Gérald Darmanin
Dans un pays où les actes de barbarie à l’encontre de nos concitoyens se multiplient, on peut se demander s’il n’y a pas des priorités à poser : lorsque tout est prioritaire, plus rien ne l’est.
Consolons-nous un peu : ça aurait pu être Christophe Castaner, ministre émérite de l’Intérieur…
Une remarque qui, à bien y réfléchir, ne manque pas de sel, ni de poivre d’ailleurs, quand on sait que son Janus de la place Vendôme, Éric Dupond-Moretti, a toujours la garde des Sceaux de l’État…
Les anciens chef d’État, Nicolas Sarkozy et François Hollande, ne se rendront pas non plus aux obsèques de Benoît XVI.
Tous les 31 décembre, ce sont des millions de Français qui, de toutes origines culturelles, ethniques ou religieuses, fêtent la Saint-Sylvestre sans pour autant brûler la voiture du voisin, agresser les pandores à grands coups de mortiers ou détrousser le premier passant venu.
Le ministre de l’Intérieur ne connaît pas la trêve des confiseurs. Mais il a quand même la hotte du père Noël. Remplie de visas.
Curieusement, nos bonnes consciences aujourd’hui sur le pied de guerre sont restées muettes lorsque des librairies réputées de droite ont été attaquées, saccagées, taguées, perturbées.
Le changement de stratégie du gouvernement laisse donc perplexe. Quelles sont les contreparties du rétablissement des visas ?
Il faut supprimer l’École nationale de la magistrature !
Le citoyen français moyen, en voyant ces images de guérilla urbaine à la télévision, ne peut certainement pas s’empêcher de se poser ces questions : français, sûrement, mais depuis quand ? Français de papiers ou français de cœur ?
La sentence étant posée, Adrien Quatennens confie sa peine à La Voix du Nord et s’en prend à… Gérald Darmanin, l’homme qui aurait actionné le bras armé de la justice.
Les mosquées, elles, sont pleines tous les vendredis, à la différence des églises, et on n’a jamais vu un catholique ou un juif entrer à l’heure de la prière et égorger l’imam devant tout le monde.
Faut-il donc sortir de l’Assemblée nationale pour régler ce problème ?
Ce que l’on retiendra sans aucun doute de ce bilan, ce sont les fiascos qui s’accumulent depuis des mois. Le signal envoyé au monde entier est grave.
« Leur arme, ce sont les métiers en tension, dont la liste sera périodiquement actualisée, décrypte la députée. La gauche, l’extrême gauche et le patronat n’auront de cesse d’élargir cette liste. »
Le sémillant ministre de l’Intérieur traîne aussi un certain nombre de boulets qui pourraient le ralentir, voire stopper son ascension.
Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites ou extravagantes qui nous ont fait sourire ou des sujets plus sérieux. Cette semaine, Gérald Darmanin s’est
Le ministre souhaite rendre « la vie impossible » aux personnes frappées d’OQTF en les privant de leurs droits sociaux. On y croit ?
Loin de lutter contre les réseaux clandestins, la France, en se soumettant aux injonctions des associations pro-migrants, alimente le trafic des passeurs.
Comme s’il suffisait de mettre un problème de société sous perfusion financière pour qu’il se résolve tout seul comme un grand.
Ménageons au premier flic de France le suspense : tous les criminels sous OQTF étaient expulsables. Le problème c’est qu’ils n’ont pas été expulsés.
Darmanin aurait donc raconté n’importe quoi (on n’ose pas dire « une fois encore ») ?
Cette étude choc, qui ne fait que mettre des chiffres sur un léger sentiment d’insécurité et une relative intuition de l’enrichissement culturel, est vraiment utile, nécessaire même.
L’action de l’État a toujours un temps de retard dans la lutte contre l’islam radical et le contrôle de l’immigration.
Monsieur Darmanin, en cette circonstance comme concernant l’imam Iquioussen, n’a fait que mettre enfin à exécution des mesures qui auraient dû être appliquées de longue date.
Hassan Iquioussen se souvient de cette soirée avec le ministre et raconte : « On a passé une très belle soirée. C’était très positif, on s’est mis d’accord sur 99,9 % des sujets de conversation. »
L’idée de centres fermés « dans un environnement militaire » avait été portée par le candidat, lors du débat d’entre-deux-tours.
Celui qui renvoyait dos à dos les extrêmes de gauche comme de droite semble avoir fait siennes certaines réalités.
Dans un pays où les actes de barbarie à l’encontre de nos concitoyens se multiplient, on peut se demander s’il n’y a pas des priorités à poser : lorsque tout est prioritaire, plus rien ne l’est.
Consolons-nous un peu : ça aurait pu être Christophe Castaner, ministre émérite de l’Intérieur…
Une remarque qui, à bien y réfléchir, ne manque pas de sel, ni de poivre d’ailleurs, quand on sait que son Janus de la place Vendôme, Éric Dupond-Moretti, a toujours la garde des Sceaux de l’État…
Les anciens chef d’État, Nicolas Sarkozy et François Hollande, ne se rendront pas non plus aux obsèques de Benoît XVI.
Tous les 31 décembre, ce sont des millions de Français qui, de toutes origines culturelles, ethniques ou religieuses, fêtent la Saint-Sylvestre sans pour autant brûler la voiture du voisin, agresser les pandores à grands coups de mortiers ou détrousser le premier passant venu.
Le ministre de l’Intérieur ne connaît pas la trêve des confiseurs. Mais il a quand même la hotte du père Noël. Remplie de visas.
Curieusement, nos bonnes consciences aujourd’hui sur le pied de guerre sont restées muettes lorsque des librairies réputées de droite ont été attaquées, saccagées, taguées, perturbées.
Le changement de stratégie du gouvernement laisse donc perplexe. Quelles sont les contreparties du rétablissement des visas ?
Il faut supprimer l’École nationale de la magistrature !
Le citoyen français moyen, en voyant ces images de guérilla urbaine à la télévision, ne peut certainement pas s’empêcher de se poser ces questions : français, sûrement, mais depuis quand ? Français de papiers ou français de cœur ?
La sentence étant posée, Adrien Quatennens confie sa peine à La Voix du Nord et s’en prend à… Gérald Darmanin, l’homme qui aurait actionné le bras armé de la justice.
Les mosquées, elles, sont pleines tous les vendredis, à la différence des églises, et on n’a jamais vu un catholique ou un juif entrer à l’heure de la prière et égorger l’imam devant tout le monde.
Faut-il donc sortir de l’Assemblée nationale pour régler ce problème ?
Ce que l’on retiendra sans aucun doute de ce bilan, ce sont les fiascos qui s’accumulent depuis des mois. Le signal envoyé au monde entier est grave.
« Leur arme, ce sont les métiers en tension, dont la liste sera périodiquement actualisée, décrypte la députée. La gauche, l’extrême gauche et le patronat n’auront de cesse d’élargir cette liste. »
Le sémillant ministre de l’Intérieur traîne aussi un certain nombre de boulets qui pourraient le ralentir, voire stopper son ascension.
Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites ou extravagantes qui nous ont fait sourire ou des sujets plus sérieux. Cette semaine, Gérald Darmanin s’est
Le ministre souhaite rendre « la vie impossible » aux personnes frappées d’OQTF en les privant de leurs droits sociaux. On y croit ?
Loin de lutter contre les réseaux clandestins, la France, en se soumettant aux injonctions des associations pro-migrants, alimente le trafic des passeurs.
Comme s’il suffisait de mettre un problème de société sous perfusion financière pour qu’il se résolve tout seul comme un grand.
Ménageons au premier flic de France le suspense : tous les criminels sous OQTF étaient expulsables. Le problème c’est qu’ils n’ont pas été expulsés.
Darmanin aurait donc raconté n’importe quoi (on n’ose pas dire « une fois encore ») ?
Cette étude choc, qui ne fait que mettre des chiffres sur un léger sentiment d’insécurité et une relative intuition de l’enrichissement culturel, est vraiment utile, nécessaire même.
L’action de l’État a toujours un temps de retard dans la lutte contre l’islam radical et le contrôle de l’immigration.
Monsieur Darmanin, en cette circonstance comme concernant l’imam Iquioussen, n’a fait que mettre enfin à exécution des mesures qui auraient dû être appliquées de longue date.
Hassan Iquioussen se souvient de cette soirée avec le ministre et raconte : « On a passé une très belle soirée. C’était très positif, on s’est mis d’accord sur 99,9 % des sujets de conversation. »
L’idée de centres fermés « dans un environnement militaire » avait été portée par le candidat, lors du débat d’entre-deux-tours.
Celui qui renvoyait dos à dos les extrêmes de gauche comme de droite semble avoir fait siennes certaines réalités.