Gérald Darmanin
Ces mesures suffisent-elles à exercer la pression nécessaire sur les auteurs de rodéos afin de les dissuader de recommencer ? Pour certains acteurs de la sécurité intérieure, rien n’est moins sûr…
À la fin d’un été où le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a donné l’impression d’être sur tous les fronts, un chiffre est révélé, ce
Existe-t-il des mesures simples et concrètes pour stopper une fois pour toutes ces rodéos sauvages ?
Après des « décennies de laxisme », après « tant d’années d’irresponsabilités et de reculade », que peut-on espérer ?
Il n’est pas impossible que Gérald Darmanin, trop pressé de montrer à l’opinion publique sa détermination nouvelle à lutter contre l’islamisme, n’ait pas suffisamment étayé le dossier d’expulsion.
Gérald Darmanin en a fait une affaire personnelle en signant lui-même l’arrêté d’expulsion : l’imam Hassan Iquioussen, de nationalité marocaine, à qui le ministre de
C’est un nouveau Gérald Darmanin qui surgit dans le paysage politique français depuis quelques semaines. Un Darmanin tout neuf qui ressemble beaucoup à un certain… Nicolas Sarkozy.
On apprenait ce samedi qu’un nouveau policier avait été blessé après un refus d’obtempérer.
L’ultra-droite est un tel danger qu’on est obligé de lui consacrer un reportage par trimestre sur le service public, sans quoi on l’oublie. L’islamisme, lui, n’a pas besoin de reportage.
Que dans les malheurs de l’Histoire de France nos amis britanniques aient pu être souvent partie prenante demeure fait avéré. Mais ce soir-là, non.
Nos élites, pourtant adeptes de l’en même temps et de l’ubiquité, ont oublié que les catastrophes, elles aussi, malheureusement, pratiquent cet en même temps.
On exhibe sa volonté de dialogue, mais on se fiche éperdument, dans les sphères du pouvoir, de ce que pensent la majorité des Français.
Sur le plateau de BFM TV, Marine Le Pen a, en quelque sorte, dit « Chiche ! » à Gérald Darmanin…
La distinction pédante entre ennemi et adversaire n’a pas vraiment lieu d’être en politique, sauf à considérer que, décidément, nous sommes devenus le pays des accommodements.
Alors qu’il vient de reconnaître qu’il avait menti dans l’affaire du Stade de France, il a été non seulement maintenu dans les mêmes fonctions, mais même promu.
Laura a eu l’impression que les gendarmes étaient venus « à la demande de quelqu’un ».
Toutefois, l’élément le plus intéressant est, par déduction, le pourcentage de Français qui croient à la version du ministère : 24 %, donc. Un quart, ou presque.
La sénatrice LR Jacqueline Eustache-Brinio a longuement interrogé Gérald Darmanin lors de son audition au Sénat sur les ratés (et le mot est faible) de
Ne manquera peut-être qu’un Darmanin à la sauce anglaise pour dire comment il faut faire pour que tout soit en ordre.
Le ministre de l’Intérieur a donc délibérément choisi une ligne politique suicidaire, celle du mensonge. Tant pis si cette version provoque des éclats de rire sur les réseaux sociaux : les internautes ironisent sur ces Anglais bilingues qui imitent si parfaitement, dans leurs vidéos, le phrasé de nos banlieues.
Cette loi contre le séparatisme, en tournant autour du pot, n’est pas l’arme fatale contre l’avancée de l’islamisme dans notre espace public.
Entre velléités et effets de manche, la perspective d’un « remake Darmanin 2 à l’Intérieur » ne fait décidément guère fantasmer…
Celui qui est actuellement visé par une mise en examen et qui se fait applaudir par les taulards va, au grand dam de nombreux magistrats, parachever la déconstruction de notre système judiciaire.
Les fermetures administratives ne sont que des outils temporaires qui s’attaquent aux conséquences de l’implantation de l’islam en France.
Le gouvernement devrait craindre la colère d’un peuple qui, une nouvelle fois, une fois de trop peut-être, a été escroqué.
À la surprise générale, Gérald Darmanin reprend le thème cher à Éric Zemmour de l’intégration par les prénoms.
L’orateur vient de prendre la parole. Le public se glace… Quels cataclysmes va-t-il prédire si la Bête d’extrême droite est élue ?
Lorsque l’on achète la paix, on se met en position de la payer de plus en plus cher, comme à Munich.
Ces mesures suffisent-elles à exercer la pression nécessaire sur les auteurs de rodéos afin de les dissuader de recommencer ? Pour certains acteurs de la sécurité intérieure, rien n’est moins sûr…
À la fin d’un été où le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a donné l’impression d’être sur tous les fronts, un chiffre est révélé, ce
Existe-t-il des mesures simples et concrètes pour stopper une fois pour toutes ces rodéos sauvages ?
Après des « décennies de laxisme », après « tant d’années d’irresponsabilités et de reculade », que peut-on espérer ?
Il n’est pas impossible que Gérald Darmanin, trop pressé de montrer à l’opinion publique sa détermination nouvelle à lutter contre l’islamisme, n’ait pas suffisamment étayé le dossier d’expulsion.
Gérald Darmanin en a fait une affaire personnelle en signant lui-même l’arrêté d’expulsion : l’imam Hassan Iquioussen, de nationalité marocaine, à qui le ministre de
C’est un nouveau Gérald Darmanin qui surgit dans le paysage politique français depuis quelques semaines. Un Darmanin tout neuf qui ressemble beaucoup à un certain… Nicolas Sarkozy.
On apprenait ce samedi qu’un nouveau policier avait été blessé après un refus d’obtempérer.
L’ultra-droite est un tel danger qu’on est obligé de lui consacrer un reportage par trimestre sur le service public, sans quoi on l’oublie. L’islamisme, lui, n’a pas besoin de reportage.
Que dans les malheurs de l’Histoire de France nos amis britanniques aient pu être souvent partie prenante demeure fait avéré. Mais ce soir-là, non.
Nos élites, pourtant adeptes de l’en même temps et de l’ubiquité, ont oublié que les catastrophes, elles aussi, malheureusement, pratiquent cet en même temps.
On exhibe sa volonté de dialogue, mais on se fiche éperdument, dans les sphères du pouvoir, de ce que pensent la majorité des Français.
Sur le plateau de BFM TV, Marine Le Pen a, en quelque sorte, dit « Chiche ! » à Gérald Darmanin…
La distinction pédante entre ennemi et adversaire n’a pas vraiment lieu d’être en politique, sauf à considérer que, décidément, nous sommes devenus le pays des accommodements.
Alors qu’il vient de reconnaître qu’il avait menti dans l’affaire du Stade de France, il a été non seulement maintenu dans les mêmes fonctions, mais même promu.
Laura a eu l’impression que les gendarmes étaient venus « à la demande de quelqu’un ».
Toutefois, l’élément le plus intéressant est, par déduction, le pourcentage de Français qui croient à la version du ministère : 24 %, donc. Un quart, ou presque.
La sénatrice LR Jacqueline Eustache-Brinio a longuement interrogé Gérald Darmanin lors de son audition au Sénat sur les ratés (et le mot est faible) de
Ne manquera peut-être qu’un Darmanin à la sauce anglaise pour dire comment il faut faire pour que tout soit en ordre.
Le ministre de l’Intérieur a donc délibérément choisi une ligne politique suicidaire, celle du mensonge. Tant pis si cette version provoque des éclats de rire sur les réseaux sociaux : les internautes ironisent sur ces Anglais bilingues qui imitent si parfaitement, dans leurs vidéos, le phrasé de nos banlieues.
Cette loi contre le séparatisme, en tournant autour du pot, n’est pas l’arme fatale contre l’avancée de l’islamisme dans notre espace public.
Entre velléités et effets de manche, la perspective d’un « remake Darmanin 2 à l’Intérieur » ne fait décidément guère fantasmer…
Celui qui est actuellement visé par une mise en examen et qui se fait applaudir par les taulards va, au grand dam de nombreux magistrats, parachever la déconstruction de notre système judiciaire.
Les fermetures administratives ne sont que des outils temporaires qui s’attaquent aux conséquences de l’implantation de l’islam en France.
Le gouvernement devrait craindre la colère d’un peuple qui, une nouvelle fois, une fois de trop peut-être, a été escroqué.
À la surprise générale, Gérald Darmanin reprend le thème cher à Éric Zemmour de l’intégration par les prénoms.
L’orateur vient de prendre la parole. Le public se glace… Quels cataclysmes va-t-il prédire si la Bête d’extrême droite est élue ?
Lorsque l’on achète la paix, on se met en position de la payer de plus en plus cher, comme à Munich.