Israel
Tel Aviv a longtemps vécu dans l’illusion que sa supériorité militaire et technologique lui permettait de sans cesse remettre l’affaire à plus tard.
Il serait temps, en effet, de mettre un coup d’arrêt à cet islam de combat dont les ravages grandissants portent immanquablement la même signature : celle de Riyad.
Il faut revenir au fond et discuter les thèses de Zemmour avec sérieux et honnêteté.
Mais les temps ont changé. Lieberman, le ministre de la Défense israélien, vient de se réjouir du retour des institutions syriennes le long du Golan…
Ce vote s’inscrit dans une parfaite continuité qui nous ramène aux origines de la création de l’État d’Israël en 1948.
L’idéal sioniste se solde à la fois par un succès et un échec.
Le droit international ne compte donc pas et les États-Unis sont là pour y veiller, veto à l’ONU à l’appui en cas de besoin.
Que Jérusalem soit avant tout juive, la Bible nous l’enseigne, et on devrait raisonnablement l’accepter.
Le ressenti, ce sera donc, à la défaveur de la fin de l’Algérie française, ce transfert émotionnel entre colon pied-noir et colon israélien.
Un État qui les protège sur un territoire indépendant et qui peut être défendu.
L’histoire n’a jamais fait bon ménage avec la justice.
Le conflit israélo-palestinien est revenu récemment à la une de l’actualité avec son lot habituel d’informations tronquées et de manipulation médiatique.
Les Juifs sont les éternels boucs émissaires des envieux.
Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé
Le président de l’autorité palestinienne n’a pas mâché ses mots.
Le marais centriste « En Marche » de Macron, face à la marée migratoire de plus de 300.000 immigrés extra-européens par an, ne fait que pratiquer la politique d’Henri Queuille.
Gilles-William Goldnadel réagit à l’actualité chargée concernant Israël. Il dénonce l’idéologie anti-israélienne « qui pénètre jusque dans les livres pour enfant ».
Pas un relecteur, pas un catholique pour trouver que c’était un peu gros de comparer Israël à la Corée du nord.
Cette ville a été la capitale juive pendant mille ans, et ensuite la préoccupation centrale de la prière juive pendant deux mille ans.
Quelle proportion des Palestiniens actuels descend des premiers habitants, et quelle proportion descend des immigrants musulmans ?
« L’année prochaine à Jérusalem », c’est ainsi que la diaspora juive exprima son espérance durant ses vingt siècles d’exil…
À défaut d’organiser les événements, au moins faut-il feindre de les accompagner. Ce que Tel Aviv et Washington ont fait.
Il serait sot de trop espérer. Il serait tout aussi idiot de désespérer.
Tel Aviv a longtemps vécu dans l’illusion que sa supériorité militaire et technologique lui permettait de sans cesse remettre l’affaire à plus tard.
Il serait temps, en effet, de mettre un coup d’arrêt à cet islam de combat dont les ravages grandissants portent immanquablement la même signature : celle de Riyad.
Il faut revenir au fond et discuter les thèses de Zemmour avec sérieux et honnêteté.
Mais les temps ont changé. Lieberman, le ministre de la Défense israélien, vient de se réjouir du retour des institutions syriennes le long du Golan…
Ce vote s’inscrit dans une parfaite continuité qui nous ramène aux origines de la création de l’État d’Israël en 1948.
L’idéal sioniste se solde à la fois par un succès et un échec.
Le droit international ne compte donc pas et les États-Unis sont là pour y veiller, veto à l’ONU à l’appui en cas de besoin.
Que Jérusalem soit avant tout juive, la Bible nous l’enseigne, et on devrait raisonnablement l’accepter.
Le ressenti, ce sera donc, à la défaveur de la fin de l’Algérie française, ce transfert émotionnel entre colon pied-noir et colon israélien.
Un État qui les protège sur un territoire indépendant et qui peut être défendu.
L’histoire n’a jamais fait bon ménage avec la justice.
Le conflit israélo-palestinien est revenu récemment à la une de l’actualité avec son lot habituel d’informations tronquées et de manipulation médiatique.
Les Juifs sont les éternels boucs émissaires des envieux.
Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé
Le président de l’autorité palestinienne n’a pas mâché ses mots.
Le marais centriste « En Marche » de Macron, face à la marée migratoire de plus de 300.000 immigrés extra-européens par an, ne fait que pratiquer la politique d’Henri Queuille.
Gilles-William Goldnadel réagit à l’actualité chargée concernant Israël. Il dénonce l’idéologie anti-israélienne « qui pénètre jusque dans les livres pour enfant ».
Pas un relecteur, pas un catholique pour trouver que c’était un peu gros de comparer Israël à la Corée du nord.
Cette ville a été la capitale juive pendant mille ans, et ensuite la préoccupation centrale de la prière juive pendant deux mille ans.
Quelle proportion des Palestiniens actuels descend des premiers habitants, et quelle proportion descend des immigrants musulmans ?
« L’année prochaine à Jérusalem », c’est ainsi que la diaspora juive exprima son espérance durant ses vingt siècles d’exil…
À défaut d’organiser les événements, au moins faut-il feindre de les accompagner. Ce que Tel Aviv et Washington ont fait.
Il serait sot de trop espérer. Il serait tout aussi idiot de désespérer.