patriote envisage de quitter sa terre natale parce qu’un possible gouvernement n’aurait pas l’heur de lui plaire, c’est un choix ; un choix pas très courageux, mais un choix tout de même.
Accompagné du ministre-symbole de la diversité qu’est désormais Pap Ndiaye, le message est clair. Le message est clair que la priorité, pour Emmanuel Macron, est désormais une certaine France.
Mélenchon révolutionnaire ? Soyons sérieux. Juste le valet de cette oligarchie qu’il prétend combattre.
Si, comme les sondages l’annoncent, les deux blocs Mélenchon-Macron rassemblaient 500 députés, n’en laissant que 80 aux droites divisées, ce serait pour elles une véritable année zéro qui leur imposerait un aggiornamento.
André Gérin, le député-maire honoraire PCF de Vénissieux, ne reconnait plus la gauche engluée dans la NUPES et soumise à l’électoralisme de Mélenchon. Un drame pour celui qui voulait « redonner ses lettres de noblesse à l’idée de Nation et de patriotisme ».
Mélenchon a eu l’intuition qu’il y avait une carte à jouer face à ce Président réélu par défaut et sans élan.
Si l’on en croit un sondage commandé par BFM TV, Jean-Luc Mélenchon bénéficierait actuellement d’une cote de 37 % dans l’opinion, contre 33 % pour
Il semblerait qu’Olivier Marchal n’ait pas voté pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle.
Abandonnées vraiment, les banlieues d’immigration ? Combien de milliards déversés et à venir ? Nous avons fait le point.
Les petites phrases assassines prononcées de part et d’autres ont semble-t-il été oubliées ; le camp patriote pourrait bien s’en inspirer.
Voilà qui nous dit beaucoup d’une France désormais divisée en trois blocs de globale importance.
Raymond Aron ne nous avait pas enseigné que l’histoire pût aussi être comique.
Méfiez-vous des imitations, comme dit la publicité. Cette union de la gauche est au Front populaire ce que Mélenchon est à Staline : une miniature grotesque.
Le gouvernement devrait craindre la colère d’un peuple qui, une nouvelle fois, une fois de trop peut-être, a été escroqué.
Les Français laisseront mourir sans dignité un parti qui a fait tant de mal à la France, par souci électoraliste.
Alain Finkielkraut était l’invité de CNews, face à Mathieu Bock-Côté, le 30 avril. À cette occasion, le philosophe a constaté que « La France insoumise
Ça n’a pas traîné. Au soir même de son élection, le 24 avril, le Président reprenait lui-même l’expression devenue le talisman de la gauche : l’extrême
Vive, donc, l’Union populaire, bien plus inclusive.
La revue communiste Regards vient juste d’imaginer ce que pourrait être un gouvernement de cohabitation mené par le même Mélenchon. Et là, c’est un peu entre train fantôme et musée des horreurs.
Mélenchon et son parti, en instrumentalisant les frustrations supposées de la communauté musulmane, deviennent en quelque sorte l’instrument de la poussée islamiste dans l’espace politique français.
Il est à craindre que Jean-Luc Mélenchon, tel un vulgaire macroniste, ait rajouté un peu de sel sur les plaies béantes de notre pays.
La France insoumise a largement contribué à la réélection d’Emmanuel Macron, transformant sa posture « insoumise » en raisonnables arrangements de soumission.
Premier ministre, donc, mais de qui ? Avec qui Jean-Luc Mélenchon souhaite-t-il cohabiter ? Aucune importance.
En 2017 il n’y avait eu que 10 % des électeurs de Mélenchon à avoir voté Le Pen; s’ils sont 21 % le 24 avril, les lignes pourraient bouger.
Pour qui ont voté les 70.000 détenus que compte la France, dont 22 % à 24,5 % d’étrangers.
Pour apprendre au bon peuple à mettre un masque sur le nez, Véran ou Attal suffisaient. Pour apprendre au bon peuple à obéir aux consignes de vote, il faut du lourd. Du vieux soldat.
En Seine-Saint-Denis, 49 % des voix se sont exprimées en faveur de Jean-Luc Mélenchon…
Hermétiques l’une à l’autre, étrangères dans les mêmes frontières, ces trois France se partagent pour la première fois très clairement les bulletins de vote des Français dans une élection présidentielle.
Qu’un soi-disant patriote envisage de quitter sa terre natale parce qu’un possible gouvernement n’aurait pas l’heur de lui plaire, c’est un choix ; un choix pas très courageux, mais un choix tout de même.
Accompagné du ministre-symbole de la diversité qu’est désormais Pap Ndiaye, le message est clair. Le message est clair que la priorité, pour Emmanuel Macron, est désormais une certaine France.
Mélenchon révolutionnaire ? Soyons sérieux. Juste le valet de cette oligarchie qu’il prétend combattre.
Si, comme les sondages l’annoncent, les deux blocs Mélenchon-Macron rassemblaient 500 députés, n’en laissant que 80 aux droites divisées, ce serait pour elles une véritable année zéro qui leur imposerait un aggiornamento.
André Gérin, le député-maire honoraire PCF de Vénissieux, ne reconnait plus la gauche engluée dans la NUPES et soumise à l’électoralisme de Mélenchon. Un drame pour celui qui voulait « redonner ses lettres de noblesse à l’idée de Nation et de patriotisme ».
Mélenchon a eu l’intuition qu’il y avait une carte à jouer face à ce Président réélu par défaut et sans élan.
Si l’on en croit un sondage commandé par BFM TV, Jean-Luc Mélenchon bénéficierait actuellement d’une cote de 37 % dans l’opinion, contre 33 % pour
Il semblerait qu’Olivier Marchal n’ait pas voté pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle.
Abandonnées vraiment, les banlieues d’immigration ? Combien de milliards déversés et à venir ? Nous avons fait le point.
Les petites phrases assassines prononcées de part et d’autres ont semble-t-il été oubliées ; le camp patriote pourrait bien s’en inspirer.
Voilà qui nous dit beaucoup d’une France désormais divisée en trois blocs de globale importance.
Raymond Aron ne nous avait pas enseigné que l’histoire pût aussi être comique.
Méfiez-vous des imitations, comme dit la publicité. Cette union de la gauche est au Front populaire ce que Mélenchon est à Staline : une miniature grotesque.
Le gouvernement devrait craindre la colère d’un peuple qui, une nouvelle fois, une fois de trop peut-être, a été escroqué.
Les Français laisseront mourir sans dignité un parti qui a fait tant de mal à la France, par souci électoraliste.
Alain Finkielkraut était l’invité de CNews, face à Mathieu Bock-Côté, le 30 avril. À cette occasion, le philosophe a constaté que « La France insoumise
Ça n’a pas traîné. Au soir même de son élection, le 24 avril, le Président reprenait lui-même l’expression devenue le talisman de la gauche : l’extrême
Vive, donc, l’Union populaire, bien plus inclusive.
La revue communiste Regards vient juste d’imaginer ce que pourrait être un gouvernement de cohabitation mené par le même Mélenchon. Et là, c’est un peu entre train fantôme et musée des horreurs.
Mélenchon et son parti, en instrumentalisant les frustrations supposées de la communauté musulmane, deviennent en quelque sorte l’instrument de la poussée islamiste dans l’espace politique français.
Il est à craindre que Jean-Luc Mélenchon, tel un vulgaire macroniste, ait rajouté un peu de sel sur les plaies béantes de notre pays.
La France insoumise a largement contribué à la réélection d’Emmanuel Macron, transformant sa posture « insoumise » en raisonnables arrangements de soumission.
Premier ministre, donc, mais de qui ? Avec qui Jean-Luc Mélenchon souhaite-t-il cohabiter ? Aucune importance.
En 2017 il n’y avait eu que 10 % des électeurs de Mélenchon à avoir voté Le Pen; s’ils sont 21 % le 24 avril, les lignes pourraient bouger.
Pour qui ont voté les 70.000 détenus que compte la France, dont 22 % à 24,5 % d’étrangers.
Pour apprendre au bon peuple à mettre un masque sur le nez, Véran ou Attal suffisaient. Pour apprendre au bon peuple à obéir aux consignes de vote, il faut du lourd. Du vieux soldat.
En Seine-Saint-Denis, 49 % des voix se sont exprimées en faveur de Jean-Luc Mélenchon…
Hermétiques l’une à l’autre, étrangères dans les mêmes frontières, ces trois France se partagent pour la première fois très clairement les bulletins de vote des Français dans une élection présidentielle.