Emmanuel Macron
S’il est une chose que tout professionnel du maintien de l’ordre sait, c’est que l’accident fatal arrive toujours lors du pourrissement d’une situation.
En fait, l’enjeu est de se concilier les catholiques, tout en neutralisant les convictions et les valeurs qui font leur force.
Notre gouvernement serait-il donc incapable de maîtriser la chienlit où qu’elle se passe ?
À quel « voile catholique » arboré par sa « maman », fait référence Christophe Castaner ?
Les deux inquisiteurs ne s’intéressent que peu au domaine militaire, à preuve que pendant cette longue et turbulente séance, il n’a pas du tout été question de défense…
C’est quoi, ça, cette nouvelle mode d’appeler le président de la République par son prénom et nom ?
L’élection d’Emmanuel Macron ne signifie pas le début d’un nouveau monde, mais la fin d’un cycle commencé en mai 1968.
Remercions donc monsieur Asselineau pour sa proposition complètement irréaliste et irréalisable.
Ses phrases cachent des intentions et une philosophie politique extrêmement problématiques.
Pour grosse qu’elle soit, la ficelle n’est est pas moins finaude.
Anne-Sophie Lapix lui demande s’il aurait pu battre Macron, il répond : « J’aurais pu le battre mais je ne l’ai pas voulu. »
« Ce discours a eu un fort impact médiatique. Mais son coup politique n’est pas si clair que cela. »
Quoi que puisse en penser le chœur des pleureuses de gauche, Emmanuel Macron n’a donné aucun gage. Tout au plus a-t-il passé un baume sur les vieilles plaies.
Les voies de Dieu sont, paraît-il impénétrables : celles de Macron sont claires comme de l’eau de roche.
Les cheminots, les zadistes, les étudiants et quelques autres croyaient occuper le devant des écrans, ils en ont été expulsés par le Président.
On se gratte le menton : mais alors de qui, au juste, peut-il bien s’agir ?
L’étape suivante devrait consister à se faire interviewer en costume folklorique. Chapeau rond sur la tête, biniou en bandoulière…
Ce n’est plus de la démocratie mais du lynchage !
La géopolitique est moins simple qu’une fusion-acquisition.
La visite chez Pernaut, c’est un peu comme son détour par le Puy du Fou. Opération tout bénéfice pour Emmanuel Macron. Marché conquis.
L’enjeu est capital : des municipales gagnées à mi-mandat valideraient la politique réformatrice du Président et assurerait sa réélection en 2022.
M. Macron est président de la République, et il devrait voir qu’en ce printemps 2018, le climat est à l’orage.
Permettez-nous, M. le Président de la République française, de vous souhaiter de joyeuses Pâques. Après tout, vous aviez choisi d’être baptisé à l’âge de 12 ans. C’était donc un choix personnel et grave.
Les fêtes de Pâques, un week-end parfaitement identique à tous les autres, en somme. Laïcité oblige ?
Ne pas replacer le geste et la figure du colonel Beltrame dans leur élément catholique, c’est se priver d’une source, d’un ressort indispensables dans la nécessaire reconquête culturelle de la jeunesse.
Comme disait ce cher Lénine, « les faits sont têtus ».
Le président de la République Emmanuel Macron a prononcé ce discours le 28 mars, dans la cour des Invalides, en hommage au lieutenant-colonel Arnaud Beltrame tué dans l’attaque de Trèbes.
S’il est une chose que tout professionnel du maintien de l’ordre sait, c’est que l’accident fatal arrive toujours lors du pourrissement d’une situation.
En fait, l’enjeu est de se concilier les catholiques, tout en neutralisant les convictions et les valeurs qui font leur force.
Notre gouvernement serait-il donc incapable de maîtriser la chienlit où qu’elle se passe ?
À quel « voile catholique » arboré par sa « maman », fait référence Christophe Castaner ?
Les deux inquisiteurs ne s’intéressent que peu au domaine militaire, à preuve que pendant cette longue et turbulente séance, il n’a pas du tout été question de défense…
C’est quoi, ça, cette nouvelle mode d’appeler le président de la République par son prénom et nom ?
L’élection d’Emmanuel Macron ne signifie pas le début d’un nouveau monde, mais la fin d’un cycle commencé en mai 1968.
Remercions donc monsieur Asselineau pour sa proposition complètement irréaliste et irréalisable.
Ses phrases cachent des intentions et une philosophie politique extrêmement problématiques.
Pour grosse qu’elle soit, la ficelle n’est est pas moins finaude.
Anne-Sophie Lapix lui demande s’il aurait pu battre Macron, il répond : « J’aurais pu le battre mais je ne l’ai pas voulu. »
« Ce discours a eu un fort impact médiatique. Mais son coup politique n’est pas si clair que cela. »
Quoi que puisse en penser le chœur des pleureuses de gauche, Emmanuel Macron n’a donné aucun gage. Tout au plus a-t-il passé un baume sur les vieilles plaies.
Les voies de Dieu sont, paraît-il impénétrables : celles de Macron sont claires comme de l’eau de roche.
Les cheminots, les zadistes, les étudiants et quelques autres croyaient occuper le devant des écrans, ils en ont été expulsés par le Président.
On se gratte le menton : mais alors de qui, au juste, peut-il bien s’agir ?
L’étape suivante devrait consister à se faire interviewer en costume folklorique. Chapeau rond sur la tête, biniou en bandoulière…
Ce n’est plus de la démocratie mais du lynchage !
La géopolitique est moins simple qu’une fusion-acquisition.
La visite chez Pernaut, c’est un peu comme son détour par le Puy du Fou. Opération tout bénéfice pour Emmanuel Macron. Marché conquis.
L’enjeu est capital : des municipales gagnées à mi-mandat valideraient la politique réformatrice du Président et assurerait sa réélection en 2022.
M. Macron est président de la République, et il devrait voir qu’en ce printemps 2018, le climat est à l’orage.
Permettez-nous, M. le Président de la République française, de vous souhaiter de joyeuses Pâques. Après tout, vous aviez choisi d’être baptisé à l’âge de 12 ans. C’était donc un choix personnel et grave.
Les fêtes de Pâques, un week-end parfaitement identique à tous les autres, en somme. Laïcité oblige ?
Ne pas replacer le geste et la figure du colonel Beltrame dans leur élément catholique, c’est se priver d’une source, d’un ressort indispensables dans la nécessaire reconquête culturelle de la jeunesse.
Comme disait ce cher Lénine, « les faits sont têtus ».
Le président de la République Emmanuel Macron a prononcé ce discours le 28 mars, dans la cour des Invalides, en hommage au lieutenant-colonel Arnaud Beltrame tué dans l’attaque de Trèbes.
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