Etats-Unis
Si ces mesures de discrimination positive (« affirmative action ») à l’entrée des universités américaines ne datent pas d’hier, jamais l’ouverture à la diversité n’avait été autant encouragée sur les campus que sous le mandat Obama.
Elon Musk vient d’annoncer, sur Twitter, avoir voté républicain pour la première fois de sa vie, ce 14 juin.
L’ambiance américaine de la fin des années 1980 et début des années 1990 (non encore « wokisée » ou soumise au politiquement correct) semble avoir façonné cette génération.
La tuerie de masse de mardi, au Texas, déclenche chez les commentateurs attitrés la même réaction pavlovienne, cartésienne et typiquement nationale : interdire les armes résoudrait le problème.
Joe Biden n’a aucun plan d’action prévu pour la frontière mexicaine, tout n’est qu’incohérences.
Les États-Unis viennent de réussir à parfaire leur vieux rêve de domination sur l’Europe, un exploit mené avec détermination et surtout avec le soulagement lâche des vieilles nations européennes.
Ces mésaventures auront-elles (pour de bon) ouvert les yeux du milliardaire sur l’idéologie insidieuse de la gauche ?
À ceux qui lui disent que c’est impossible, comme à un Trump en son temps, Kathy Barnette répond qu’elle aime son pays et que cela lui donne le droit d’essayer.
L’invasion russe de l’Ukraine, que les Américains ont annoncée si fort qu’ils semblaient bien la désirer, n’a, pour l’instant, que des avantages.
On comprend bien en filigrane que la constitution de ce DGB est une réponse au rachat de Twitter et aux menaces de la liberté d’expression rétablie.
Malgré un CV riche, elle préfère jouer la carte de la victimisation.
L’Europe veut la guerre, mais sans la faire, tout en demandant à son adversaire de ne pas prendre de mesures de rétorsion trop pénalisantes.
Les États-Unis respectent bien plus la liberté d’expression qu’en France, où il y a un véritable tabou.
La révélation de Politico n’est qu’une confirmation du fossé qui ce creuse entre deux Amériques. L’une qui demande aux écoles d’inclure les transgenres dans les équipes sportives, l’autre qui prive Disney de financement car jugé trop « woke »..
La société ESI Energy a été condamnée à payer huit millions de dollars pour la mort d’au moins 150 aigles, dont celui représentant l’emblème des États-Unis.
Une grande recomposition géopolitique, en marche depuis quelque temps, pourrait s’accélérer et laisser l’Amérique et ses valets plus solitaires que prévu.
Alors que la Maison-Blanche travaille d’arrache-pied pour donner l’image d’un duo Biden-Harris uni, ces nouvelles révélations présentent Kamala Harris comme incompétente et loin des critères requis pour le poste qu’elle occupe.
On essaie de nous faire croire que cette guerre est un conflit existentiel entre la lumière et l’obscurité, entre la démocratie et la dictature, alors qu’elle n’est que l’héritière des conflits du siècle passé, qu’un énième épisode dans cette grande saga qui dure depuis cent ans et qu’un prétexte pour conserver ce qui est vraiment en jeu : la suprématie américaine.
Il propose de compenser le déficit de gaz russe en augmentant les livraisons de GNL américain à l’Europe. Un gaz valant 15 euros le MWh sur le continent américain qui sera vendu à plus de 200 euros/MWh en Europe !
La Russie et l’Ukraine sont pour nous des fournisseurs vitaux. Sans eux c’est la disette. Le vice-président de la Commission européenne l’a dit : ce qu’il nous faut, c’est du « courage » et de la « ténacité ».
De manière stupéfiante, le président Nicolás Maduro a confirmé avoir reçu, samedi soir, une délégation du gouvernement des États-Unis où « les questions sensibles intéressant les deux pays », dont celle de l’énergie, ont été abordées pendant « deux heures »
Hervé Juvin répond aux questions de Geoffroy Antoine, dans un entretien réalisé ce 23 février, sur la crise ukrainienne
Cette situation rejoint une tendance générale aux États-Unis actuellement : la fuite des résidents (qui en ont les moyens) vers des gouvernements locaux conservateurs et libres.
Tout au long de ces quatre mois de crise, les dirigeants américains auront soufflé sur les braises, Biden en tête.
Tous rejoignent Newsweek : « Aucun président de l’ère moderne, pas Jimmy Carter, pas même Donald Trump, n’est tombé en disgrâce si rapidement et si tôt dans une présidence. » Joe Biden le reconnaît d’ailleurs lui-même…
Après les restrictions sévères vis-à-vis des possibilités d’avortement, c’est désormais la reprise en main des programmes scolaires qui fait les gros titres des médias américains.
Moins de trois mois après le torpillage du « contrat du siècle » par lequel la France devait fournir des sous-marins à l’Australie, Washington récidive et tente de s’emparer d’un juteux contrat de défense entre la France et la Grèce.
Depuis fin 2020, vingt-huit États américains ont pris des mesures visant à restreindre la promotion de la théorie critique de la race à l’école…
Si ces mesures de discrimination positive (« affirmative action ») à l’entrée des universités américaines ne datent pas d’hier, jamais l’ouverture à la diversité n’avait été autant encouragée sur les campus que sous le mandat Obama.
Elon Musk vient d’annoncer, sur Twitter, avoir voté républicain pour la première fois de sa vie, ce 14 juin.
L’ambiance américaine de la fin des années 1980 et début des années 1990 (non encore « wokisée » ou soumise au politiquement correct) semble avoir façonné cette génération.
La tuerie de masse de mardi, au Texas, déclenche chez les commentateurs attitrés la même réaction pavlovienne, cartésienne et typiquement nationale : interdire les armes résoudrait le problème.
Joe Biden n’a aucun plan d’action prévu pour la frontière mexicaine, tout n’est qu’incohérences.
Les États-Unis viennent de réussir à parfaire leur vieux rêve de domination sur l’Europe, un exploit mené avec détermination et surtout avec le soulagement lâche des vieilles nations européennes.
Ces mésaventures auront-elles (pour de bon) ouvert les yeux du milliardaire sur l’idéologie insidieuse de la gauche ?
À ceux qui lui disent que c’est impossible, comme à un Trump en son temps, Kathy Barnette répond qu’elle aime son pays et que cela lui donne le droit d’essayer.
L’invasion russe de l’Ukraine, que les Américains ont annoncée si fort qu’ils semblaient bien la désirer, n’a, pour l’instant, que des avantages.
On comprend bien en filigrane que la constitution de ce DGB est une réponse au rachat de Twitter et aux menaces de la liberté d’expression rétablie.
Malgré un CV riche, elle préfère jouer la carte de la victimisation.
L’Europe veut la guerre, mais sans la faire, tout en demandant à son adversaire de ne pas prendre de mesures de rétorsion trop pénalisantes.
Les États-Unis respectent bien plus la liberté d’expression qu’en France, où il y a un véritable tabou.
La révélation de Politico n’est qu’une confirmation du fossé qui ce creuse entre deux Amériques. L’une qui demande aux écoles d’inclure les transgenres dans les équipes sportives, l’autre qui prive Disney de financement car jugé trop « woke »..
La société ESI Energy a été condamnée à payer huit millions de dollars pour la mort d’au moins 150 aigles, dont celui représentant l’emblème des États-Unis.
Une grande recomposition géopolitique, en marche depuis quelque temps, pourrait s’accélérer et laisser l’Amérique et ses valets plus solitaires que prévu.
Alors que la Maison-Blanche travaille d’arrache-pied pour donner l’image d’un duo Biden-Harris uni, ces nouvelles révélations présentent Kamala Harris comme incompétente et loin des critères requis pour le poste qu’elle occupe.
On essaie de nous faire croire que cette guerre est un conflit existentiel entre la lumière et l’obscurité, entre la démocratie et la dictature, alors qu’elle n’est que l’héritière des conflits du siècle passé, qu’un énième épisode dans cette grande saga qui dure depuis cent ans et qu’un prétexte pour conserver ce qui est vraiment en jeu : la suprématie américaine.
Il propose de compenser le déficit de gaz russe en augmentant les livraisons de GNL américain à l’Europe. Un gaz valant 15 euros le MWh sur le continent américain qui sera vendu à plus de 200 euros/MWh en Europe !
La Russie et l’Ukraine sont pour nous des fournisseurs vitaux. Sans eux c’est la disette. Le vice-président de la Commission européenne l’a dit : ce qu’il nous faut, c’est du « courage » et de la « ténacité ».
De manière stupéfiante, le président Nicolás Maduro a confirmé avoir reçu, samedi soir, une délégation du gouvernement des États-Unis où « les questions sensibles intéressant les deux pays », dont celle de l’énergie, ont été abordées pendant « deux heures »
Hervé Juvin répond aux questions de Geoffroy Antoine, dans un entretien réalisé ce 23 février, sur la crise ukrainienne
Cette situation rejoint une tendance générale aux États-Unis actuellement : la fuite des résidents (qui en ont les moyens) vers des gouvernements locaux conservateurs et libres.
Tout au long de ces quatre mois de crise, les dirigeants américains auront soufflé sur les braises, Biden en tête.
Tous rejoignent Newsweek : « Aucun président de l’ère moderne, pas Jimmy Carter, pas même Donald Trump, n’est tombé en disgrâce si rapidement et si tôt dans une présidence. » Joe Biden le reconnaît d’ailleurs lui-même…
Après les restrictions sévères vis-à-vis des possibilités d’avortement, c’est désormais la reprise en main des programmes scolaires qui fait les gros titres des médias américains.
Moins de trois mois après le torpillage du « contrat du siècle » par lequel la France devait fournir des sous-marins à l’Australie, Washington récidive et tente de s’emparer d’un juteux contrat de défense entre la France et la Grèce.
Depuis fin 2020, vingt-huit États américains ont pris des mesures visant à restreindre la promotion de la théorie critique de la race à l’école…
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